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Welcome back, NYC !

Nous voilà repartis pour NYC avec la deuxième partie du témoignage de notre ancienne IGRienne, Céline J. Laissez-vous tenter par une mise en perspective du rêve américain, mais aussi de ses travers, pour être suffisamment alertes si vous souhaitez, vous aussi, partir à l’aventure.

Travailler à l’étranger, était-ce un choix depuis longtemps, ou ça s’est fait comme ça ?

Je n’ai jamais forcément eu l’idée de travailler à l’étranger, j’avais un attrait pour les voyages et j’étais bonne en anglais.

Les Etats-Unis et le fait de fréquenter des étudiants internationaux ont changé qui je suis. Je respecte l’approche libérale des EU, ils se posent sur leurs acquis, on n’a rien sans rien ici, ça me permet de voir le monde du travail différemment. Je partage davantage le côté entrepreneurial américain, on galère moins, c’est un peu l’American Dream. J’ai lu une fois que “l’échec pour un entrepreneur, c’est comme une cicatrice sur la tronche d’un malfrat, si t’en as pas au moins une, t’es pas crédible” et je trouve que ça reflète parfaitement l’entrepreneuriat aux EU. En France, il y a la peur de l’échec, dès que tu mets la clé sous la porte, c’est négatif, on est stigmatisés par l’échec. Aux EU, on se dit qu’il a essayé, l’échec n’est pas considéré comme mauvais, on te pousse vers le haut, c’est ça que j’apprécie. Après, certains aspects français me manquent. Un jour, je trouverai le bon équilibre.

Comment as-tu trouvé ton poste ? Comment s’est passé l’entretien ?

Par le réseau, (j’avais gardé des contacts de mon 1er passages aux EU) : à un dîner avec des amis et leurs amis, dont Eric Kayser (réseau international de boulangeries artisanales). Je ne me suis pas démontée et je me suis présentée. Dans la soirée, il m’a présenté quelqu’un que j’ai revu 2 jours plus tard autour d’un café. C’est comme ça que s’est fait mon entretien, autour d’un café !  Aux EU, tu es plus embauché sur sur ta personne, c’est ton réseau, les personnes autour de toi qui font ta crédibilité.

A-t-il été difficile de t’intégrer à l’étranger ? Comment vis-tu ton éloignement ?

L’intégration est assez facile, c’est de rester qui est plus compliqué. Plus je vis à l’étranger et plus je me rends compte que je rate des choses en France, des moments avec mes amis.

Je vis à l’étranger on and off depuis cinq ans maintenant en ne restant rarement plus d’un an par pays. Du coup, j’ai l’impression de commencer beaucoup de choses d’un point de vue social mais de ne jamais les finir. Je n’ai plus vraiment d’attaches nul part.

Quand tu voyages pas mal, tu fais des rencontres formidables et tu rencontres des gens extraordinaires. Tu partages ta culture, tu en apprends d’autres. Humainement, l’expérience est incroyable et je la recommande. Mais après un moment, les petites choses toutes bêtes commencent à te manquer (la nourriture principalement, mais les valeurs aussi). On a tous grandi avec une culture particulière mais quand tu vis dans un autre pays, tu t’adaptes “à Rome, fais comme les romains”.  New York est vraiment un cas à part.

Je respecte le travail aux EU mais la culture européenne me manque. Plus tu es loin, plus tu oublies. NYC a ce côté corrompu, il te corrompt, tu laisses une partie de tes valeurs à la douane. New York est une ville où tout se base sur qui tu es, avec qui tu es. C’est ton réseau qui définit ta personne et tu te rattaches au réseau des gens que tu rencontres.

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Mais il arrive un point où tu ne te reconnais plus toi-même. J’en ai fait l’expérience récemment où je me suis rendue compte que je ne supportais plus les gens avec qui je trainais. Aux EU c’est l’apparence qui compte le plus. Ca te bouffe un peu mais il faut savoir revenir à ses valeurs chères. Je respecte le côté travail. C’est des requins à NYC même aux  EU, travailler plus pour gagner plus, c’est le système de la débrouille, tu n’as pas le système social français. Ca te permet d’élever ta personne mais ca peut aussi te briser. Il m’a fallu 4 ans pour réaliser que le pays me changeait. Tu ne peux pas tout lâcher, il y a des valeurs qui te définissent.

Tu m’aurais posée la question il y a 5 ans, je t’aurais dit que j’adore, que tout est top. Mais aujourd’hui, je dirais que NYC a un prix, c’est à toi de poser tes limites pour ne pas te perdre, toi et tes valeurs.

Quelles sont les différences que tu as pu remarquer entre les entreprises françaises et américaines ?

Pour être tout-à-fait honnête, je n’ai aucune idée de ce que c’est de travailler aux USA en tant qu’Américain. Juste ce que c’est de travailler en tant qu’immigrant. J’ai le sentiment ici que je dois toujours me prouver, me donner à 1 000% et me rendre indispensable pour l’entreprise. Un Américain ne va pas avoir cette même perspective car il n’a pas besoin de justifier son visa. Quand tu es immigrant, tu es lié à l’entreprise qui t’embauche. Ton avenir professionnel, et donc personnel, sont entre les mains de ta boîte. Ce n’est pas très agréable comme sentiment.

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usa-celine-2Comptes-tu rester aux USA par la suite, travailler dans un autre pays ou revenir en France ?

La France, pas sûr. En France, on a tellement de droits qu’on en oublie le sens. Ici j’ai dû réapprendre que travailler est un droit et un privilège. J’ai dû payer pour avoir le droit de travailler : c’est quand même fou quand on y pense. Je n’ai pas les mêmes droits qu’un américain non plus. Je suis liée à l’entreprise qui me sponsorise. Je n’ai pas cette liberté de changer comme je veux ou de me reposer sur le chômage. Travailler en Europe, oui ! Genre Londres, c’est le meilleur des deux mondes, ce n’est pas parfait, mais il y a le côté européen des valeurs et le coté libéral du monde de l’entreprise.

Après NYC est une ville à part, peut-être que je pourrais bosser dans un autre Etat ou au Canada. C’est une ville où tout va bien ou tout va mal, il faut avoir les tripes pour s’accrocher. On se pose des questions existentielles. Pour le moment, je m’accroche parce que je suis jeune et j’ai des opportunités.

Les discussions principales entre copines ici sont hallucinantes, jamais je n’aurai pu penser avoir une conversation sur “Est-ce que je vais congeler mes oeufs ?”…

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Tout se passe en retard coté couples ici, professionnellement les femmes réussissent mais il faut mettre de coté ta féminité ! Tu as deux catégories de femmes : celles qui veulent réussir à tout prix et qui mettent leur vie perso en stand by, et celles qui se trouvent un mari bien friqué et qui les entretient. Et qu’on mette les choses au clair : la dating pool à NYC, c’est un enfer avec 1 homme pour 6 femmes !!!

Que conseillerais-tu à un étudiant qui souhaite travailler à l’étranger ?

Patience, détermination, confiance en soi, persévérance mais aussi :

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Bienvenue à NYC ! Tu commences par chercher un logement, en colloc’ ou sous loc’  et ce pour un loyer moyen de $1500. Ah, ça c’est uniquement le prix d’une chambre avec au moins un colloc’ qui va t’extorquer les deux tiers de son loyer – bah oui c’est son nom sur le bail et t’as rien à dire, c’est partout pareil – ! Ah, et quand tu sais que le prix d’un dentifrice à Manhattan c’est $8…giphy-11

Je te laisse imaginer les frais d’installation (dépôt de garantie, tes draps/couette/oreiller, ton savon, shampoing, gel douche, dentifrice – tu sais ces petits trucs pour lesquels tu t’es dit que ça pesait trop lourd dans la valise et que tu allais trouve sur place – … Tu arrives donc à $5000 de frais d’installation – sérieusement je ne rigole pas, j’ai même pleuré – . Viennent ensuite tes frais mensuels de téléphone ($60 le forfait le moins cher), de transport ($116,50 par mois) et de nourriture (pas loin de $600 par mois en mangeant des pâtes tous les soirs).

La vie à NYC c’est dur, il te faut une période d’adaptation. Perso, il m’a fallu six mois pour économiser un peu. Je me suis vue vivre avec 38 centimes pendant 2 semaines … Zero marge d’erreur ! Ca parait dur mais c’est génial ! Je ne serais pas là si je n’aimais pas. C’est une opportunité incroyable mais il faut faire des concessions.

Qu’est ce qui a été et/ou est le plus dur de vivre à l’étranger ?

Prétendre être une personne dans ton travail, créer un personnage pour être efficace, je ne dis jamais non, je dis “oui mais”, tout faire à 1 000%, entache ta vie personnelle. Vivre a NYC, c’est faire des concessions. C’est top mais c’est cher. Tu sors beaucoup donc tu oublies tes petits moment simples comme aller faire tes courses et cuisiner. Ici, il manque l’art de vivre, c’est aussi supporter l’éloignement lors des fêtes, il faut être courageux ou curieux.

Tu doutes, tu te demandes si tu as fait le bon choix, toute ta confiance en toi redescend par phase : je fais le bilan, je me rassure, je demande à mon entourage de me rassurer (sinon tu rentres en France). Tu as besoin d’un bon support derrière toi pour tenir. En 5 ans, c’est la première fois que ça m’arrive. Je suis dans l’insécurité. Mes potes restés en France sont posés et moi, je ne suis pas posée. Tout est lié à mon boulot ici : réseaux, collègues, c’est 80% de ma journée.

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Un souvenir incroyable de ta vie aux States ?

Je ne saurais même pas dire, j’en ai plein… Sûrement la générosité des gens et la simplicité.

J’ai été accueillie à Noël dans la famille d’une amie de fac (que je connaissais à peine). Quand la fac était fermée pour les fêtes, j’étais à la porte et elle m’a invitée.

J’aime rencontrer des gens et leur rendre leur générosité. Quand mes parents ont vu cette générosité, ils ont commencé à ouvrir leur porte à de parfaits inconnus.

Mon anecdote perso : J’ai commencé mon aventure New Yorkaise par un gros coup de chance. J’étais sur Skype avec ma mère lorsqu’elle a reconnu Cyril Lignac derrière moi. J’ai raccroché et je suis allée me présenter. A l’époque, je travaillais pour un fromager Bordelais et j’avais besoin de développer mon réseau pro. Opportunité parfaite ! Je suis allée le voir pour me présenter, et non pas pour lui demander un autographe mais lui vendre mon fromage pour son resto new-yorkais (haha!) Il m’a présenté les gens avec qui il était : des grands pontes de la cuisine à NYC dont ma future meilleure amie. C’est vrai qu’il ne faut pas être timide mais être prêt à prendre des risques et foncer. Les opportunités et la chance, ça se provoque. Cette anecdote, c’est le moment qui a déterminé ma carrière. Quand j’y pense, je n’y crois toujours pas. NYC est vraiment LA ville de toutes les opportunités !

Parmi les choses qui m’ont le plus frappée aussi sur un registre plus triste et sérieux, c’est la chance qu’on a d’être Français. Plus t’es loin, plus tu apprécies la France. Quand je reviens, je me rends compte qu’on est privilégiés (en France, on ne meurt pas du diabète, les EU ne sont pas un pays du tiers-monde et pourtant c’est possible). C’est vraiment le monde à l’envers. L’une des plus grosses puissances du monde qui ne peut/veut pas soigner ses citoyens. J’ai beau être critique sur le système français, s’il y a une chose que je respecte, c’est notre système de sécurité sociale (pas parfait, c’est sûr). En France, on ne laisse pas mourir les gens et on ne les ruine pas en les soignant. Les gens s’endettent aux USA pour pouvoir se soigner…

Le mot de la fin :

A NYC, c’est à toi de choisir selon tes valeurs, c’est la ville de toutes les possibilités : laisser sa vie privée, sa famille, sa jeunesse, c’est à toi de faire la balance. Ce sont des questions que je ne me posais pas avant, mais plus je vis ici, et plus les questions sont les mêmes et tu commences doucement à tout reconsidérer. Il faut juste se donner les moyens pour atteindre ses rêves !

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Direction NYC à travers le parcours d’une ancienne IGRIenne !

Que diriez-vous de profiter du témoignage d’une ancienne étudiante de l’IGR, désormais à NYC ? Céline Jaffredou, récemment diplômée du master MAE, nous partage son expérience et ce, sans tabou. Vous pourrez dès lors profiter de ses impressions en tant qu’étudiante expatriée et employée immigrante, ainsi que de ses précieux conseils pour mener à bien vos années d’études au sein de l’école. Bonne lecture !

Qui êtes-vous ? Quel est votre poste actuel ?

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Je m’appelle Céline Jaffredou, j’ai 26 ans et je suis en charge du développement du marché retail pour un torréfacteur à New York.

Quand étiez-vous à l’IGR ? Dans quelle formation ?

J’ai intégré le Master MAE parcours international et management biculturel de l’IGR en 2015 et été diplômée en 2016.

Mais avant l’IGR, j’ai obtenu ma Licence LEA à l’Université de Rennes 2, avec un bachelor à UNCG en Caroline du Nord lors de la L3 et enchaîné sur un stage de deux mois à Montréal chez Holt Renfrew (équivalent Galeries Lafayette au Canada).

Ensuite, j’ai effectué un Master Marketing & Management International, toujours à Rennes 2 et réalisé un stage lors du M1 et un stage de six mois à Londres pour un broker/importateur de café FA COFFEE LTD.

J’ai fait le choix d’une année de césure après mon M1 MMI à New York. Je développais un bureau commercial pour le compte d’un fromager bordelais, Jean d’Alos.

A mon retour, j’ai intégré l’IGR pour mon MAE.

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Pour vous l’IGR c’est _____ ?

C’est une école de commerce, de très bons profs avec de bonnes explications, et surtout, une belle expérience. J’ai rarement autant appris d’une institution. J’ai beaucoup aimé la mixité des profils. C’est une école à taille humaine – et ça, ça fait tout- avec des profs aussi bons les uns que les autres dans leur domaine. En bref, l’IGR c’est top. On me l’a recommandé et j’ai toujours eu de bons feedbacks. Aujourd’hui, je recommanderais l’IGR à mon tour. C’est aussi un bon compromis car c’est une école abordable, qui a une belle âme, c’est le côté « l’union fait la force » rien que par la vie associative !

Votre meilleur souvenir de vos années à l’IGR ?

Les gens, le fait que l’on vienne tous d’horizons différents. J’ai beaucoup appris d’eux, cela a remis les choses en perspectives, il y a un bel échange. J’ai autant appris des profs que des élèves.

La vie asso c’était ____ ?

Maestro ! Cela a permis de financer la 1ère année du projet “hors les murs”. Le but de celui-ci est de visiter des entreprises à l’étranger et d’analyser le fonctionnement. Les élèves organisent tout de A à Z (avion, logement, entreprises à visiter). Nous sommes allés à Berlin. Nous avons créé des relations à part avec de réels échanges, un peu comme aux USA.  Tu donnes autant que tu reçois.

Un conseil à donner aux étudiants actuels ?

1/ Ne procrastinez pas ! C’est impossible de réviser à la dernière seconde, ni de faire les projets à la fin…

2/ Surtout ne tombez pas malade (sous risque de passer ses exams de premier et deuxième semestres d’affilée… L’ENFER !!!).

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3/ Organisez-vous en “study group” selon vos domaines de prédilections pour vous entraider. Aidez-vous les uns les autres, mais révisez séparément.

4/ S’inscrire aux projets proposés par l’IGR comme Les entrepreneuriales – Concours Pépite Bretagne. J’ai finis 3ème du concours avec mon équipe (chèque à la clé ^^ héhé). Le projet a compté comme mon projet de fin d’année, en adéquation parfaite avec l’IGR, car quand on monte sa boite, on est dans le cœur du sujet.

Avez-vous gardé contact avec vos anciens camarades ou professeurs de l’IGR ?

Oui, clairement oui ! Surtout quand certains viennent me voir à NYC, on garde contact, car ce ne sont pas des camarades, ce sont des amis, des gens formidables. Quand je reçois des offres de stages ou d’emplois, je les transmets aux professeurs de l’IGR. Sans réseau, pas de boulot ! *ça rime, la classe* Clairement sans les réseaux, je ne serais pas là où je suis. Toujours garder contact avec les gens.

Quel type d’étudiante étiez-vous ?

Avant l’IGR, je n’étais pas une étudiante modèle, plutôt débrouillarde et ambitieuse. J’ai toujours su que je n’avais pas les meilleures notes, mais j’avais un bon profil grâce à mes expériences professionnelles mais surtout, j’étais surmotivée. Je suis la championne n°1 de la procrastination : la seule année où je me suis défoncée, c’est celle de l’IGR. En même temps, ma devise est la suivante “I don’t take no for an answer”. Par exemple, j’ai volontairement repiqué ma L2 car j’avais raté les délais pour partir à l’étranger !

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Je savais également que je n’avais pas les mêmes chances en sortant de la fac que les grandes écoles, du coup quand il y avait un stage de 3 semaines, je faisais 6 mois. La fac, ce n’est pas un gros mot mais il faut avoir conscience que c’est plus difficile à vendre sur le marché du travail. Je suis fière d’avoir fait la fac, d’y avoir “survécu”. En effet, même si je ne suis pas une passionnée des études, je vais toujours au bout des choses (c’est une qualité importante si vous voulez vous expatrier !). J’en ai bavé, ça c’est sûr, mais je suis fière d’être là où j’en suis. Ca va faire cliché mais je ne serais pas là où j’en suis sans ma famille, mes proches et mêmes les gens de l’IGR. Ce sont les gens qui sont autour de toi qui font qui tu es. Je ne suis pas là pour donner des conseils mais pour partager mon expérience : donne-toi à fond, tu vas peut-être te casser les dents sur la route mais ça en vaut le coup.

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Retrouvez très prochainement la seconde partie de l’entretien de Céline sur sa vie à NYC !

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« L’IGR bénéficie d’une forte notoriété vis-à-vis des entreprises »

IGR les yeux dans les yeuxDécouvrez Servane, ancienne étudiante à l’IGR, aujourd’hui collaboratrice comptable

 

Qui êtes-vous ? Quel est votre poste actuel ?

Je m’appelle Servane. J’ai quitté l’IGR l’année dernière. Aujourd’hui je suis collaboratrice comptable débutante.

Quand étiez-vous à l’IGR ? Dans quelle formation ?

Je suis arrivée en Licence en 2010 et j’ai ensuite choisi de m’orienter vers un Master en Comptabilité-Contrôle-Audit.

Pour vous l’IGR c’est _____ ?

Un tremplin reconnu pour accéder à des postes intéressants en management. C’est aussi un réseau, une possibilité de partir à l’étranger, des rencontres, des soirées…

Votre meilleur souvenir de vos années à l’IGR ?

Sans aucun doute, mon séjour à l’étranger à Montréal durant le 1er semestre de Master 1. Un souvenir assez inoubliable de par les rencontres que j’ai pu faire, le charme du Québec et l’état d’esprit des québécois (leur accueil super chaleureux et leur générosité).

J’encourage d’ailleurs vivement tous ceux qui hésitent à partir en Erasmus à le faire… et profiter des possibilités offertes par l’IGR (grâce à son réseau international assez développé et au bon encadrement).

Avez vous un professeur qui vous a marqué ? Pour quelles raisons ?

Christophe Herriau, professeur en stratégie et en contrôle de gestion. Pour toutes les petites anecdotes qu’il a pu nous raconter en cours, son discours toujours très pertinent et la capacité qu’il a à éveiller notre curiosité.

Y a-t-il une soirée vous a particulièrement marqué ? Pourquoi ?

La soirée de Noël en Licence. L’asso avait réussi à rassembler pas mal de personnes de la promo et à mon souvenir, c’était un joyeux bordel !

La vie asso c’était ____ ?

L’occasion de faire des soirées et d’avoir carte blanche sur un projet qui sorte de l’ordinaire, dans lequel on peut s’impliquer et s’investir pleinement !

Un conseil à donner aux étudiants actuels ?

Investissez-vous dans la vie asso, profitez des études pour partir à l’étranger quelques mois… !

Que pensez-vous du Club IGR ?

C’est un bon moyen pour trouver des stages (grâce à l’annuaire). Après je ne sais pas concrètement si j’en aurai l’utilité plus tard.

Avez vous gardé contact avec vos anciens camarades ou professeurs de l’IGR ?

Oui, ça fait seulement quelques mois que j’ai quitté la vie étudiante donc je suis toujours en contact avec des personnes de l’IGR.

Pousseriez vous un étudiant à postuler à l’IGR ? Pourquoi ?

Bien sûr ! J’encouragerais un étudiant à postuler à l’IGR, notamment parce qu’il s’agit d’une bonne alternative par rapport à une école de commerce classique et que l’IGR bénéficie d’une forte notoriété vis-à-vis des entreprises, particulièrement en Bretagne.

 

Merci à Servane d’avoir répondu à nos questions !