Archive de l’étiquette Etudiant IGR

ParIGR-Inside

TOP 10 des raisons d’aller voir Ils Gèrent Rien Sur Scène (s’il en fallait) !

Ils sont beaux, ils sont talentueux, et ils s’apprêtent à vous faire vivre un moment de folie à travers leur pièce de théâtre « La Mariage » ! Pour ceux qui hésitent encore à prendre leur place, nous avons demandé à la troupe d’Ils Gèrent Rien sur scène de dresser le top 10 des bonnes raisons de venir les voir !

1 – Parce que les comédiens se sont démenés pour vous offrir le meilleur spectacle !

Depuis le début de l’année, nos comédiens se sont rassemblés tous les lundis soir à 18h30 en répétition sous les signes de la joie, de la bonne humeur mais aussi de l’apprentissage. Ces répétitions ont créé un réel esprit de troupe qui se retranscrira sur scène, chacun ayant appris à jouer l’un avec l’autre.

2 – Parce que la mise en scène est assurée par une professionnelle !

Notre asso a fait appel à un metteur en scène professionnel cette année, en la personne de Clothilde CARO. De par son expérience, elle a pu apporter des conseils de jeu, des idées de pièces comiques pouvant être jouées mais également instaurer une ambiance conviviale en répétition.

3 – Parce que des références à l’IGR vous feront rire.
Un choix de notre metteur en scène a été d’insérer des références à l’IGR au sein du texte de Nikolai Gogol datant du 19ème siècle. Cela apporte du jeunisme à la pièce et vous fera assurément rire, nous vous le garantissons !

 

4 – Parce que le teaser vous a donné envie.
Réalisé comme l’an dernier par Gary Romagny, le teaser est encore une fois réussi et vous a donné l’eau à la bouche. Nous remercions également les responsables de l’hôtel 4 étoiles « Lecoq Gadby » pour leur accueil, leur gentillesse et la beauté de leur site qui colle parfaitement à la pièce.

 

 

 

 

 

 

5 – Parce que ce sont les 10 ans de l’asso !
Ils Gèrent Rien Sur Scène fête cette année ses 10 ans ! Une occasion pour nous de mettre en avant notre asso et surtout de vous concocter quelques surprises !

6 – Parce qu’un artiste a besoin de son public pour livrer sa plus belle prestation !

Notre représentation aura lieu au Diapason et autant vous dire que pour nos comédiens amateurs, une telle salle est impressionnante au premier abord… 400 places ! Ce sont donc 400 personnes que nous attendons afin de galvaniser nos comédiens et leur donner ce supplément d’âme le jour J.

7 – Parce que vous allez vous rendre compte que vous aimez le théâtre !

Nous imaginons que pour beaucoup, cette représentation sera votre première fois. Notre pièce, rythmée et comique, va dépoussiérer vos idées anciennes sur le théâtre. Notre but : vous faire dire à la fin de la pièce :

« C’était trop bien ! »

8 – Parce que la pièce est comique !

Ne vous attendez pas à un drame ou une tragédie grecque, notre asso fait des choix de pièces comiques depuis quelques années afin de vous faire rire. Cette année, la pièce jouée sera « Le Mariage ». Le pitch ? Une marieuse présente à notre personnage principal, qui se décide à se marier, une jeune femme. Seul hic : quatre autres prétendants la convoitent également.

9 – Parce que c’est l’occasion de voir vos potes dans des scènes ou des costumes improbables !

Qui dit théâtre, dit jeu d’acteur, décors mais aussi costumes… Et vous risquez de voir certaines personnes de l’IGR d’une autre manière après leurs prestations, certaines scènes ou costumes resteront dans votre mémoire.

10 – Parce que le 1/8ème de finale de LDC est déjà plié et que vous ne raterez rien (pas comme l’an dernier) !

Barça-PSG n’a plus aucun intérêt après la démonstration des Français à l’aller (4-0 on le rappelle), le suspense n’aura duré que 90 minutes et nous vous garantissons que vous ne raterez rien d’exceptionnel lors de ce match retour, une excuse en moins pour ne pas venir le 8 mars à 20h au Diapason.

Et ceci est une liste non exhaustive ! Alors n’attendez plus, et filez prendre une place pour applaudir nos talentueux acteurs IGRiens ! 😉

ParIGR-Inside

Billet d’humeur – En amont du séjour au ski, le « tout schuss » des partiels.

Je ne suis pas totalement appréciée des étudiants, je m’inscris dans la liste des facteurs de stress engendrant une variabilité de l’humeur, des pics de malnutrition certaine et une dette incommensurable de sommeil. Je suis ? Je suis la période de partiels, évidemment !

Nous y sommes. À quelques jours des examens de décembre, il n’est question que des projets à rendre et de notre avancement (aussi relatif soit-il) dans notre « programme » de révisions qui, chaque année, est respecté à hauteur de 10%.

Pour les Licences, le fameux « projet Vigouroux » fait figure et garde sa première place dans le top 5 des sujets de discussion desquels on entend des bribes en passant dans les couloirs de l’IGR (et l’au-delà).
D’ailleurs, outre la gestion d’une merveilleuse base de données, chaque étudiant a pu repousser ses limites et se découvrir sous différents états, passant notamment de l’apeurement à la crise de nerfs puis à la danse de la libération quand, après des heures et des heures, il arrive concrètement… à commencer son lot.
Bref, il faut se l’avouer, ce projet nous hante jusque dans notre sommeil (témoignages à l’appui, sur demande valablement formée, comme moyen de preuve).

Moyen de preuve ? Droit ? Des centaines de pages à apprendre en quelques jours parce qu’on n’a pas suivi notre programme de révisions à temps ?
C’est ce que nous redoutions tous, c’est ce que l’on s’était promis de ne pas faire à la dernière minute. Et pourtant, nous sommes sûrement nombreux (raisonnement empirique) à réitérer ce mode de fonctionnement pré-examens…
Ceci dit, si nous n’excellons pas en droit des sociétés, nous aurons quand même le mérite d’avoir créé une cagnotte de crowdfunding pour acheter une doudoune à Mme LE RUDULIER, victime du vol de son nouveau manteau courant novembre (plus que quelques jours pour participer).

Mais qu’en est-il des Masters ?
Après un projet de groupe particulièrement intense s’étalant sur 3 demi-journées, pour lequel les masters RH et Marketing ont dû s’agripper à leurs collègues des masters Finance, CCA et SICG – le thème s’articulant autour de l’analyse financière et la stratégie d’entreprise -, c’est au tour des révisions de management stratégique, et non de la GRH ! En effet, un revirement de situation s’est fait connaître et n’a pas manqué de laisser planer un vent de panique. On saura prochainement si ce dernier laissera place à des bourrasques ou bien, à un soleil radieux…

Sur ce pamphlet gentiment déguisé, s’attaquant finalement à peu de choses dans la vie d’un être humain normalement constitué, n’est-il pas préférable d’appréhender cette période de partiels avec un peu plus de légèreté ?
Si nous sommes arrivés à l’IGR, c’est que l’on a été préalablement recrutés et qu’on a cru en nous parce que, jusqu’ici, on a su passer des étapes avec succès.
Alors, pour cette dernière ligne droite avant les vacances de Noël, on va se remettre dans nos révisions en s’accordant des petites pauses pour arriver, le jour J, aussi déterminés qu’on l’était à 7h00 du matin, le premier jour du WEI.

Bon courage à tous !

ParIGR-Inside

Billet d’humeur : Impressions post-traumatiques d’une rentrée à l’IGR.

Un mélange d’excitation, de curiosité et d’appréhension : le combo pré-rentrée est bel et bien présent, occupant nos pensées qu’on essaie de chasser pour enfin arriver à s’endormir la veille du 1er septembre.

Qu’attendons-nous de cette nouvelle année ? Une vague de nouvelles rencontres, une riche expérience associative mais aussi des cours passionnants qui peuvent nous aiguiller pour nos choix de Master.

Nous sommes au mois d’octobre, plus d’un mois s’est déroulé sans qu’on ait réellement eu le temps de s’en rendre compte. Les journées sont particulièrement remplies, en plus de tous les événements organisés et des projets de groupe comme le Crazy Lewin Show, vidéo de classe à réaliser en 1 mois pour, entre autre, promouvoir la cohésion. D’ailleurs, il semblerait que ce soit l’un des projets phare de cette année puisque tous les étudiants en parlent d’une année sur l’autre. Mais alors, que dire du WEI ? de la soirée Integr’asso ? des foulées IGRiennes ? Une série d’occasions pour apprendre à connaître les autres (ce qui peut parfois demander de sortir un peu de sa zone de confort, pour les plus timides). En fait, on arrive à supposer que cette année ne pourra être que formatrice et qu’elle va nous amener à s’ouvrir aux autres, à prendre confiance en soi et à partager les valeurs de l’IGR haut et fort (nul doute que les étudiants de l’IGR savent se faire entendre).

Finalement, à l’IGR, que tu arrives seul ou accompagné, on finit tous ensemble.

ParIGR-Inside

#INSIDE_OF : Les foulées IGRiennes

Le Mardi 27 Septembre 2016, le BDS et IGR Entr’aides organisaient en partenariat la première édition des foulées IGRiennes. C’était l’occasion de resserrer encore plus la cohésion entre les membres des différentes équipes mais aussi de gagner les premiers points pour le Trophée des Assos.

C’est ainsi que les plus motivés d’entre nous se sont retrouvés, par association, guidés par la musique et un chemin fléché, au parc des Gayeulles pour courir 3,8 km profitant d’un parcours échelonné de ravitaillements quelque peu particuliers. En effet, 5 activités étaient organisées pour reprendre des forces (ou pas…) : un saute-mouton sophistiqué, un molkky suivi de tractions, le mythique aviron bayonnais, un limbo dance et enfin, un jeu à l’aveugle où il était question de retrouver un carré en aluminium dans une boîte garnie d’un contenu laissant à désirer.

Après une première vague de départ à 17h, tout le monde a pu se retrouver, toujours dans la bonne ambiance, pour profiter d’un repas diététique alliant hot-dogs et frites afin de récupérer de cette intense fin d’après-midi.

  

ParIGR-Inside

«La vie associative, la création graphique et l’évènementiel forment un cocktail qui me réussit bien»

Aujourd’hui, nous mettons en lumière une personne que nous côtoyons tous à travers nos projets associatifs : Maryannig Robin, Assistante du service communication et relations extérieures à l’IGR-IAE Rennes.

Qui êtes-vous ? Quelle est votre fonction au sein de l’IGR?

Je m’appelle Maryannig Robin, j’ai bientôt 52 ans (oooppsss, déjà !), je suis assistante au service communication et relations extérieures au sein de l’institut.

Plusieurs volets à ce poste : une partie communication institutionnelle, J’assure la réalisation matérielle, la logistique et la mise en œuvre d’événements et de manifestations institutionnels ou grand public. Je réalise également les visuels pour le service (écran, site internet, affiches, invitations, etc.) ainsi que la partie administrative (courriers, bons de commande, etc.).

Une autre partie, très importante pour moi : la vie associative. J’accompagne les 19 associations de l’IGR-IAE dans l’organisationde leurs projets :comment fait-on pour organiser un événement ? qu’est-ce qu’il nous manque pour un événement, un percolateur, un fournisseur, un traiteur…  ?

Je suis à l’IGR-IAE depuis Septembre 2000, je suis une des anciennes de la boîte, oooppsss ! (rires). J’ai commencé à la scolarité. Puis un poste s’est présenté à la communication. A l’époque il n’y avait que 3 associations : le BDE, une association Licence et l’association IGR Perspective qui est devenue l’association IAE Conseil. A l’époque c’était le BDE qui organisait le Gala avec moi. Dans la même journée on faisait, le forum entreprises, la remise des diplômes et on terminait par le Gala. Au fur et à mesure, la vie associative s’est étoffée. A partir de 2003, on a vu le nombre d’associations exploser ! Notre dynamique enseignante Karine Le Rudulier est devenue la référente enseignante de la vie associative, ce pendant plus de 10 ans. Elle a arrêté il y a deux ans.  Laura Sabbado Da Rosa a repris ce rôle.

J’ai donc une partie administrative, une partie création (visuels), mais j’ai aussi ce côté enrichissant d’accompagnement des étudiants. Enrichissant pour moi, humainement parlant. Enrichissant pour les étudiants, pour leur CV, leur vie future dans l’entreprise. Chaque année, vous arrivez, de tous horizons, tous différents. Vous apportez tous votre richesse, votre maillon à la chaîne. C’est ça qui m’intéresse dans mon boulot, tisser des liens, créer, communiquer et transmettre.

Quelles études avez-vous fait ? 

Après un BAC ES (Economique et Social), très attirée par les langues étrangères, je me suis inscrite à l’Université de Caen pour faire un Deug Anglais Espagnol option Commerce International, sans projet très précis, sinon un goût prononcé pour les voyages…L’université ne m’a pas plu. « Lâchée » dans un amphi géant avec tant de personnes, ça ne me convenait pas. J’ai un peu fait l’école buissonnière cette année-là ! J’ai travaillé le reste de l’année dans un jardin d’enfants spécialisé avec des enfants handicapés moteurs et mentaux. Ça vous remet les points sur les i ! Puis j’ai repris l’année suivante, une formation d’analyste programmeur en informatique.


Quel type d’étudiante étiez-vous ?

J’étais l’élève puis l’étudiante sérieuse, studieuse, « première de la classe ». Et la vie a fait que je n’ai pas poursuivi de longues études. Mes enfants ont fait bien plus d’études que moi ! Ils voyagent. A l’époque, nous n’avions pas les mêmes opportunités qu’à l’heure actuelle … Vous avez la chance à l’heure actuelle de pouvoir partir de façon relativement facile à l’étranger. Je n’avais pas ces moyens-là. Si c’était à refaire, je partirais à l’étranger, c’est sûr !

Quel a été votre parcours depuis la fin de vos études ?

Après avoir eu mon diplôme d’analyste programmeur, j’ai trouvé du travail tout de suite en tant qu’assistante commerciale chez Métrologie (société d’informatique commercialisant hardwares et softwares) puis dans une filiale du groupe Schlumberger (commercialisation de matériel de mesure électronique pour des grands groupes français). Et puis j’ai intégré l’IAE de Caen. J’ai travaillé au service formation continue en temps qu’assistante pédagogique pendant 8 ans. ). Puis j’ai été comptable 2 ans dans une autre entreprise privée… (un ange passe !) période pas très facile, je déteste les chiffres, c’était alimentaire ! (rires). J’ai eu mes enfants entre temps. Je leur ai consacré un peu de temps. J’ai intégré l’IGR-IAE Rennes en 2000, d’abord à la scolarité, ensuite à la communication. J’ai fait beaucoup de formations en cours d’emploi. A l’IGR-IAE, je me suis plus particulièrement spécialisée en communication visuelle : InDesign, Photoshop, Illustrator. Je fais beaucoup de supports pour l’institut : plaquettes, affiches, visuels pour les écrans et mise à jour du site internet, etc.


Pourquoi l’IGR?

J’ai choisi l’IGR-IAE car j’avais déjà travaillé à l’IAE de Caen.Pour moi, cela représentait l’ouverture sur l’entreprise, la combinaison entre les points forts, les atouts des Grandes Ecoles et les valeurs de l’Université.  Mon expérience en tant qu’étudiante à l’Université n’avait pas été concluante. J’avais, comme beaucoup de personnes que je vois sur les salons, une image poussiéreuse du milieu universitaire. Pour moi, l’oxygène était là, dans ce savant mélange des valeurs et des atouts. Ayant déjà travaillé à l’IAE de Caen, je connaissais le dynamisme de ces instituts. Les échanges et les relations avec les personnes qui reprenaient courageusement leurs études(public entre 19 et 57 ans !) étaient très motivants.

Je me répète, mais aussi pour la vie associative. Elle me tient vraiment à cœur.Je ne peux pas me targuer comme vous d’avoir une licence, un master…. (et puis après j’arrête avec ce complexe !) La « self-made woman » que je suis, s’est beaucoup formée « sur le tas », par l’exemple, l’expérience…. Les deux aspects sont importants, études et pratique. La gestion de projet permet de se confronter à des cas précis, du concret !

Quelles sont vos loisirs ? 

Amoureuse de nature et de grand air, les balades avec mon chien à la mer. La mer… Je suis très malheureuse ici à Rennes, trop  loin de la mer à mon goût. J’ai toujours vécu très proche de la grande bleue. Je suis née à Versailles (rires), mais à 4 mois mes parents sont arrivés à Caen. J’ai passé le plus clair de mon temps en Normandie, Calvados et Cotentin. Je suis une fille de la mer et du vent : mon père est un ancien champion du monde de char à voile. A 5 ans, j’ai donc fait mes premières armes sur ces bolides fabriqués maison. Je suis également passionnée de photographie. Pas un seul jour se passe sans que je fasse des clichés. Je suis très manuelle, jardinage, bricolage… Je transforme beaucoup de choses comme des meubles, je détourne des objets pour les remettre en service. Je suis toujours en train de bricoler. Mes enfants me reprochent toujours de ne pas les rejoindre à table à l’heure parce que je suis en train de bricoler (rires). J’aime passer du temps avec mes deux enfants quand ils viennent me voir. Ils sont la réussite de ma vie !

ma1


Quelle aura été l’expérience la plus gratifiante pour vous au sein de l’IGR-IAE ?

Ma titularisation a été un moment fort, une reconnaissance. Après ce sont vraiment des petits gestes au quotidien, comme un étudiant qui ouvre la porte et m’offre un bouquet de fleurs, un paquet de chocolat, qui me laisse un petit mot pour me remercier de mon investissement et de ma disponibilité, des moments passés ensemble à monter un projet. Le Bonheur n’existe pas à mon avis. Mais la multitude de petits bonheurs que l’on prend la peine d’apprécier, ça c’est gratifiant ! Dernièrement, j’ai reçu un mail d’une étudiante de la promotion 2003, qui me demandait des nouvelles et m’en donnait. Carrière réussie, mariage, enfant, la vie !


Qu’auriez-vous fait si vous n’aviez pas exercé cette fonction?

Alors c’est marrant, je lisais un peu vos interviews passées et notamment celle de Gulliver Lux (je travaille en binôme avec lui sur le projet Gala). Le titre c’était « si je n’avais pas travaillé à l’IGR j’aurais été photographe »…et bien moi aussi. J’aurais voyagé, appareil photo en bandoulière, prête à capter l’Image. Je passe beaucoup de temps à photographier ou à regarder les photos des autres. Je fais des centaines de photos par mois, par an. Petite, je voulais faire « chercheuse », de quoi, je ne savais pas moi-même ! Un peu plus tard, je voulais tenir un magasin de jouets ou une papeterie. J’adore les  crayons de couleur, les tubes de peinture, les papiers divers et variés. Je fais beaucoup de loisirs créatifs.


Si vous étiez un animal ?

On m’a dit une fois que je serais… un hérisson, et non ce n’est pas à cause de ma tignasse (ce serait plutôt un mouton)! Au premier abord, j’ai l’air d’avoir des piquants, mais à l’intérieur, quand on me connaît un peu mieux, je suis tendre et attentionnée aux autres. Autrement, je suis fascinée par les tigres et adore les animaux en général.


Si vous étiez un personnage historique ?

Gandhi. Pour sa sagesse. Sur mon fonds d’écran, j’ai une phrase de lui « L’exemple n’est pas le meilleur moyen de convaincre, c’est le seul.»  J’ai également écrit sur un post-it virtuel : « Penser à respirer ». Je suis quelqu’un qui me suis fabriquée un peu toute seule. Je ne compte pas ma peine. On n’a rien sans rien. Je suis toujours dans l’action, à la recherche de solutions. Si j’avais été une femme célèbre : la chanteuse américaine Joan Baez. Je l’admire en tous points, depuis ma plus tendre enfance.


Si vous étiez un film ? 

Oooppss ! Il y en aurait plusieurs… « Out of Africa » peut-être. Je l’ai vu tellement souvent. Je pleure à chaque fois… Je suis fan de Meryl Streep. Il y a aussi Robert Redford, beau gosse ! Les images sont magnifiques. L’histoire est prenante. Cette femme (Karen Blixen) était courageuse. Et pour la passionnée d’images que je suis, les prises de vue sont magnifiques.


Si vous étiez une chanson ? 

« Imagine » de John Lennon, pour le message de paix qu’elle porte (mon côté utopiste…).


Si vous étiez un dessert ?

Un éclair au café, c’est mon dessert préféré, c’est glacé à l’extérieur, et tout crémeux à l’intérieur! (rires)

 

ParIGR-Inside

#TALENTS IGR – Portrait 5 : Benjamin

Et on commence la semaine en beauté, avec la reprise de la rubrique #Talents IGR. A l’honneur pour ce portrait, Benjamin ! En plus de sillonner tout l’IGR sous le costume de la mascotte, il fait également du VTT et réalise de nombreuses vidéos.

ben 1

Peux-tu te présenter ?

Je m’appelle Benjamin Leraux, je suis en M1 Marketing. Je viens de Granville dans la Manche et avant l’IGR je suis passé par un DUT Techniques de Commercialisation.

Quelle passion veux-tu partager avec les IGRiens ?

Ma passion pour le VTT dans son ensemble, de la pratique au suivi des compétitions en passant par la réalisation de photos et vidéos de ce sport. Le VTT associe très bien 3 éléments importants : le côté sportif avec la possibilité de se défouler, d’aller vite, les amis car c’est toujours plus agréable de rouler en groupe, et la nature. En vélo, on passe partout et on peut voir des paysages grandioses parfois inaccessibles par d’autres moyens… C’est d’ailleurs cet aspect que l’on essaye de mettre en valeur via nos photos et vidéos.

Le VTT est un sport que se prête bien à la mise en images du fait des mouvements rapides, des changements de lumières, etc…

Comment as-tu découvert ce sport ?

Au début, c’était simplement le moyen de transport utilisé par tous les enfants en campagne. Puis petit à petit on a fait de plus en plus de kilomètres, on a amélioré les vélos, l’équipement,…

 

As-tu quelques expériences à nous faire partager ?

Passer deux semaines dans les Alpes, à Méribel? pendant la finale de la Coupe du Monde de VTT reste l’expérience la plus énorme !! Nous avons pu côtoyer des passionnés de VTT du monde entier et vivre un évènement impressionnant avec des grands champions. Ces derniers sont accessibles sur les paddocks et on a pu parler et prendre des photos avec eux. De plus, cet évènement me conforte dans l’idée d’un jour associer mon métier à ma passion dans une entreprise liée au VTT(chez une marque, un distributeur ou bien dans l’évènementiel).

Un petit message à faire passer aux IGRiens ?

Le vélo c’est cool mais ça peut être dangereux !! Après de longues années sans accidents, je me suis luxé l’épaule sur une mauvaise chute il y a un mois. Mais outre ça, je veux surtout dire que peu importe le sport ou la passion que l’on pratique elle est nécessaire dans nos vie ! En parallèle des cours ou de la vie professionnelle, cela sert d’échappatoire pour libérer la pression et le stress – en tout cas à l’IGR ça peut être nécessaire -.

« Remember to ride fun ! »

ben 3

N’hésitez pas à faire un tour sur cette page Facebook pour découvrir ses vidéos :

https://www.facebook.com/SJdC.Vtt.pageofficielle/

ParIGR-Inside

Campagne BDE : In Deer We Trust VS Melting Potes ! A vos votes !

A moins d’être rester enfermé tout la semaine dernière au fin fonds d’une grotte d’Amazonie, vous n’avez pas pu loupé ces campagnes de choc réalisées par les deux listes en course pour reprendre le BDE de l’IGR. Afin de vous aidez à les départager, nous leur avons demandé de revenir sur leur valeur, leur vision du BDE ou bien leurs actions de campagne ! 
Comment qualifieriez-vous votre liste ?

INDEER :  In Deer est surprenant !  Là où ne l’attend pas et c’est important de surprendre et d’étonner lorsque l’on veut divertir des étudiants. In Deer est aussi une liste en harmonie où chaque membre a le poste qu’il souhaite, celui correspondant à ses attentes et ses envies. Parce que faire quelque chose qui te plait c’est motivant et quelqu’un de motivé c’est quelqu’un d’impliqué. Et des gens investis c’est un BDE qui réussit. Pour fédérer des étudiants, il faut un BDE soudé et en harmonie.

Le dynamisme et la solidarité entre les membres de l’équipe nous poussent à nous dépasser individuellement pour réussir nos projets et tenir notre engagement : accompagner, rassembler et divertir les Igriens.

MELTING POTES : Comme son nom l’indique avec « Melting », notre liste repose avant tout  sur la diversité et la complémentarité de ses membres.

Nous avons toutes sortes de profils : des créatifs, des meneurs, des organisateurs, logisticiens hors pairs et même un sapeur-pompier ^^

Pour nous, ces deux notions sont essentielles pour faire fonctionner un BDE, et puis ne dis-t-on pas « il faut de tout pour faire un monde ?

Qu’apporteriez-vous aux étudiants l’année prochaine?

INDEER : Nous souhaitons leur apporter de nouvelles possibilités d’échanger et de se rassembler entre eux ou avec les étudiants de d’autres IAE. C’est le concept de CasaFrancia, un réseau mis en place avec les BDE d’autres IAE pour permettre aux étudiants de s’échanger leurs logements pour le week-end, les vacances et ainsi découvrir de nouveaux horizons en toute sécurité et à moindre coût !

Nous voulons également les accompagner au quotidien par exemple en donnant aux Licences et nouveaux Masters un livret d’accueil reprenant les bonnes adresses pour sortir et se divertir à Rennes, mais aussi pour faciliter leur intégration dans l’IGR.

Nous voulons les divertir lors d’évènements comme le WEI etc., comme se doit de le faire tout BDE mais aussi et surtout les accompagner. Nous souhaitons qu’ils se sentent proches de nous, à l’aise et en confiance.

MELTING POTES : Nos projets vont s’inscrire dans la continuité des projets actuels du BDE et nous avons repéré  plusieurs points à améliorer avec le recul sur les projets menés cette année : lancer la carte associative un peu plus tôt, développer les relations inter-écoles afin de bénéficier de nouveaux partenariats attractifs, favoriser la dynamique de groupe dans la promotion de licences

et surtout maintenir la cohésion et l’ambiance entre les igériens dans la même optique que « et surtout, on n’hésites pas à prendre du plaisir ! ;)»

Par ailleurs, nous souhaitons lancer de nouveaux projets notamment la création d’une application permettant de réserver son sandwich à la cafeteria. Cette application permettrait aux étudiants de gagner du temps et optimiserais la gestion des approvisionnements pour Stéphanie, la responsable de la Cafétaria. Nous souhaitons également diffuser aux étudiants dès le début de l’année, les logiciels utiles pour la réalisation de vidéos, affiches, flyers tels que Photoshop, Illustrator, In Design … Ces logiciels sont couteux mais indispensables pour les projets à mener tout au long de l’année. Enfin, nous souhaitons uniformiser les outils de gestion des associations notamment les documents de trésorerie afin de facilité leur gestion et leur lecture. Voici pour les grandes idées, vous pouvez retrouver notre programme en détails sur notre page Facebook « Melting Potes ».

Quels sont vos principaux objectifs ?

bde liste

INDEER:  Nos objectifs ce sont ceux du Top BDE Challenge :

  • Fédérer,
  • Partager,
  • Servir,
  • Rassembler,
  • Divertir
  • Et surtout faire profiter les étudiants !

Parce qu’en choisissant In Deer, ils choisissent du plaisir !

MELTING POTES:

  • CRÉER : Chargés de l’animation de l’école, nous allons organiser divers événements forts, ceux qui comme chaque année, constituent des souvenirs inoubliables !
  • FÉDÉRER : Nous souhaitons entretenir la cohésion, la bonne humeur au sein des promotions et favoriser les collaborations entre étudiants. Notre BDE sera à l’écoute des autres associations qui participeront activement avec nous au dynamisme de l’école.
  • PROMOUVOIR : Parce que nous sommes fiers de notre école, nous jouerons un rôle d’ambassadeur de l’IGR en favorisant son rayonnement et sa renommée auprès des entreprises et du grand public.
  • REPRESENTER : Au plus proche de nos étudiants, nous prendrons en compte leurs revendications et nous les représenterons auprès des différentes instances étudiantes  telles que la FERIA ou l’UNEG.
Quelles sont vos valeurs ?

INDEER: Les valeurs d’In Deer sont l’Intégrité, la Générosité, l’Energie, la Réciprocité, l’Intrépidité, l’Engagement et le Naturel ! Ces valeurs forment le mot Igérien, et ce sont des valeurs que nous partageons avec eux ! Parce qu’In Deer c’est aussi le Brésil !

MELTING POTES : La confiance, le respect, l’entraide et la solidarité, l’égalité, l’ouverture d’esprit sans oublier l’engagement, l’ambition et l’effort sont autant de valeurs qui guident et guideront nos actions !

Avez-vous des anecdotes concernant le SAC, quels ont été les événements forts de votre campagne ?

INDEERNous gardons un très bon souvenir de ce SAC, nous avons ainsi pu échanger et connaître davantage certains étudiants. Nous avons pris beaucoup de plaisir à passer ces 24H avec eux. Nous retiendrons de cette soirée une roue à 2H du matin dans un appartement relativement « bas de plafond ».

Et si certains d’entre vous nous ont appelés pour leur raconter des blagues ou des histoires, aujourd’hui, grâce à eux, on peut raconter celle d’In Deer !

Chaque jour a pour nous été intense dans cette campagne car nous avons essayé de nous renouveler quotidiennement à travers nos publications sur notre page FB ou nos évènements ! Les déguisements sont des moments forts de notre campagne car nous sommes parvenus à impliquer les Igriens. L’afterwork, le brunch et la journée Cocooning avec les livraisons de petits déjeuners, ont également été des moments forts pour In Deer car ils nous ont permis d’atteindre l’ensemble de nos objectifs : fédérer, partager, rassembler, divertir et faire profiter les étudiants !

MELTING POTES :  En anecdote, durant le SAC, on nous a demandé de laver des baies vitrées ce que nous avons fait … le problème c’est que les vitres se sont retrouvées encore plus sales qu’elles ne l’étaient auparavant car la personne s’est trompée de produit et nous a donné du vinaigre blanc ! Je vous laisse imaginer l’odeur dans l’appartement et l’état des vitres (haha). On m’a également demandé de mettre une claque à Sébastien Vitard, réputé pour ses gros bras, soit je m’abstenais, soit je devais courir vite  Je me suis donc abstenu haha !

En ce qui concerne les moments forts de la campagne, il y a eu bien évidemment les 2 soirs de SAC où on a tout donné ainsi que la soirée post PO samedi soir avec la distribution de sandwichs en sortie de boite de nuit ! On a particulièrement aimé aussi la journée FREEBODY où on a pu se rapprocher des gens (au sens figuré et littéral) et discuter avec eux de nos projets ! 

 Pourquoi voter pour vous ?

INDEER: Parce que nous avons prouvé qu’en seulement très peu de temps il était possible de monter une liste, de mener à bien une campagne aussi enrichissante que divertissante. Bien au-delà de la motivation, nous avons montré de la détermination, de l’originalité à travers nos actions comme la création de playlists, le concept des Gorafis, les Saviez-vous que ou encore les logos personnalisés. Notre implication suffit à prouver notre motivation et notre légitimité à prétendre aux postes de membre du BDE. A travers notre campagne et nos actions, nous avons créé des liens avec les IGRiens, liens que nus voulons renforcer et voir perdurer parce qu’ « On vous aime P***** » !

MELTING POTES : Parce que nous avons déjà prouvé notre engagement dans la vie associative de notre école, parce que nous avons appréhendé ses rouages et que nous avons de l’ambition et des idées concrètes pour lancer de nouveaux projets ! Parce que nous avons une liste avec des profils divers et complémentaires qui en font sa richesse et que nous pourrons répondre et nous adapter aux différentes personnes et besoins. Parce que la proximité avec les étudiants et l’échange est au cœur de nos préoccupations, nous représenterons notre école haut et fort !

1661427_1140789529272570_5576745165740282992_n

ParIGR-Inside

#TALENTS IGR – Portrait 4 : Bleuenn

Nouvelle année, nouveau talent ! Aujourd’hui nous vous proposons de découvrir le portrait de Bleuenn et sa passion: la voltige équestre, sport qui allie musculation et acrobatie à l’univers de l’équitation.

Peux-tu te présenter ?

Je m’appelle Bleuenn, j’ai 21 ans, et je suis voltigeuse depuis maintenant 11 ans (voir 12,  je ne sais plus exactement). Je suis en Licence de Gestion à l’IGR. Auparavant, j’ai fait un DUT à Saint-Malo en Gestion des Entreprises. Je suis originaire de Rennes.

voltige

Quelle passion veux-tu partager avec les IGRiens ?

Ma passion, c’est la voltige équestre. Elle est issue de la pratique militaire. Comme son nom l’indique, la voltige se pratique sur des chevaux. On la pratique en équipe, en pas de deux ou en individuel. Le cheval évolue sur un cercle au bout d’une longe tenue par le « longeur » qui se trouve au milieu du dit cercle. Le voltigeur ne se préoccupe pas diriger le cheval. De plus, l’harnachement est différent de celui de l’équitation classique. On parle de surfaix et de tapis carbone et les seuls points d’accroche sont les poignées.

L’autre différence majeure avec l’équitation réside dans l’entraînement. La répartition se fait ainsi : 75% du temps consiste dans le travail de musculation, de gym et de travail au sol contre 15% seulement de travail sur le cheval.

Les qualités physiques des voltigeurs sont quasiment les mêmes que les gymnastes, et les mouvements sont d’abord préparés au sol et au tonneau (faux cheval) avant d’être mis en application sur le cheval.

 Comment as-tu découvert ce sport ?

 C’est ma sœur qui l’a découvert en premier et nous nous sommes inscrites ensemble dans un des seuls clubs autour de rennes en proposant. Je pratiquais l’équitation auparavant et j’en avais déjà fait un peu mais la voltige reste une toute petite discipline.

 As-tu quelques expériences à nous faire partager ?

Depuis 10 ans, j’ai pu vivre de nombreuses expériences grâce à ce sport. J’ai participé à de nombreuses compétition et nous avons été vice-championnes  de France en 2013 avec mon équipe dans notre catégorie (puis j’ai du arrêter avant de reprendre cette année). La même année j’ai aussi fait un stage et une compétition à Madrid ou j’ai rencontré des voltigeurs de pleins de pays comme l’Afrique du Sud, le Brésil, la Norvège, la Colombie…

voltige 3

Avec mon équipe, nous participons à des stages au pôle France de voltige situé à Saumur. Même si ces stages sont intenses, nous apprenons à repousser nos limites et rencontrons des voltigeurs des autres régions.

La France est une figure de la discipline avec de nombreux voltigeurs et équipes parmi les meilleurs mondiaux.

Le Pôle Européen du Cheval au Mans a organisé les Championnats d’Europe et du Monde en 2011 et 2012 et j’y ai été bénévole. Je suis également devenue juge Club et je viens de suivre une formation pour devenir juge National. A terme, je souhaiterais devenir juge international car je ne me vois perdre le contact avec le milieu de la voltige.

Mais la voltige c’est surtout l’expérience du travail en équipe. On apprend le respect, le vivre ensemble et l’envie d’évoluer en équipe, de gravir des étapes. Je pense pouvoir dire que ma pratique sportive a fortement contribué à me construire et j’ai pu développer des qualités comme la gestion du stress. On noue des amitiés et on fait des rencontres inoubliables !
Un petit message à faire passer aux IGRiens ?

voltige 5

Juste de « vivre » sa passion, c’est un peu bateau comme formulation mais c’est ce qui me paraît le plus juste. Même si parfois ça nécessite quelques sacrifices, toutes les expériences vécues grâce à elle résonnent plus fort et permettent de s’épanouir tous les jours !

Et en plus on peut même concilier notre passion avec les études puisque je suis maintenant trésorière de notre association 😉 !

 

 

 

ParIGR-Inside

#TALENTS IGR – Portrait 3 : Landry

Et bien non, les secrets des Igériens n’ont pas encore tous été dévoilés ! Nous continuons donc notre rubrique des talents Igériens. Aujourd’hui, découvrez un sport encore méconnu. Car si nous connaissons tous le Kayak et le Polo, le Kayak-polo est encore peu pratiqué. Pas de panique, Landry va lever le voile sur sa passion ! 

Sans titre 1

Peux-tu te présenter ?

Je m’appelle Landry et j’ai 24 ans. Je suis né à Saint-Lô et j’ai grandi à Avranches donc un vrai Normand. Je me suis expatrié en Bretagne pour faire mes études. J’ai débuté par une Licence de Mathématique-Economie avant de reprendre une Licence de Gestion à l’IGR pour atteindre aujourd’hui le master SICG dans son parcours en apprentissage (dans l’entreprise PSA à La Janais).

Quelle passion veux-tu partager avec les IGRiens ?

Ma passion, c’est le sport et plus précisément le Kayak-Polo. Ma vie s’articule depuis bien longtemps autour de cette passion qui me prend un temps considérable. Mais elle me rend énormément en retour.

C’est un sport qui mixe le Water-Polo et le Handball mais le tout en Kayak. Nous jouons donc deux mi-temps de dix minutes, intenses, pour prendre l’avantage en marquant un maximum de buts. Les buts sont situés à deux mètres de hauteur et le gardien les garde à l’aide de sa pagaie.

Sans titre 2

Comment as-tu découvert ce sport ?

C’est une bonne question vu la confidentialité de ce sport. J’ai une famille sportive et quand je suis arrivé à Avranches à 6 ans, je suis allé au forum des sports pour choisir ceux que je ferais. Je me suis lancé dans le rugby et le kayak pendant quelques années. Quand est arrivé l’âge de la compétition et que j’ai dû m’investir plus dans l’un de ces sports, j’ai fait le choix du kayak. J’ai alors alimenté ma passion et aujourd’hui je m’entraine entre deux et trois heures par jours, ce qui nécessite une bonne organisation de sa vie professionnelle et personnelle.

As-tu quelques expériences à nous faire partager ?

Il y a de nombreuses expériences que je voudrais partager mais ce serait bien trop long. Ma plus belle expérience c’est la finale des championnats d’Europe à Madrid en 2011 face à l’équipe d’Allemagne. Après un beau parcours sur la compétition, la finale a été très compliquée et nous étions menés tout au long du match. Un but à la dernière seconde nous a permis d’accéder aux prolongations, en Golden Goal : le premier à marquer est le vainqueur ! Ce fut sans doute les minutes les plus stressantes de ma vie. Lorsque nous avons marqué l’émotion était immense.

 J’étais champion d’Europe !

C’était aussi une revanche face à cette équipe d’Allemagne contre qui nous avions échoué l’année d’avant en finale des Championnats du Monde. C’était l’aboutissement d’une belle aventure humaine sur un podium et en chantant la Marseillaise.

Un petit message à faire passer aux IGRiens ?

Malgré tout ce qui se présente à nous, quand on a des rêves, de profondes ambitions, il est toujours possible de les atteindre. Il faut en être persuadé et se donner les moyens de réussir même si nos objectifs sont élevés et qu’ils demandent des sacrifices.

ParIGR-Inside

#TALENTS IGR – Portrait 2 : Benoît

La découverte des talents au sein de l’IGR continue ! Aujourd’hui à la une, le Kitesurf ! Alors non, ce n’est pas la passion la plus loufoque ou décalée. Mais connaissons-nous vraiment ce sport ? Sensations fortes, vitesse, air marin, tricks…Découvrez-le à travers le portrait de Benoît Langenais.

12312295_10207014951486573_726909308_n
Peux-tu te présenter ?

Je viens de Basse Normandie, plus précisément de la Manche. J’habite la ville d’Avranches mais je passe tous mes week-ends et vacances en bord de mer à Jullouville (20 km d’Avranches). J’ai fait un DUT GEA à Rennes. Actuellement en Licence, j’envisage d’intégrer un Master CCA.

Quelle passion veux-tu partager avec les Igriens ?

J’aimerais vous parler de ma passion pour la mer et plus particulièrement le Kitesurf. En effet, beaucoup de personnes me posent des questions sur ce sport et je voudrais le leur présenter.

Comment as-tu découvert ce sport ?

Au départ, je faisais de la planche à voile. Je passais tous mes week-ends à naviguer, il m’arrivait même de faire plusieurs centaines de kilomètres pour « chasser le vent ». C’est d’ailleurs ce qui m’a permis de trouver un « job de rêve » : moniteur de planche à voile l’été.

Depuis mes débuts en planche à voile, le kitesurf s’est énormément démocratisé. Quelques-uns de mes amis ont commencé à en faire, j’ai donc eu envie d’essayer. Cela a été une véritable révélation ! Ce sont des sensations totalement différentes notamment en termes de saut et de hauteur. Et puis, tout est plus simple : transport, préparation du matériel, mise à l’eau…

12336004_10207014951406571_1253946385_n - Copie

Crédit photo : Caroline Langenais

As-tu quelques expériences à nous raconter ?

Beaucoup de gens pensent que le kitesurf est un sport très dangereux. Ils se trompent ! C’est sûr qu’il faut prendre des précautions. Personnellement, je ne me suis jamais vraiment fait mal.

Bien sûr, cela m’arrive de manger un peu de sable ou de prendre des grosses boites, mais ça fait partie du sport.

Il m’est aussi arrivé d’avoir quelques galères et de rentrer à la nage parce que le vent était tombé. Mais si on navigue à plusieurs et que l’on ne prend pas de risques importants, ce n’est pas un sport plus dangereux que les autres.

Ma meilleure expérience ? Naviguer dans un cadre idyllique avec les conditions parfaites. C’était dans les îles Chausey, une eau turquoise, un vent fort et régulier et surtout une mer toute plate. J’étais partie en bateau avec quelques copains. Nous avons navigué toute l’après-midi entre les îles à envoyer des gros tricks. La liberté de pouvoir aller où on veut, et ce, juste avec la force du vent est quelque chose d’extraordinaire.

Un petit message à faire passer aux Igriens ?

Il faut savoir repousser ses limites et essayer de nouvelles choses. J’invite tous les Igériens à essayer ce sport qui se transforme vite en drogue ! Le plus important, c’est de persévérer et ne pas avoir peur de l’inconnu car c’est ça qui nous fait aller plus loin.

Et si des Igériens veulent que l’on navigue ensemble, je suis ouvert à toutes propositions !

ParIGR-Inside

Queen or Drag Queen ?

bradfordPourquoi as-tu choisi Bradford ?

Pour l’anglais ! Mon principal objectif était vraiment d’améliorer mon niveau d’anglais et je crois qu’il n’y a rien de mieux que l’Angleterre pour ça.

Ce que tu aimes le plus dans ce pays ?

Les gens sont très accueillants et il est facile de rencontrer du monde. Et puis… la bière n’est pas chère !

Ce que tu détestes par dessus tout dans ce pays ?

Il n’est pas toujours facile de se nourrir correctement ici. On trouve très peu de bonne viande et la nourriture française nous manque beaucoup (on se fait donc livrer du saucisson et des rillettes de France) !

Ce qui t’a le plus surpris dans ce pays?

Les anglais ne connaissent pas un mot de français (à part quelques insultes) malgré la proximité des deux pays. Par ailleurs, les échanges Erasmus ne semblent pas très développés ici et certains étudiants anglais ont donc eu du mal à comprendre ce qu’on faisait dans leurs cours.

Ce que les locaux pensent des Français ?

Les français sont plutôt appréciés, pour leur nourriture (ils envient nos croissants notamment) et leur style vestimentaire. Mais les personnes que l’on a rencontrées connaissaient surtout Paris, très peu ont entendu parler de la Bretagne !

Etre à l’étranger, c’est … ?

Apprendre beaucoup de choses ! On progresse vite en anglais mais surtout on découvre un autre style de vie, des nouvelles cultures et c’est très enrichissant. Il y a peu d’heures de cours par rapport à ce dont on avait l’habitude à l’IGR-IAE de Rennes donc ça nous laisse beaucoup de temps pour voyager, rencontrer du monde, etc. Et puis le fait que nous logeons dans une résidence réservée aux étudiants étrangers nous a permis de sympathiser facilement avec des étudiants d’un peu partout. On se sent plus à l’aise de discuter en anglais au début avec eux plutôt qu’avec des purs anglais et le mélange des accents est assez drôle.

Conseillerais-tu cette destination à de futurs étudiants de l’IGR de Rennes ? Pourquoi ?

Oui ! Bradford est une ville accueillante et il y est facile de progresser en anglais et de rencontrer du monde, faire la fête, etc. Le campus étudiant est assez important et beaucoup de choses sont organisées pour nous intégrer dans la vie étudiante (visites, sport, soirées…). Par ailleurs, Bradford se trouve à proximité de grandes villes très sympas comme Manchester, Sheffield ou Leeds. En bref, le cadre est très agréable !

Quel était le prix de ton billet d’avion ?

Seulement 40 euros avec Ryanair ;-). La ligne Dinard-Bradford de Ryanair n’est en marche que sur la période Avril-Octobre par contre. Mais il existe une autre compagnie low cost (Jet2.com) que l’on prendra à noël pour environ 80 euros.

Merci à Chloë Q.