Archive de l’étiquette IAE de Rennes

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TOP 10 des raisons d’aller voir Ils Gèrent Rien Sur Scène (s’il en fallait) !

Ils sont beaux, ils sont talentueux, et ils s’apprêtent à vous faire vivre un moment de folie à travers leur pièce de théâtre « La Mariage » ! Pour ceux qui hésitent encore à prendre leur place, nous avons demandé à la troupe d’Ils Gèrent Rien sur scène de dresser le top 10 des bonnes raisons de venir les voir !

1 – Parce que les comédiens se sont démenés pour vous offrir le meilleur spectacle !

Depuis le début de l’année, nos comédiens se sont rassemblés tous les lundis soir à 18h30 en répétition sous les signes de la joie, de la bonne humeur mais aussi de l’apprentissage. Ces répétitions ont créé un réel esprit de troupe qui se retranscrira sur scène, chacun ayant appris à jouer l’un avec l’autre.

2 – Parce que la mise en scène est assurée par une professionnelle !

Notre asso a fait appel à un metteur en scène professionnel cette année, en la personne de Clothilde CARO. De par son expérience, elle a pu apporter des conseils de jeu, des idées de pièces comiques pouvant être jouées mais également instaurer une ambiance conviviale en répétition.

3 – Parce que des références à l’IGR vous feront rire.
Un choix de notre metteur en scène a été d’insérer des références à l’IGR au sein du texte de Nikolai Gogol datant du 19ème siècle. Cela apporte du jeunisme à la pièce et vous fera assurément rire, nous vous le garantissons !

 

4 – Parce que le teaser vous a donné envie.
Réalisé comme l’an dernier par Gary Romagny, le teaser est encore une fois réussi et vous a donné l’eau à la bouche. Nous remercions également les responsables de l’hôtel 4 étoiles « Lecoq Gadby » pour leur accueil, leur gentillesse et la beauté de leur site qui colle parfaitement à la pièce.

 

 

 

 

 

 

5 – Parce que ce sont les 10 ans de l’asso !
Ils Gèrent Rien Sur Scène fête cette année ses 10 ans ! Une occasion pour nous de mettre en avant notre asso et surtout de vous concocter quelques surprises !

6 – Parce qu’un artiste a besoin de son public pour livrer sa plus belle prestation !

Notre représentation aura lieu au Diapason et autant vous dire que pour nos comédiens amateurs, une telle salle est impressionnante au premier abord… 400 places ! Ce sont donc 400 personnes que nous attendons afin de galvaniser nos comédiens et leur donner ce supplément d’âme le jour J.

7 – Parce que vous allez vous rendre compte que vous aimez le théâtre !

Nous imaginons que pour beaucoup, cette représentation sera votre première fois. Notre pièce, rythmée et comique, va dépoussiérer vos idées anciennes sur le théâtre. Notre but : vous faire dire à la fin de la pièce :

« C’était trop bien ! »

8 – Parce que la pièce est comique !

Ne vous attendez pas à un drame ou une tragédie grecque, notre asso fait des choix de pièces comiques depuis quelques années afin de vous faire rire. Cette année, la pièce jouée sera « Le Mariage ». Le pitch ? Une marieuse présente à notre personnage principal, qui se décide à se marier, une jeune femme. Seul hic : quatre autres prétendants la convoitent également.

9 – Parce que c’est l’occasion de voir vos potes dans des scènes ou des costumes improbables !

Qui dit théâtre, dit jeu d’acteur, décors mais aussi costumes… Et vous risquez de voir certaines personnes de l’IGR d’une autre manière après leurs prestations, certaines scènes ou costumes resteront dans votre mémoire.

10 – Parce que le 1/8ème de finale de LDC est déjà plié et que vous ne raterez rien (pas comme l’an dernier) !

Barça-PSG n’a plus aucun intérêt après la démonstration des Français à l’aller (4-0 on le rappelle), le suspense n’aura duré que 90 minutes et nous vous garantissons que vous ne raterez rien d’exceptionnel lors de ce match retour, une excuse en moins pour ne pas venir le 8 mars à 20h au Diapason.

Et ceci est une liste non exhaustive ! Alors n’attendez plus, et filez prendre une place pour applaudir nos talentueux acteurs IGRiens ! 😉

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Direction NYC à travers le parcours d’une ancienne IGRIenne !

Que diriez-vous de profiter du témoignage d’une ancienne étudiante de l’IGR, désormais à NYC ? Céline Jaffredou, récemment diplômée du master MAE, nous partage son expérience et ce, sans tabou. Vous pourrez dès lors profiter de ses impressions en tant qu’étudiante expatriée et employée immigrante, ainsi que de ses précieux conseils pour mener à bien vos années d’études au sein de l’école. Bonne lecture !

Qui êtes-vous ? Quel est votre poste actuel ?

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Je m’appelle Céline Jaffredou, j’ai 26 ans et je suis en charge du développement du marché retail pour un torréfacteur à New York.

Quand étiez-vous à l’IGR ? Dans quelle formation ?

J’ai intégré le Master MAE parcours international et management biculturel de l’IGR en 2015 et été diplômée en 2016.

Mais avant l’IGR, j’ai obtenu ma Licence LEA à l’Université de Rennes 2, avec un bachelor à UNCG en Caroline du Nord lors de la L3 et enchaîné sur un stage de deux mois à Montréal chez Holt Renfrew (équivalent Galeries Lafayette au Canada).

Ensuite, j’ai effectué un Master Marketing & Management International, toujours à Rennes 2 et réalisé un stage lors du M1 et un stage de six mois à Londres pour un broker/importateur de café FA COFFEE LTD.

J’ai fait le choix d’une année de césure après mon M1 MMI à New York. Je développais un bureau commercial pour le compte d’un fromager bordelais, Jean d’Alos.

A mon retour, j’ai intégré l’IGR pour mon MAE.

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Pour vous l’IGR c’est _____ ?

C’est une école de commerce, de très bons profs avec de bonnes explications, et surtout, une belle expérience. J’ai rarement autant appris d’une institution. J’ai beaucoup aimé la mixité des profils. C’est une école à taille humaine – et ça, ça fait tout- avec des profs aussi bons les uns que les autres dans leur domaine. En bref, l’IGR c’est top. On me l’a recommandé et j’ai toujours eu de bons feedbacks. Aujourd’hui, je recommanderais l’IGR à mon tour. C’est aussi un bon compromis car c’est une école abordable, qui a une belle âme, c’est le côté « l’union fait la force » rien que par la vie associative !

Votre meilleur souvenir de vos années à l’IGR ?

Les gens, le fait que l’on vienne tous d’horizons différents. J’ai beaucoup appris d’eux, cela a remis les choses en perspectives, il y a un bel échange. J’ai autant appris des profs que des élèves.

La vie asso c’était ____ ?

Maestro ! Cela a permis de financer la 1ère année du projet “hors les murs”. Le but de celui-ci est de visiter des entreprises à l’étranger et d’analyser le fonctionnement. Les élèves organisent tout de A à Z (avion, logement, entreprises à visiter). Nous sommes allés à Berlin. Nous avons créé des relations à part avec de réels échanges, un peu comme aux USA.  Tu donnes autant que tu reçois.

Un conseil à donner aux étudiants actuels ?

1/ Ne procrastinez pas ! C’est impossible de réviser à la dernière seconde, ni de faire les projets à la fin…

2/ Surtout ne tombez pas malade (sous risque de passer ses exams de premier et deuxième semestres d’affilée… L’ENFER !!!).

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3/ Organisez-vous en “study group” selon vos domaines de prédilections pour vous entraider. Aidez-vous les uns les autres, mais révisez séparément.

4/ S’inscrire aux projets proposés par l’IGR comme Les entrepreneuriales – Concours Pépite Bretagne. J’ai finis 3ème du concours avec mon équipe (chèque à la clé ^^ héhé). Le projet a compté comme mon projet de fin d’année, en adéquation parfaite avec l’IGR, car quand on monte sa boite, on est dans le cœur du sujet.

Avez-vous gardé contact avec vos anciens camarades ou professeurs de l’IGR ?

Oui, clairement oui ! Surtout quand certains viennent me voir à NYC, on garde contact, car ce ne sont pas des camarades, ce sont des amis, des gens formidables. Quand je reçois des offres de stages ou d’emplois, je les transmets aux professeurs de l’IGR. Sans réseau, pas de boulot ! *ça rime, la classe* Clairement sans les réseaux, je ne serais pas là où je suis. Toujours garder contact avec les gens.

Quel type d’étudiante étiez-vous ?

Avant l’IGR, je n’étais pas une étudiante modèle, plutôt débrouillarde et ambitieuse. J’ai toujours su que je n’avais pas les meilleures notes, mais j’avais un bon profil grâce à mes expériences professionnelles mais surtout, j’étais surmotivée. Je suis la championne n°1 de la procrastination : la seule année où je me suis défoncée, c’est celle de l’IGR. En même temps, ma devise est la suivante “I don’t take no for an answer”. Par exemple, j’ai volontairement repiqué ma L2 car j’avais raté les délais pour partir à l’étranger !

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Je savais également que je n’avais pas les mêmes chances en sortant de la fac que les grandes écoles, du coup quand il y avait un stage de 3 semaines, je faisais 6 mois. La fac, ce n’est pas un gros mot mais il faut avoir conscience que c’est plus difficile à vendre sur le marché du travail. Je suis fière d’avoir fait la fac, d’y avoir “survécu”. En effet, même si je ne suis pas une passionnée des études, je vais toujours au bout des choses (c’est une qualité importante si vous voulez vous expatrier !). J’en ai bavé, ça c’est sûr, mais je suis fière d’être là où j’en suis. Ca va faire cliché mais je ne serais pas là où j’en suis sans ma famille, mes proches et mêmes les gens de l’IGR. Ce sont les gens qui sont autour de toi qui font qui tu es. Je ne suis pas là pour donner des conseils mais pour partager mon expérience : donne-toi à fond, tu vas peut-être te casser les dents sur la route mais ça en vaut le coup.

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Retrouvez très prochainement la seconde partie de l’entretien de Céline sur sa vie à NYC !

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#INSIDE_OF : Les foulées IGRiennes

Le Mardi 27 Septembre 2016, le BDS et IGR Entr’aides organisaient en partenariat la première édition des foulées IGRiennes. C’était l’occasion de resserrer encore plus la cohésion entre les membres des différentes équipes mais aussi de gagner les premiers points pour le Trophée des Assos.

C’est ainsi que les plus motivés d’entre nous se sont retrouvés, par association, guidés par la musique et un chemin fléché, au parc des Gayeulles pour courir 3,8 km profitant d’un parcours échelonné de ravitaillements quelque peu particuliers. En effet, 5 activités étaient organisées pour reprendre des forces (ou pas…) : un saute-mouton sophistiqué, un molkky suivi de tractions, le mythique aviron bayonnais, un limbo dance et enfin, un jeu à l’aveugle où il était question de retrouver un carré en aluminium dans une boîte garnie d’un contenu laissant à désirer.

Après une première vague de départ à 17h, tout le monde a pu se retrouver, toujours dans la bonne ambiance, pour profiter d’un repas diététique alliant hot-dogs et frites afin de récupérer de cette intense fin d’après-midi.

  

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Tabernacle !

Pourquoi as-tu choisi le Québec ?

Après une première expérience Erasmus au Portugal, j’avais envie de découvrir un pays différent. J’étais attirée par la culture nord américaine mais également par les spécificités du Québec. Le Canada était un pays qui m’attirait depuis plusieurs années déjà. Les témoignages que j’ai reçus par mes proches sur ce pays n’ont fait que confirmer mon choix de partir dans ce pays.

Ce que tu aimes le plus dans ce pays ?

La mentalité des personnes. La convivialité des québécois, ils ont le cœur sur la main. Les gens sont directs, francs et les problèmes sont vite résolus. De plus, c’est une super destination pour voyager.

Ce que tu détestes par dessus tout dans ce pays ?

Il n’y a rien que je déteste par dessous tout ici. Par contre j’ai un peu de mal avec la nourriture. Tout paraît transgénique ou « faux ».

Ce qui t’a le plus surpris dans ce pays?

Le fait de toujours devoir faire le calcul dans sa tête pour savoir ce que les produits que j’achète vont réellement coûter ! En effet, il faut ajouter les taxes (environ 15%) et le pourboire dans les restos et bars (15% aussi).

Le fait que les québécois sont très avenants. Par exemple, quand vous cherchez votre direction ou que vous êtes perdus, ils vont venir naturellement vers vous alors que vous n’avez rien demandé. Le coût de la vie aussi est cher.

Ce que les locaux pensent des Français ?

Malheureusement comme beaucoup de non-français, ils nous trouvent un peu prétentieux. Mais ici ils sont habitués aux français car nous représentons la plupart des étudiants étrangers.

Etre à l’étranger, c’est … ?

Toujours une expérience fantastique. Des découvertes sont faites tous les jours. C’est le meilleur moyen de découvrir d’autres visions de la vie et d’acquérir en ouverture d’esprit.

Conseillerais-tu cette destination à de futurs étudiants de l’IGR-IAE de Rennes? Pourquoi ?

Le Canada est souvent une envie de longue date des personnes qui y vont. Mais pour ceux qui hésitent, sachez qu’ici il y a un éventail de possibilité et de liberté d’esprit trop peu présente en France.

Quel était le prix de ton billet d’avion ?

Mon billet a couté 750 €. Cela dépend beaucoup des compagnies, de la date d’achat etc … mais le plus tôt est le mieux.

As-tu des choses à ajouter ?

Si vous voulez un logement en résidence universitaire bien et pas très cher, en face de l’université (très pratique quand il fait froid), faites la demande très rapidement dès que vous savez que vous êtes acceptés car les places partent très vite ! Il faut prévoir un budget pour les livres et si vous partez a plusieurs, et que vous avez les mêmes cours, mieux vos partager les frais ! Enfin, il faut pas avoir peur du froid, car en cette fin d’octobre nous sommes déjà sous la neige !

Merci à Estelle P.

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« La vie étudiante à Rennes est très agréable »

Découvrez Armel Liger, ancien Directeur de l’IGR, très investi dans la vie associative.

Qui êtes vous ? Qu’enseignez-vous au sein de l’IGR-IAE ? photo Armel Liger

Je m’appelle Armel Liger, professeur de Droit et de fiscalité. J’ai des cours principalement en Licence et en MAE. Juriste à l’origine, je suis venu à l’IGR pour faire le CAAE (Certificat d’Aptitude à l’Administration des entreprises), aujourd’hui remplacé par le MAE (Master d’Administration des Entreprises). Je suis parti quelques années à l’Université de Brest après ma formation. J’ai poursuivi des recherches en Sciences de Gestion Juridique et Fiscale et j’ai passé l’agrégation de Sciences de Gestion. Je suis d’abord devenu prof à Brest pendant 3 ans, pour finalement revenir à Rennes.

J’ai eu pratiquement toutes les responsabilités possibles à l’Institut. J’ai notamment été directeur pendant 7 ans, de 1993 à 2000. En 2004, j’ai participé à la réforme LMD (Licence-Master-Doctorat, transformant le CAAE en MAE. MAE, dont j’ai eu la responsabilité jusqu’à l’année dernière. Je suis encore aujourd’hui responsable du MAE en formation continue et responsable pédagogique du Centre Franco Japonais de Management.

Pourquoi l’IGR ?

Cela remonte à mes années étudiantes : j’ai suivi, comme beaucoup d’étudiants juristes, le CAAE, master assez particulier puisqu’il est ouvert à tout étudiant qui n’a jamais suivi une formation à la gestion. J’étais intéressé par le droit des affaires, de l’entreprise : je voulais être avocat. Tout naturellement, je suis venu faire le CAAE. Voilà pourquoi. Finalement on m’a proposé un poste d’enseignant et je suis resté ! Je suis très attaché à l’IGR.

Pouvez vous qualifier les étudiants de l’IGR en quelques mots ?

Sérieux, investis, détendus… On a la chance à l’IGR d’accueillir des étudiants en 3e année. Beaucoup d’étudiants de première année ne savent pas pourquoi ils sont dans telle ou telle faculté. Ceux qui viennent à l’IGR en 3e année sont, en général, motivés.

On est dans un petit bâtiment, ce qui limite les recrutements. On a donc une ambiance très conviviale. Les relations entre étudiants sont très bonnes, il y a une vie associative très importante. De même, les relations étudiants/enseignants sont très faciles, ce qui n’est pas toujours le cas dans d’autres facs. Les étudiants sont très présents : il n’y a pas beaucoup d’absentéisme. Ce sont des étudiants motivés, participatifs.

Quelle aura été l’expérience la plus gratifiante pour vous au sein de l’IGR ?

Cela aura été certainement ma période en tant que directeur de l’IGR. Cela a été pour moi une période de ma vie tout à fait passionnante et enrichissante. J’ai eu la chance d’arriver à la direction de l’IGR dans les nouveau bâtiments en 1993, que nous avions à l’époque vraiment tous apprécié.

Quel type d’étudiant étiez-vous ?

J’ai été étudiant à la faculté de Droit de Rennes.  Mes deux premières années ont été assez difficiles : je n’avais pas vraiment de projet. A partir de ma troisième, quatrième année et même bien sûr à l’IGR, j’avais enfin défini mon projet professionnel, mais certaines opportunités ont modifié ce projet.

Avez vous un endroit particulier de la Ville de Rennes qui vous plait particulièrement ?

Je suis Rennais… ! J’aime cette ville et je crois que les étudiants l’aiment beaucoup. La vie étudiante à Rennes est très agréable. Et l’IGR a cette chance d’être en plein centre ville. Vous savez qu’il y a quelques années, certains voulaient déplacer l’IGR sur le campus Ker Lann ? C’est un campus certainement très agréable mais il est complètement à la périphérie de Rennes

Dans vos loisirs, êtes vous sportif ou culturel ?

J’ai été sportif, je ne le suis plus vraiment. Culturel sans doute, mais je suis investi dans le monde associatif : pendant 8 ans à la Fondation de France et depuis 6 ans à ATD quartmonde, une association qui s’occupe d’aider les plus démunis et leur permettre d’avoir accès aux droits les plus fondamentaux, à savoir de vivre dans la dignité. Cette association les accompagne, mais ne les assiste pas. Je suis tout particulièrement chargé de la recherche de financement pour le grand Ouest.

 

Merci à Monsieur Liger d’avoir répondu à nos questions.

ParIGR-Inside

La mascotte…vue par Manon

 

Mascotte par Manon

Cette fois, il s’agit de Manon qui a surpris la mascotte de l’IGR en pleine balade dans le centre-ville de Rennes!

Il semblerait qu’il y ait déjà des fans…mais qui ne proviennent pas de l’IAE !

Faites comme Manon, envoyez-nous vos photos insolites, vos anecdotes à communication@igr-inside.com  !

Mais pour cela, n’oubliez pas….

Gardez l’oeil ouvert !

ParIGR-Inside

« En Haïti, les gens ont si faim d’apprendre qu’ils viennent parfois avec leurs enfants »

IGR-IAE de Rennes

Christophe Herriau

Découvrez Christophe Herriau, véritable baroudeur et fan de bons repas entre amis !

Qui êtes vous ? Qu’enseignez-vous au sein de l’IGR ? 

Je suis Christophe  Herriau. J’enseigne le contrôle de gestion et la stratégie à l’IGR, où j’interviens depuis 1995. Je ne vais pas vous présenter un cv universitaire. La formation et le parcours, les étudiants le savent bien, c’est aussi les gens que l’on rencontre. Mon parcours a été fait de belles rencontres. L’une des plus déterminantes comme étudiant, à l’époque en sciences économiques, était  mon prof de stratégie qui s’appelait Jean-Pierre Kernéis, aujourd’hui décédé. C’était vraiment un gentleman, breton farouche, qui avait dans ses cours l’habitude de toujours mettre une couleur humaine dans l’interprétation des faits d’entreprise. Il est à l’origine de ma première bifurcation vers la gestion car  c’est sur ses conseils et son appui que j’ai débuté chez PSA et EADS pour une première période. Beaucoup de belles rencontres… Si je vous parle en particulier d’une étudiante qui avait besoin d’aide pour structurer son mémoire de fin d’année et que j’ai finalement épousée, je risque d’être un peu hors sujet…

Qu’est ce qui a fait que vous êtes venu à l’IGR ?

C’est encore sur le conseil de Jean-Pierre Kernéis. J’étais à la fac d’éco place Hoche. Je tournais en rond là bas. Il m’a dit à l’époque que les sciences de gestion était un segment en forte croissance et que je pourrais m’y épanouir, que j’y aurai du boulot; il m’a conseillé de prendre contact avec Michel Gervais, à l’IGR. J’avais juste 1 mois de retard dans les délais de dépôt de dossier… Michel Gervais a accepté de me donner ma chance…

Comment qualifieriez vous l’ambiance entre prof ? 

Nous évoluons dans un univers où les universitaires ont pour habitude de débattre, c’est dans leurs chromosomes. Ces débats ont parfois virés à la tempête, c’est plus humain qu’universitaire, mais le plus souvent dans un verre d’eau, et pour l’intérêt des étudiants. Nos habitudes de travail sont en fait très largement collégiales. Beaucoup se voient en dehors du travail, font du sport ensemble, par exemple l’IGR compte une équipe de redoutables marathoniens…

Pouvez vous qualifier les étudiants de l’IGR en quelques mots ?

Ils ont les défauts de leur qualité. Par exemple je trouve qu’ils se sous-estiment par rapport à la réalité de leur niveau. En revanche, on ne leur dit pas souvent, pour ne pas gâcher l’humilité que cela produit parfois. Très connectés, mais imprudents sur les réseaux sociaux, participatifs, mais seulement avec les voisins d’amphi…

Quelle aura été l’expérience la plus gratifiante pour vous au sein de l’IGR ?

Le café de 7h30 avec Christian Vigouroux… surtout s’il me ramasse dans la rue vers 7h pour m’éviter la pluie, et que je roule en Porsche pendant 5 minutes à 120 dans les rues de Rennes pour arriver à l’IGR. J’exagère peut être un peu mais je crois qu’on peut encore progresser dans la gratification quand il me laissera conduire son petit deux-roues récent.

Avez vous une anecdote à nous raconter sur votre vie à l’IGR ?

Je peux vous parler de mes étudiants du CCA d’Haïti. J’interviens là bas depuis trois ans maintenant au côté de Lionel Touchais et Jean Laurent Viviani. C’est une expérience très forte, face à des gens pour qui tout n’est pas dû: la première promo a perdu certains de ses membres pendant le tremblement de terre de 2010, en plein cours de fiscalité. J’ai rarement croisé des étudiants aussi motivés. C’est à peu près la seule fois où quand on arrive 15 min en avance en cours, eux sont là une demie heure avant et bossent en groupe. C’est une vrai leçon d’implication. Vous avez des gens qui ont si faim d’apprendre, qu’ils viennent parfois avec leurs enfants parce que le petit ne peut pas être gardé… Vous faites cours le soir, ils reviennent du boulot et il n’y a pas assez de place dans la salle ? Aucun problème pour eux, les gens sont assis dehors, ils suivent par la fenêtre, jamais aucun problème… On oublie vite les kalachnikov ou les fusils à pompe à l’entrée de l’université pour ne pas laisser entrer n’importe qui…

Qu’auriez vous fait si vous n’aviez pas été prof ?

J’étais normalement paramétré pour rester en contrôle de gestion chez EADS. J’ai finalement fais le choix de la grande aventure et de la prise de risque. Le métier idéal pour un lecteur de Dorian Gray…

Avez vous un endroit particulier de la Ville de Rennes qui vous plait particulièrement ?

Oh, bah ce sera un endroit forcément où l’on mange… Ce que j’aime par dessus tout, c’est faire un bon repas.  C’est assez étonnant, c’est une ville de bistrots plus que de crêperies. Un bon endroit très bien pour les étudiants : très simple, pas cher, c’est «L’épicerie», pas loin de la place Hoche, qui fait des tartines et de très bons desserts… ! C’est toujours plein de moins de 25 ans!

Dans vos loisirs, êtes vous sportif ou culturel ?

La dernière fois que j’ai fais du sport c’était avec Florence André LePogamp, marathonienne et Lionel Touchais, pendant un semi marathon à Casablanca. Eux étaient sur la ligne de départ, moi sur le trottoir. Ils sont passés devant moi, j’ai applaudis, j’étais crevé de les voir courir et je suis aller me remettre en buvant un thé à la menthe-pâtisserie à l’arrivée…Vous comprenez que ma pratique du sport autorise un peu la culture, car du coup, je lis un peu en attendant ceux qui courent. Quelque fois longtemps d’ailleurs… Je lis des auteurs que l’on ne croise pas beaucoup sur des étagères universitaires. Souvent américains. Joe Lansdale ou Craig Johnson, par exemple, mes préférés du moment.

 

Merci à Monsieur Herriau d’avoir répondu à nos questions!

ParIGR-Inside

Aujourd’hui on a vu….la Mascotte !

Pour ceux qui auraient répondu « Ah bon, il y’en a une ?? » à la question « Que pensez-vous de la mascotte de l’IGR ? », sachez que nous avons la preuve en images, elle existe !

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Nous avons surpris le Renne en plein shooting photo sur le pont ! Espérant que ce dernier a résisté vu son vieil âge…

Cependant, nous n’avons toujours pas élucidé qui se cachait dessous ! Nous sommes preneurs de tout indice, un cheveu, un poil de barbe ou de renne retrouvé sur le pont…En  tout cas, le renne sait prendre la pose.

Suite au prochain épisode ?

Et n’oubliez pas, gardez l’œil ouvert !

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« Mais où est… la salle 422 ? »

« Non, l’IGR n’est pas un labyrinthe! ». « Oui, l’IGR est tout petit »

Bien sûr, lorsque l’on regarde le bâtiment de l’extérieur, nous sommes à mille lieues de nous imaginer qu’il est possible de se perdre au sein de l’IGR, rien qu’en cherchant une salle… Vous en doutez ? Notre équipe a fait le test : trouver la fameuse salle 422

Partons d’un énoncé tout simple : Un étudiant de l’IGR, se déplaçant à une moyenne de 3,45 km/h, cherche la salle 422. Combien de temps (en minutes) lui faudra-t-il pour atteindre cette salle, sachant qu’il reviendra sur ses pas deux fois, empruntera 3 escaliers différents, et se prendra pour l’Indiana Jones des temps modernes à explorer certains lieux méconnus de l’IGR ? … Vous avez 3 heures. (Calculatrice interdite)

Un étudiant lambda se penchant sur le problème se fait la réflexion suivante : « 422, ok… un 4 devant… donc 4e étage ! » (Très impressionnant …!). Le cœur du problème ne réside pas dans le numéro de l’étage, mais bien dans le parcours du combattant (appelons un chat, un chat) à suivre. La vidéo vous montre le chemin parcouru par nos soins. La salle a été trouvée… mais avec quelques légers détours ! Itinéraire fortement déconseillé !

Solution du problème : Prendre l’escalier se situant au sein du centre franco-japonais et monter au quatrième étage directement…  Simple comme bonjour ! Désormais, l’excuse « Excusez moi, je me suis perdu » n’est plus valable pour un quelconque retard dans cette salle… Merci qui ? Merci IGR Inside !

 

Et n’oubliez pas… gardez l’œil ouvert !