Archive de l’étiquette étudiants IAE

ParIGR-Inside

#TALENTS IGR – Portrait 5 : Benjamin

Et on commence la semaine en beauté, avec la reprise de la rubrique #Talents IGR. A l’honneur pour ce portrait, Benjamin ! En plus de sillonner tout l’IGR sous le costume de la mascotte, il fait également du VTT et réalise de nombreuses vidéos.

ben 1

Peux-tu te présenter ?

Je m’appelle Benjamin Leraux, je suis en M1 Marketing. Je viens de Granville dans la Manche et avant l’IGR je suis passé par un DUT Techniques de Commercialisation.

Quelle passion veux-tu partager avec les IGRiens ?

Ma passion pour le VTT dans son ensemble, de la pratique au suivi des compétitions en passant par la réalisation de photos et vidéos de ce sport. Le VTT associe très bien 3 éléments importants : le côté sportif avec la possibilité de se défouler, d’aller vite, les amis car c’est toujours plus agréable de rouler en groupe, et la nature. En vélo, on passe partout et on peut voir des paysages grandioses parfois inaccessibles par d’autres moyens… C’est d’ailleurs cet aspect que l’on essaye de mettre en valeur via nos photos et vidéos.

Le VTT est un sport que se prête bien à la mise en images du fait des mouvements rapides, des changements de lumières, etc…

Comment as-tu découvert ce sport ?

Au début, c’était simplement le moyen de transport utilisé par tous les enfants en campagne. Puis petit à petit on a fait de plus en plus de kilomètres, on a amélioré les vélos, l’équipement,…

 

As-tu quelques expériences à nous faire partager ?

Passer deux semaines dans les Alpes, à Méribel? pendant la finale de la Coupe du Monde de VTT reste l’expérience la plus énorme !! Nous avons pu côtoyer des passionnés de VTT du monde entier et vivre un évènement impressionnant avec des grands champions. Ces derniers sont accessibles sur les paddocks et on a pu parler et prendre des photos avec eux. De plus, cet évènement me conforte dans l’idée d’un jour associer mon métier à ma passion dans une entreprise liée au VTT(chez une marque, un distributeur ou bien dans l’évènementiel).

Un petit message à faire passer aux IGRiens ?

Le vélo c’est cool mais ça peut être dangereux !! Après de longues années sans accidents, je me suis luxé l’épaule sur une mauvaise chute il y a un mois. Mais outre ça, je veux surtout dire que peu importe le sport ou la passion que l’on pratique elle est nécessaire dans nos vie ! En parallèle des cours ou de la vie professionnelle, cela sert d’échappatoire pour libérer la pression et le stress – en tout cas à l’IGR ça peut être nécessaire -.

« Remember to ride fun ! »

ben 3

N’hésitez pas à faire un tour sur cette page Facebook pour découvrir ses vidéos :

https://www.facebook.com/SJdC.Vtt.pageofficielle/

ParIGR-Inside

#TALENTS IGR – Portrait 4 : Bleuenn

Nouvelle année, nouveau talent ! Aujourd’hui nous vous proposons de découvrir le portrait de Bleuenn et sa passion: la voltige équestre, sport qui allie musculation et acrobatie à l’univers de l’équitation.

Peux-tu te présenter ?

Je m’appelle Bleuenn, j’ai 21 ans, et je suis voltigeuse depuis maintenant 11 ans (voir 12,  je ne sais plus exactement). Je suis en Licence de Gestion à l’IGR. Auparavant, j’ai fait un DUT à Saint-Malo en Gestion des Entreprises. Je suis originaire de Rennes.

voltige

Quelle passion veux-tu partager avec les IGRiens ?

Ma passion, c’est la voltige équestre. Elle est issue de la pratique militaire. Comme son nom l’indique, la voltige se pratique sur des chevaux. On la pratique en équipe, en pas de deux ou en individuel. Le cheval évolue sur un cercle au bout d’une longe tenue par le « longeur » qui se trouve au milieu du dit cercle. Le voltigeur ne se préoccupe pas diriger le cheval. De plus, l’harnachement est différent de celui de l’équitation classique. On parle de surfaix et de tapis carbone et les seuls points d’accroche sont les poignées.

L’autre différence majeure avec l’équitation réside dans l’entraînement. La répartition se fait ainsi : 75% du temps consiste dans le travail de musculation, de gym et de travail au sol contre 15% seulement de travail sur le cheval.

Les qualités physiques des voltigeurs sont quasiment les mêmes que les gymnastes, et les mouvements sont d’abord préparés au sol et au tonneau (faux cheval) avant d’être mis en application sur le cheval.

 Comment as-tu découvert ce sport ?

 C’est ma sœur qui l’a découvert en premier et nous nous sommes inscrites ensemble dans un des seuls clubs autour de rennes en proposant. Je pratiquais l’équitation auparavant et j’en avais déjà fait un peu mais la voltige reste une toute petite discipline.

 As-tu quelques expériences à nous faire partager ?

Depuis 10 ans, j’ai pu vivre de nombreuses expériences grâce à ce sport. J’ai participé à de nombreuses compétition et nous avons été vice-championnes  de France en 2013 avec mon équipe dans notre catégorie (puis j’ai du arrêter avant de reprendre cette année). La même année j’ai aussi fait un stage et une compétition à Madrid ou j’ai rencontré des voltigeurs de pleins de pays comme l’Afrique du Sud, le Brésil, la Norvège, la Colombie…

voltige 3

Avec mon équipe, nous participons à des stages au pôle France de voltige situé à Saumur. Même si ces stages sont intenses, nous apprenons à repousser nos limites et rencontrons des voltigeurs des autres régions.

La France est une figure de la discipline avec de nombreux voltigeurs et équipes parmi les meilleurs mondiaux.

Le Pôle Européen du Cheval au Mans a organisé les Championnats d’Europe et du Monde en 2011 et 2012 et j’y ai été bénévole. Je suis également devenue juge Club et je viens de suivre une formation pour devenir juge National. A terme, je souhaiterais devenir juge international car je ne me vois perdre le contact avec le milieu de la voltige.

Mais la voltige c’est surtout l’expérience du travail en équipe. On apprend le respect, le vivre ensemble et l’envie d’évoluer en équipe, de gravir des étapes. Je pense pouvoir dire que ma pratique sportive a fortement contribué à me construire et j’ai pu développer des qualités comme la gestion du stress. On noue des amitiés et on fait des rencontres inoubliables !
Un petit message à faire passer aux IGRiens ?

voltige 5

Juste de « vivre » sa passion, c’est un peu bateau comme formulation mais c’est ce qui me paraît le plus juste. Même si parfois ça nécessite quelques sacrifices, toutes les expériences vécues grâce à elle résonnent plus fort et permettent de s’épanouir tous les jours !

Et en plus on peut même concilier notre passion avec les études puisque je suis maintenant trésorière de notre association 😉 !

 

 

 

ParIGR-Inside

#TALENTS IGR – Portrait 3 : Landry

Et bien non, les secrets des Igériens n’ont pas encore tous été dévoilés ! Nous continuons donc notre rubrique des talents Igériens. Aujourd’hui, découvrez un sport encore méconnu. Car si nous connaissons tous le Kayak et le Polo, le Kayak-polo est encore peu pratiqué. Pas de panique, Landry va lever le voile sur sa passion ! 

Sans titre 1

Peux-tu te présenter ?

Je m’appelle Landry et j’ai 24 ans. Je suis né à Saint-Lô et j’ai grandi à Avranches donc un vrai Normand. Je me suis expatrié en Bretagne pour faire mes études. J’ai débuté par une Licence de Mathématique-Economie avant de reprendre une Licence de Gestion à l’IGR pour atteindre aujourd’hui le master SICG dans son parcours en apprentissage (dans l’entreprise PSA à La Janais).

Quelle passion veux-tu partager avec les IGRiens ?

Ma passion, c’est le sport et plus précisément le Kayak-Polo. Ma vie s’articule depuis bien longtemps autour de cette passion qui me prend un temps considérable. Mais elle me rend énormément en retour.

C’est un sport qui mixe le Water-Polo et le Handball mais le tout en Kayak. Nous jouons donc deux mi-temps de dix minutes, intenses, pour prendre l’avantage en marquant un maximum de buts. Les buts sont situés à deux mètres de hauteur et le gardien les garde à l’aide de sa pagaie.

Sans titre 2

Comment as-tu découvert ce sport ?

C’est une bonne question vu la confidentialité de ce sport. J’ai une famille sportive et quand je suis arrivé à Avranches à 6 ans, je suis allé au forum des sports pour choisir ceux que je ferais. Je me suis lancé dans le rugby et le kayak pendant quelques années. Quand est arrivé l’âge de la compétition et que j’ai dû m’investir plus dans l’un de ces sports, j’ai fait le choix du kayak. J’ai alors alimenté ma passion et aujourd’hui je m’entraine entre deux et trois heures par jours, ce qui nécessite une bonne organisation de sa vie professionnelle et personnelle.

As-tu quelques expériences à nous faire partager ?

Il y a de nombreuses expériences que je voudrais partager mais ce serait bien trop long. Ma plus belle expérience c’est la finale des championnats d’Europe à Madrid en 2011 face à l’équipe d’Allemagne. Après un beau parcours sur la compétition, la finale a été très compliquée et nous étions menés tout au long du match. Un but à la dernière seconde nous a permis d’accéder aux prolongations, en Golden Goal : le premier à marquer est le vainqueur ! Ce fut sans doute les minutes les plus stressantes de ma vie. Lorsque nous avons marqué l’émotion était immense.

 J’étais champion d’Europe !

C’était aussi une revanche face à cette équipe d’Allemagne contre qui nous avions échoué l’année d’avant en finale des Championnats du Monde. C’était l’aboutissement d’une belle aventure humaine sur un podium et en chantant la Marseillaise.

Un petit message à faire passer aux IGRiens ?

Malgré tout ce qui se présente à nous, quand on a des rêves, de profondes ambitions, il est toujours possible de les atteindre. Il faut en être persuadé et se donner les moyens de réussir même si nos objectifs sont élevés et qu’ils demandent des sacrifices.

ParIGR-Inside

#TALENTS IGR – Portrait 2 : Benoît

La découverte des talents au sein de l’IGR continue ! Aujourd’hui à la une, le Kitesurf ! Alors non, ce n’est pas la passion la plus loufoque ou décalée. Mais connaissons-nous vraiment ce sport ? Sensations fortes, vitesse, air marin, tricks…Découvrez-le à travers le portrait de Benoît Langenais.

12312295_10207014951486573_726909308_n
Peux-tu te présenter ?

Je viens de Basse Normandie, plus précisément de la Manche. J’habite la ville d’Avranches mais je passe tous mes week-ends et vacances en bord de mer à Jullouville (20 km d’Avranches). J’ai fait un DUT GEA à Rennes. Actuellement en Licence, j’envisage d’intégrer un Master CCA.

Quelle passion veux-tu partager avec les Igriens ?

J’aimerais vous parler de ma passion pour la mer et plus particulièrement le Kitesurf. En effet, beaucoup de personnes me posent des questions sur ce sport et je voudrais le leur présenter.

Comment as-tu découvert ce sport ?

Au départ, je faisais de la planche à voile. Je passais tous mes week-ends à naviguer, il m’arrivait même de faire plusieurs centaines de kilomètres pour « chasser le vent ». C’est d’ailleurs ce qui m’a permis de trouver un « job de rêve » : moniteur de planche à voile l’été.

Depuis mes débuts en planche à voile, le kitesurf s’est énormément démocratisé. Quelques-uns de mes amis ont commencé à en faire, j’ai donc eu envie d’essayer. Cela a été une véritable révélation ! Ce sont des sensations totalement différentes notamment en termes de saut et de hauteur. Et puis, tout est plus simple : transport, préparation du matériel, mise à l’eau…

12336004_10207014951406571_1253946385_n - Copie

Crédit photo : Caroline Langenais

As-tu quelques expériences à nous raconter ?

Beaucoup de gens pensent que le kitesurf est un sport très dangereux. Ils se trompent ! C’est sûr qu’il faut prendre des précautions. Personnellement, je ne me suis jamais vraiment fait mal.

Bien sûr, cela m’arrive de manger un peu de sable ou de prendre des grosses boites, mais ça fait partie du sport.

Il m’est aussi arrivé d’avoir quelques galères et de rentrer à la nage parce que le vent était tombé. Mais si on navigue à plusieurs et que l’on ne prend pas de risques importants, ce n’est pas un sport plus dangereux que les autres.

Ma meilleure expérience ? Naviguer dans un cadre idyllique avec les conditions parfaites. C’était dans les îles Chausey, une eau turquoise, un vent fort et régulier et surtout une mer toute plate. J’étais partie en bateau avec quelques copains. Nous avons navigué toute l’après-midi entre les îles à envoyer des gros tricks. La liberté de pouvoir aller où on veut, et ce, juste avec la force du vent est quelque chose d’extraordinaire.

Un petit message à faire passer aux Igriens ?

Il faut savoir repousser ses limites et essayer de nouvelles choses. J’invite tous les Igériens à essayer ce sport qui se transforme vite en drogue ! Le plus important, c’est de persévérer et ne pas avoir peur de l’inconnu car c’est ça qui nous fait aller plus loin.

Et si des Igériens veulent que l’on navigue ensemble, je suis ouvert à toutes propositions !