Archive de l’étiquette étudiant

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Quand aventure rime avec solidarité !

Embarquez l’espace d’un instant dans la 205 de l’association Eur’hope pour découvrir leur équipe et leur projet.

Le mot du co-président Mathis Perrigault :

On espère que vous allez nous suivre pendant le raid et n’hésitez pas à venir nous voir sur IGR Eur’hope !

Nous leur souhaitons bonne chance dans leur démarche et de vivre un raid de folie !

Retrouvez également les détails du raid sur Europ’Raid :

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Etre igérien c’est… !

La série « être igérien c’est… » est en avant première sur notre page Facebook, mais on vous en a fait une petite compilation :

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Welcome back, NYC !

Nous voilà repartis pour NYC avec la deuxième partie du témoignage de notre ancienne IGRienne, Céline J. Laissez-vous tenter par une mise en perspective du rêve américain, mais aussi de ses travers, pour être suffisamment alertes si vous souhaitez, vous aussi, partir à l’aventure.

Travailler à l’étranger, était-ce un choix depuis longtemps, ou ça s’est fait comme ça ?

Je n’ai jamais forcément eu l’idée de travailler à l’étranger, j’avais un attrait pour les voyages et j’étais bonne en anglais.

Les Etats-Unis et le fait de fréquenter des étudiants internationaux ont changé qui je suis. Je respecte l’approche libérale des EU, ils se posent sur leurs acquis, on n’a rien sans rien ici, ça me permet de voir le monde du travail différemment. Je partage davantage le côté entrepreneurial américain, on galère moins, c’est un peu l’American Dream. J’ai lu une fois que “l’échec pour un entrepreneur, c’est comme une cicatrice sur la tronche d’un malfrat, si t’en as pas au moins une, t’es pas crédible” et je trouve que ça reflète parfaitement l’entrepreneuriat aux EU. En France, il y a la peur de l’échec, dès que tu mets la clé sous la porte, c’est négatif, on est stigmatisés par l’échec. Aux EU, on se dit qu’il a essayé, l’échec n’est pas considéré comme mauvais, on te pousse vers le haut, c’est ça que j’apprécie. Après, certains aspects français me manquent. Un jour, je trouverai le bon équilibre.

Comment as-tu trouvé ton poste ? Comment s’est passé l’entretien ?

Par le réseau, (j’avais gardé des contacts de mon 1er passages aux EU) : à un dîner avec des amis et leurs amis, dont Eric Kayser (réseau international de boulangeries artisanales). Je ne me suis pas démontée et je me suis présentée. Dans la soirée, il m’a présenté quelqu’un que j’ai revu 2 jours plus tard autour d’un café. C’est comme ça que s’est fait mon entretien, autour d’un café !  Aux EU, tu es plus embauché sur sur ta personne, c’est ton réseau, les personnes autour de toi qui font ta crédibilité.

A-t-il été difficile de t’intégrer à l’étranger ? Comment vis-tu ton éloignement ?

L’intégration est assez facile, c’est de rester qui est plus compliqué. Plus je vis à l’étranger et plus je me rends compte que je rate des choses en France, des moments avec mes amis.

Je vis à l’étranger on and off depuis cinq ans maintenant en ne restant rarement plus d’un an par pays. Du coup, j’ai l’impression de commencer beaucoup de choses d’un point de vue social mais de ne jamais les finir. Je n’ai plus vraiment d’attaches nul part.

Quand tu voyages pas mal, tu fais des rencontres formidables et tu rencontres des gens extraordinaires. Tu partages ta culture, tu en apprends d’autres. Humainement, l’expérience est incroyable et je la recommande. Mais après un moment, les petites choses toutes bêtes commencent à te manquer (la nourriture principalement, mais les valeurs aussi). On a tous grandi avec une culture particulière mais quand tu vis dans un autre pays, tu t’adaptes “à Rome, fais comme les romains”.  New York est vraiment un cas à part.

Je respecte le travail aux EU mais la culture européenne me manque. Plus tu es loin, plus tu oublies. NYC a ce côté corrompu, il te corrompt, tu laisses une partie de tes valeurs à la douane. New York est une ville où tout se base sur qui tu es, avec qui tu es. C’est ton réseau qui définit ta personne et tu te rattaches au réseau des gens que tu rencontres.

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Mais il arrive un point où tu ne te reconnais plus toi-même. J’en ai fait l’expérience récemment où je me suis rendue compte que je ne supportais plus les gens avec qui je trainais. Aux EU c’est l’apparence qui compte le plus. Ca te bouffe un peu mais il faut savoir revenir à ses valeurs chères. Je respecte le côté travail. C’est des requins à NYC même aux  EU, travailler plus pour gagner plus, c’est le système de la débrouille, tu n’as pas le système social français. Ca te permet d’élever ta personne mais ca peut aussi te briser. Il m’a fallu 4 ans pour réaliser que le pays me changeait. Tu ne peux pas tout lâcher, il y a des valeurs qui te définissent.

Tu m’aurais posée la question il y a 5 ans, je t’aurais dit que j’adore, que tout est top. Mais aujourd’hui, je dirais que NYC a un prix, c’est à toi de poser tes limites pour ne pas te perdre, toi et tes valeurs.

Quelles sont les différences que tu as pu remarquer entre les entreprises françaises et américaines ?

Pour être tout-à-fait honnête, je n’ai aucune idée de ce que c’est de travailler aux USA en tant qu’Américain. Juste ce que c’est de travailler en tant qu’immigrant. J’ai le sentiment ici que je dois toujours me prouver, me donner à 1 000% et me rendre indispensable pour l’entreprise. Un Américain ne va pas avoir cette même perspective car il n’a pas besoin de justifier son visa. Quand tu es immigrant, tu es lié à l’entreprise qui t’embauche. Ton avenir professionnel, et donc personnel, sont entre les mains de ta boîte. Ce n’est pas très agréable comme sentiment.

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usa-celine-2Comptes-tu rester aux USA par la suite, travailler dans un autre pays ou revenir en France ?

La France, pas sûr. En France, on a tellement de droits qu’on en oublie le sens. Ici j’ai dû réapprendre que travailler est un droit et un privilège. J’ai dû payer pour avoir le droit de travailler : c’est quand même fou quand on y pense. Je n’ai pas les mêmes droits qu’un américain non plus. Je suis liée à l’entreprise qui me sponsorise. Je n’ai pas cette liberté de changer comme je veux ou de me reposer sur le chômage. Travailler en Europe, oui ! Genre Londres, c’est le meilleur des deux mondes, ce n’est pas parfait, mais il y a le côté européen des valeurs et le coté libéral du monde de l’entreprise.

Après NYC est une ville à part, peut-être que je pourrais bosser dans un autre Etat ou au Canada. C’est une ville où tout va bien ou tout va mal, il faut avoir les tripes pour s’accrocher. On se pose des questions existentielles. Pour le moment, je m’accroche parce que je suis jeune et j’ai des opportunités.

Les discussions principales entre copines ici sont hallucinantes, jamais je n’aurai pu penser avoir une conversation sur “Est-ce que je vais congeler mes oeufs ?”…

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Tout se passe en retard coté couples ici, professionnellement les femmes réussissent mais il faut mettre de coté ta féminité ! Tu as deux catégories de femmes : celles qui veulent réussir à tout prix et qui mettent leur vie perso en stand by, et celles qui se trouvent un mari bien friqué et qui les entretient. Et qu’on mette les choses au clair : la dating pool à NYC, c’est un enfer avec 1 homme pour 6 femmes !!!

Que conseillerais-tu à un étudiant qui souhaite travailler à l’étranger ?

Patience, détermination, confiance en soi, persévérance mais aussi :

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Bienvenue à NYC ! Tu commences par chercher un logement, en colloc’ ou sous loc’  et ce pour un loyer moyen de $1500. Ah, ça c’est uniquement le prix d’une chambre avec au moins un colloc’ qui va t’extorquer les deux tiers de son loyer – bah oui c’est son nom sur le bail et t’as rien à dire, c’est partout pareil – ! Ah, et quand tu sais que le prix d’un dentifrice à Manhattan c’est $8…giphy-11

Je te laisse imaginer les frais d’installation (dépôt de garantie, tes draps/couette/oreiller, ton savon, shampoing, gel douche, dentifrice – tu sais ces petits trucs pour lesquels tu t’es dit que ça pesait trop lourd dans la valise et que tu allais trouve sur place – … Tu arrives donc à $5000 de frais d’installation – sérieusement je ne rigole pas, j’ai même pleuré – . Viennent ensuite tes frais mensuels de téléphone ($60 le forfait le moins cher), de transport ($116,50 par mois) et de nourriture (pas loin de $600 par mois en mangeant des pâtes tous les soirs).

La vie à NYC c’est dur, il te faut une période d’adaptation. Perso, il m’a fallu six mois pour économiser un peu. Je me suis vue vivre avec 38 centimes pendant 2 semaines … Zero marge d’erreur ! Ca parait dur mais c’est génial ! Je ne serais pas là si je n’aimais pas. C’est une opportunité incroyable mais il faut faire des concessions.

Qu’est ce qui a été et/ou est le plus dur de vivre à l’étranger ?

Prétendre être une personne dans ton travail, créer un personnage pour être efficace, je ne dis jamais non, je dis “oui mais”, tout faire à 1 000%, entache ta vie personnelle. Vivre a NYC, c’est faire des concessions. C’est top mais c’est cher. Tu sors beaucoup donc tu oublies tes petits moment simples comme aller faire tes courses et cuisiner. Ici, il manque l’art de vivre, c’est aussi supporter l’éloignement lors des fêtes, il faut être courageux ou curieux.

Tu doutes, tu te demandes si tu as fait le bon choix, toute ta confiance en toi redescend par phase : je fais le bilan, je me rassure, je demande à mon entourage de me rassurer (sinon tu rentres en France). Tu as besoin d’un bon support derrière toi pour tenir. En 5 ans, c’est la première fois que ça m’arrive. Je suis dans l’insécurité. Mes potes restés en France sont posés et moi, je ne suis pas posée. Tout est lié à mon boulot ici : réseaux, collègues, c’est 80% de ma journée.

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Un souvenir incroyable de ta vie aux States ?

Je ne saurais même pas dire, j’en ai plein… Sûrement la générosité des gens et la simplicité.

J’ai été accueillie à Noël dans la famille d’une amie de fac (que je connaissais à peine). Quand la fac était fermée pour les fêtes, j’étais à la porte et elle m’a invitée.

J’aime rencontrer des gens et leur rendre leur générosité. Quand mes parents ont vu cette générosité, ils ont commencé à ouvrir leur porte à de parfaits inconnus.

Mon anecdote perso : J’ai commencé mon aventure New Yorkaise par un gros coup de chance. J’étais sur Skype avec ma mère lorsqu’elle a reconnu Cyril Lignac derrière moi. J’ai raccroché et je suis allée me présenter. A l’époque, je travaillais pour un fromager Bordelais et j’avais besoin de développer mon réseau pro. Opportunité parfaite ! Je suis allée le voir pour me présenter, et non pas pour lui demander un autographe mais lui vendre mon fromage pour son resto new-yorkais (haha!) Il m’a présenté les gens avec qui il était : des grands pontes de la cuisine à NYC dont ma future meilleure amie. C’est vrai qu’il ne faut pas être timide mais être prêt à prendre des risques et foncer. Les opportunités et la chance, ça se provoque. Cette anecdote, c’est le moment qui a déterminé ma carrière. Quand j’y pense, je n’y crois toujours pas. NYC est vraiment LA ville de toutes les opportunités !

Parmi les choses qui m’ont le plus frappée aussi sur un registre plus triste et sérieux, c’est la chance qu’on a d’être Français. Plus t’es loin, plus tu apprécies la France. Quand je reviens, je me rends compte qu’on est privilégiés (en France, on ne meurt pas du diabète, les EU ne sont pas un pays du tiers-monde et pourtant c’est possible). C’est vraiment le monde à l’envers. L’une des plus grosses puissances du monde qui ne peut/veut pas soigner ses citoyens. J’ai beau être critique sur le système français, s’il y a une chose que je respecte, c’est notre système de sécurité sociale (pas parfait, c’est sûr). En France, on ne laisse pas mourir les gens et on ne les ruine pas en les soignant. Les gens s’endettent aux USA pour pouvoir se soigner…

Le mot de la fin :

A NYC, c’est à toi de choisir selon tes valeurs, c’est la ville de toutes les possibilités : laisser sa vie privée, sa famille, sa jeunesse, c’est à toi de faire la balance. Ce sont des questions que je ne me posais pas avant, mais plus je vis ici, et plus les questions sont les mêmes et tu commences doucement à tout reconsidérer. Il faut juste se donner les moyens pour atteindre ses rêves !

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Billet d’humeur : Impressions post-traumatiques d’une rentrée à l’IGR.

Un mélange d’excitation, de curiosité et d’appréhension : le combo pré-rentrée est bel et bien présent, occupant nos pensées qu’on essaie de chasser pour enfin arriver à s’endormir la veille du 1er septembre.

Qu’attendons-nous de cette nouvelle année ? Une vague de nouvelles rencontres, une riche expérience associative mais aussi des cours passionnants qui peuvent nous aiguiller pour nos choix de Master.

Nous sommes au mois d’octobre, plus d’un mois s’est déroulé sans qu’on ait réellement eu le temps de s’en rendre compte. Les journées sont particulièrement remplies, en plus de tous les événements organisés et des projets de groupe comme le Crazy Lewin Show, vidéo de classe à réaliser en 1 mois pour, entre autre, promouvoir la cohésion. D’ailleurs, il semblerait que ce soit l’un des projets phare de cette année puisque tous les étudiants en parlent d’une année sur l’autre. Mais alors, que dire du WEI ? de la soirée Integr’asso ? des foulées IGRiennes ? Une série d’occasions pour apprendre à connaître les autres (ce qui peut parfois demander de sortir un peu de sa zone de confort, pour les plus timides). En fait, on arrive à supposer que cette année ne pourra être que formatrice et qu’elle va nous amener à s’ouvrir aux autres, à prendre confiance en soi et à partager les valeurs de l’IGR haut et fort (nul doute que les étudiants de l’IGR savent se faire entendre).

Finalement, à l’IGR, que tu arrives seul ou accompagné, on finit tous ensemble.

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#INSIDE_OF : Les foulées IGRiennes

Le Mardi 27 Septembre 2016, le BDS et IGR Entr’aides organisaient en partenariat la première édition des foulées IGRiennes. C’était l’occasion de resserrer encore plus la cohésion entre les membres des différentes équipes mais aussi de gagner les premiers points pour le Trophée des Assos.

C’est ainsi que les plus motivés d’entre nous se sont retrouvés, par association, guidés par la musique et un chemin fléché, au parc des Gayeulles pour courir 3,8 km profitant d’un parcours échelonné de ravitaillements quelque peu particuliers. En effet, 5 activités étaient organisées pour reprendre des forces (ou pas…) : un saute-mouton sophistiqué, un molkky suivi de tractions, le mythique aviron bayonnais, un limbo dance et enfin, un jeu à l’aveugle où il était question de retrouver un carré en aluminium dans une boîte garnie d’un contenu laissant à désirer.

Après une première vague de départ à 17h, tout le monde a pu se retrouver, toujours dans la bonne ambiance, pour profiter d’un repas diététique alliant hot-dogs et frites afin de récupérer de cette intense fin d’après-midi.

  

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«La vie associative, la création graphique et l’évènementiel forment un cocktail qui me réussit bien»

Aujourd’hui, nous mettons en lumière une personne que nous côtoyons tous à travers nos projets associatifs : Maryannig Robin, Assistante du service communication et relations extérieures à l’IGR-IAE Rennes.

Qui êtes-vous ? Quelle est votre fonction au sein de l’IGR?

Je m’appelle Maryannig Robin, j’ai bientôt 52 ans (oooppsss, déjà !), je suis assistante au service communication et relations extérieures au sein de l’institut.

Plusieurs volets à ce poste : une partie communication institutionnelle, J’assure la réalisation matérielle, la logistique et la mise en œuvre d’événements et de manifestations institutionnels ou grand public. Je réalise également les visuels pour le service (écran, site internet, affiches, invitations, etc.) ainsi que la partie administrative (courriers, bons de commande, etc.).

Une autre partie, très importante pour moi : la vie associative. J’accompagne les 19 associations de l’IGR-IAE dans l’organisationde leurs projets :comment fait-on pour organiser un événement ? qu’est-ce qu’il nous manque pour un événement, un percolateur, un fournisseur, un traiteur…  ?

Je suis à l’IGR-IAE depuis Septembre 2000, je suis une des anciennes de la boîte, oooppsss ! (rires). J’ai commencé à la scolarité. Puis un poste s’est présenté à la communication. A l’époque il n’y avait que 3 associations : le BDE, une association Licence et l’association IGR Perspective qui est devenue l’association IAE Conseil. A l’époque c’était le BDE qui organisait le Gala avec moi. Dans la même journée on faisait, le forum entreprises, la remise des diplômes et on terminait par le Gala. Au fur et à mesure, la vie associative s’est étoffée. A partir de 2003, on a vu le nombre d’associations exploser ! Notre dynamique enseignante Karine Le Rudulier est devenue la référente enseignante de la vie associative, ce pendant plus de 10 ans. Elle a arrêté il y a deux ans.  Laura Sabbado Da Rosa a repris ce rôle.

J’ai donc une partie administrative, une partie création (visuels), mais j’ai aussi ce côté enrichissant d’accompagnement des étudiants. Enrichissant pour moi, humainement parlant. Enrichissant pour les étudiants, pour leur CV, leur vie future dans l’entreprise. Chaque année, vous arrivez, de tous horizons, tous différents. Vous apportez tous votre richesse, votre maillon à la chaîne. C’est ça qui m’intéresse dans mon boulot, tisser des liens, créer, communiquer et transmettre.

Quelles études avez-vous fait ? 

Après un BAC ES (Economique et Social), très attirée par les langues étrangères, je me suis inscrite à l’Université de Caen pour faire un Deug Anglais Espagnol option Commerce International, sans projet très précis, sinon un goût prononcé pour les voyages…L’université ne m’a pas plu. « Lâchée » dans un amphi géant avec tant de personnes, ça ne me convenait pas. J’ai un peu fait l’école buissonnière cette année-là ! J’ai travaillé le reste de l’année dans un jardin d’enfants spécialisé avec des enfants handicapés moteurs et mentaux. Ça vous remet les points sur les i ! Puis j’ai repris l’année suivante, une formation d’analyste programmeur en informatique.


Quel type d’étudiante étiez-vous ?

J’étais l’élève puis l’étudiante sérieuse, studieuse, « première de la classe ». Et la vie a fait que je n’ai pas poursuivi de longues études. Mes enfants ont fait bien plus d’études que moi ! Ils voyagent. A l’époque, nous n’avions pas les mêmes opportunités qu’à l’heure actuelle … Vous avez la chance à l’heure actuelle de pouvoir partir de façon relativement facile à l’étranger. Je n’avais pas ces moyens-là. Si c’était à refaire, je partirais à l’étranger, c’est sûr !

Quel a été votre parcours depuis la fin de vos études ?

Après avoir eu mon diplôme d’analyste programmeur, j’ai trouvé du travail tout de suite en tant qu’assistante commerciale chez Métrologie (société d’informatique commercialisant hardwares et softwares) puis dans une filiale du groupe Schlumberger (commercialisation de matériel de mesure électronique pour des grands groupes français). Et puis j’ai intégré l’IAE de Caen. J’ai travaillé au service formation continue en temps qu’assistante pédagogique pendant 8 ans. ). Puis j’ai été comptable 2 ans dans une autre entreprise privée… (un ange passe !) période pas très facile, je déteste les chiffres, c’était alimentaire ! (rires). J’ai eu mes enfants entre temps. Je leur ai consacré un peu de temps. J’ai intégré l’IGR-IAE Rennes en 2000, d’abord à la scolarité, ensuite à la communication. J’ai fait beaucoup de formations en cours d’emploi. A l’IGR-IAE, je me suis plus particulièrement spécialisée en communication visuelle : InDesign, Photoshop, Illustrator. Je fais beaucoup de supports pour l’institut : plaquettes, affiches, visuels pour les écrans et mise à jour du site internet, etc.


Pourquoi l’IGR?

J’ai choisi l’IGR-IAE car j’avais déjà travaillé à l’IAE de Caen.Pour moi, cela représentait l’ouverture sur l’entreprise, la combinaison entre les points forts, les atouts des Grandes Ecoles et les valeurs de l’Université.  Mon expérience en tant qu’étudiante à l’Université n’avait pas été concluante. J’avais, comme beaucoup de personnes que je vois sur les salons, une image poussiéreuse du milieu universitaire. Pour moi, l’oxygène était là, dans ce savant mélange des valeurs et des atouts. Ayant déjà travaillé à l’IAE de Caen, je connaissais le dynamisme de ces instituts. Les échanges et les relations avec les personnes qui reprenaient courageusement leurs études(public entre 19 et 57 ans !) étaient très motivants.

Je me répète, mais aussi pour la vie associative. Elle me tient vraiment à cœur.Je ne peux pas me targuer comme vous d’avoir une licence, un master…. (et puis après j’arrête avec ce complexe !) La « self-made woman » que je suis, s’est beaucoup formée « sur le tas », par l’exemple, l’expérience…. Les deux aspects sont importants, études et pratique. La gestion de projet permet de se confronter à des cas précis, du concret !

Quelles sont vos loisirs ? 

Amoureuse de nature et de grand air, les balades avec mon chien à la mer. La mer… Je suis très malheureuse ici à Rennes, trop  loin de la mer à mon goût. J’ai toujours vécu très proche de la grande bleue. Je suis née à Versailles (rires), mais à 4 mois mes parents sont arrivés à Caen. J’ai passé le plus clair de mon temps en Normandie, Calvados et Cotentin. Je suis une fille de la mer et du vent : mon père est un ancien champion du monde de char à voile. A 5 ans, j’ai donc fait mes premières armes sur ces bolides fabriqués maison. Je suis également passionnée de photographie. Pas un seul jour se passe sans que je fasse des clichés. Je suis très manuelle, jardinage, bricolage… Je transforme beaucoup de choses comme des meubles, je détourne des objets pour les remettre en service. Je suis toujours en train de bricoler. Mes enfants me reprochent toujours de ne pas les rejoindre à table à l’heure parce que je suis en train de bricoler (rires). J’aime passer du temps avec mes deux enfants quand ils viennent me voir. Ils sont la réussite de ma vie !

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Quelle aura été l’expérience la plus gratifiante pour vous au sein de l’IGR-IAE ?

Ma titularisation a été un moment fort, une reconnaissance. Après ce sont vraiment des petits gestes au quotidien, comme un étudiant qui ouvre la porte et m’offre un bouquet de fleurs, un paquet de chocolat, qui me laisse un petit mot pour me remercier de mon investissement et de ma disponibilité, des moments passés ensemble à monter un projet. Le Bonheur n’existe pas à mon avis. Mais la multitude de petits bonheurs que l’on prend la peine d’apprécier, ça c’est gratifiant ! Dernièrement, j’ai reçu un mail d’une étudiante de la promotion 2003, qui me demandait des nouvelles et m’en donnait. Carrière réussie, mariage, enfant, la vie !


Qu’auriez-vous fait si vous n’aviez pas exercé cette fonction?

Alors c’est marrant, je lisais un peu vos interviews passées et notamment celle de Gulliver Lux (je travaille en binôme avec lui sur le projet Gala). Le titre c’était « si je n’avais pas travaillé à l’IGR j’aurais été photographe »…et bien moi aussi. J’aurais voyagé, appareil photo en bandoulière, prête à capter l’Image. Je passe beaucoup de temps à photographier ou à regarder les photos des autres. Je fais des centaines de photos par mois, par an. Petite, je voulais faire « chercheuse », de quoi, je ne savais pas moi-même ! Un peu plus tard, je voulais tenir un magasin de jouets ou une papeterie. J’adore les  crayons de couleur, les tubes de peinture, les papiers divers et variés. Je fais beaucoup de loisirs créatifs.


Si vous étiez un animal ?

On m’a dit une fois que je serais… un hérisson, et non ce n’est pas à cause de ma tignasse (ce serait plutôt un mouton)! Au premier abord, j’ai l’air d’avoir des piquants, mais à l’intérieur, quand on me connaît un peu mieux, je suis tendre et attentionnée aux autres. Autrement, je suis fascinée par les tigres et adore les animaux en général.


Si vous étiez un personnage historique ?

Gandhi. Pour sa sagesse. Sur mon fonds d’écran, j’ai une phrase de lui « L’exemple n’est pas le meilleur moyen de convaincre, c’est le seul.»  J’ai également écrit sur un post-it virtuel : « Penser à respirer ». Je suis quelqu’un qui me suis fabriquée un peu toute seule. Je ne compte pas ma peine. On n’a rien sans rien. Je suis toujours dans l’action, à la recherche de solutions. Si j’avais été une femme célèbre : la chanteuse américaine Joan Baez. Je l’admire en tous points, depuis ma plus tendre enfance.


Si vous étiez un film ? 

Oooppss ! Il y en aurait plusieurs… « Out of Africa » peut-être. Je l’ai vu tellement souvent. Je pleure à chaque fois… Je suis fan de Meryl Streep. Il y a aussi Robert Redford, beau gosse ! Les images sont magnifiques. L’histoire est prenante. Cette femme (Karen Blixen) était courageuse. Et pour la passionnée d’images que je suis, les prises de vue sont magnifiques.


Si vous étiez une chanson ? 

« Imagine » de John Lennon, pour le message de paix qu’elle porte (mon côté utopiste…).


Si vous étiez un dessert ?

Un éclair au café, c’est mon dessert préféré, c’est glacé à l’extérieur, et tout crémeux à l’intérieur! (rires)

 

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#TALENTS IGR – Portrait 5 : Benjamin

Et on commence la semaine en beauté, avec la reprise de la rubrique #Talents IGR. A l’honneur pour ce portrait, Benjamin ! En plus de sillonner tout l’IGR sous le costume de la mascotte, il fait également du VTT et réalise de nombreuses vidéos.

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Peux-tu te présenter ?

Je m’appelle Benjamin Leraux, je suis en M1 Marketing. Je viens de Granville dans la Manche et avant l’IGR je suis passé par un DUT Techniques de Commercialisation.

Quelle passion veux-tu partager avec les IGRiens ?

Ma passion pour le VTT dans son ensemble, de la pratique au suivi des compétitions en passant par la réalisation de photos et vidéos de ce sport. Le VTT associe très bien 3 éléments importants : le côté sportif avec la possibilité de se défouler, d’aller vite, les amis car c’est toujours plus agréable de rouler en groupe, et la nature. En vélo, on passe partout et on peut voir des paysages grandioses parfois inaccessibles par d’autres moyens… C’est d’ailleurs cet aspect que l’on essaye de mettre en valeur via nos photos et vidéos.

Le VTT est un sport que se prête bien à la mise en images du fait des mouvements rapides, des changements de lumières, etc…

Comment as-tu découvert ce sport ?

Au début, c’était simplement le moyen de transport utilisé par tous les enfants en campagne. Puis petit à petit on a fait de plus en plus de kilomètres, on a amélioré les vélos, l’équipement,…

 

As-tu quelques expériences à nous faire partager ?

Passer deux semaines dans les Alpes, à Méribel? pendant la finale de la Coupe du Monde de VTT reste l’expérience la plus énorme !! Nous avons pu côtoyer des passionnés de VTT du monde entier et vivre un évènement impressionnant avec des grands champions. Ces derniers sont accessibles sur les paddocks et on a pu parler et prendre des photos avec eux. De plus, cet évènement me conforte dans l’idée d’un jour associer mon métier à ma passion dans une entreprise liée au VTT(chez une marque, un distributeur ou bien dans l’évènementiel).

Un petit message à faire passer aux IGRiens ?

Le vélo c’est cool mais ça peut être dangereux !! Après de longues années sans accidents, je me suis luxé l’épaule sur une mauvaise chute il y a un mois. Mais outre ça, je veux surtout dire que peu importe le sport ou la passion que l’on pratique elle est nécessaire dans nos vie ! En parallèle des cours ou de la vie professionnelle, cela sert d’échappatoire pour libérer la pression et le stress – en tout cas à l’IGR ça peut être nécessaire -.

« Remember to ride fun ! »

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N’hésitez pas à faire un tour sur cette page Facebook pour découvrir ses vidéos :

https://www.facebook.com/SJdC.Vtt.pageofficielle/

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Les 10 raisons de ne pas mettre les pieds à l’IGR !

  • 1. L’intégration y est glaciale voire quasi-inexistante

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    2.  Il n’y a aucune vie associative

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     3. Un IAE basé dans la ville de Rennes moche, froide et sous la pluie

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     4. Aucun événement n’enrichie la vie des étudiants

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     5. Une école boudée par les professionnels

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  Une journée simulation d’entretien, un forum entreprise…
 

    6.  Un IAE dans une petite ville de province, reculée, au fin fond de la Bretagne

crédit photo Ouest France

 

    7.   Une école fermée à l’international

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     8.    Il n’y a aucune activité sportive et culturelle

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  9.    Des profs qui ne partagent rien avec leur étudiants

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    10.    Une école déconnectée de la réalité et sans créativité

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    Le tout sans aucune once de solidarité !

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#TALENTS IGR – Portrait 4 : Bleuenn

Nouvelle année, nouveau talent ! Aujourd’hui nous vous proposons de découvrir le portrait de Bleuenn et sa passion: la voltige équestre, sport qui allie musculation et acrobatie à l’univers de l’équitation.

Peux-tu te présenter ?

Je m’appelle Bleuenn, j’ai 21 ans, et je suis voltigeuse depuis maintenant 11 ans (voir 12,  je ne sais plus exactement). Je suis en Licence de Gestion à l’IGR. Auparavant, j’ai fait un DUT à Saint-Malo en Gestion des Entreprises. Je suis originaire de Rennes.

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Quelle passion veux-tu partager avec les IGRiens ?

Ma passion, c’est la voltige équestre. Elle est issue de la pratique militaire. Comme son nom l’indique, la voltige se pratique sur des chevaux. On la pratique en équipe, en pas de deux ou en individuel. Le cheval évolue sur un cercle au bout d’une longe tenue par le « longeur » qui se trouve au milieu du dit cercle. Le voltigeur ne se préoccupe pas diriger le cheval. De plus, l’harnachement est différent de celui de l’équitation classique. On parle de surfaix et de tapis carbone et les seuls points d’accroche sont les poignées.

L’autre différence majeure avec l’équitation réside dans l’entraînement. La répartition se fait ainsi : 75% du temps consiste dans le travail de musculation, de gym et de travail au sol contre 15% seulement de travail sur le cheval.

Les qualités physiques des voltigeurs sont quasiment les mêmes que les gymnastes, et les mouvements sont d’abord préparés au sol et au tonneau (faux cheval) avant d’être mis en application sur le cheval.

 Comment as-tu découvert ce sport ?

 C’est ma sœur qui l’a découvert en premier et nous nous sommes inscrites ensemble dans un des seuls clubs autour de rennes en proposant. Je pratiquais l’équitation auparavant et j’en avais déjà fait un peu mais la voltige reste une toute petite discipline.

 As-tu quelques expériences à nous faire partager ?

Depuis 10 ans, j’ai pu vivre de nombreuses expériences grâce à ce sport. J’ai participé à de nombreuses compétition et nous avons été vice-championnes  de France en 2013 avec mon équipe dans notre catégorie (puis j’ai du arrêter avant de reprendre cette année). La même année j’ai aussi fait un stage et une compétition à Madrid ou j’ai rencontré des voltigeurs de pleins de pays comme l’Afrique du Sud, le Brésil, la Norvège, la Colombie…

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Avec mon équipe, nous participons à des stages au pôle France de voltige situé à Saumur. Même si ces stages sont intenses, nous apprenons à repousser nos limites et rencontrons des voltigeurs des autres régions.

La France est une figure de la discipline avec de nombreux voltigeurs et équipes parmi les meilleurs mondiaux.

Le Pôle Européen du Cheval au Mans a organisé les Championnats d’Europe et du Monde en 2011 et 2012 et j’y ai été bénévole. Je suis également devenue juge Club et je viens de suivre une formation pour devenir juge National. A terme, je souhaiterais devenir juge international car je ne me vois perdre le contact avec le milieu de la voltige.

Mais la voltige c’est surtout l’expérience du travail en équipe. On apprend le respect, le vivre ensemble et l’envie d’évoluer en équipe, de gravir des étapes. Je pense pouvoir dire que ma pratique sportive a fortement contribué à me construire et j’ai pu développer des qualités comme la gestion du stress. On noue des amitiés et on fait des rencontres inoubliables !
Un petit message à faire passer aux IGRiens ?

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Juste de « vivre » sa passion, c’est un peu bateau comme formulation mais c’est ce qui me paraît le plus juste. Même si parfois ça nécessite quelques sacrifices, toutes les expériences vécues grâce à elle résonnent plus fort et permettent de s’épanouir tous les jours !

Et en plus on peut même concilier notre passion avec les études puisque je suis maintenant trésorière de notre association 😉 !

 

 

 

ParIGR-Inside

#TALENTS IGR – Portrait 3 : Landry

Et bien non, les secrets des Igériens n’ont pas encore tous été dévoilés ! Nous continuons donc notre rubrique des talents Igériens. Aujourd’hui, découvrez un sport encore méconnu. Car si nous connaissons tous le Kayak et le Polo, le Kayak-polo est encore peu pratiqué. Pas de panique, Landry va lever le voile sur sa passion ! 

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Peux-tu te présenter ?

Je m’appelle Landry et j’ai 24 ans. Je suis né à Saint-Lô et j’ai grandi à Avranches donc un vrai Normand. Je me suis expatrié en Bretagne pour faire mes études. J’ai débuté par une Licence de Mathématique-Economie avant de reprendre une Licence de Gestion à l’IGR pour atteindre aujourd’hui le master SICG dans son parcours en apprentissage (dans l’entreprise PSA à La Janais).

Quelle passion veux-tu partager avec les IGRiens ?

Ma passion, c’est le sport et plus précisément le Kayak-Polo. Ma vie s’articule depuis bien longtemps autour de cette passion qui me prend un temps considérable. Mais elle me rend énormément en retour.

C’est un sport qui mixe le Water-Polo et le Handball mais le tout en Kayak. Nous jouons donc deux mi-temps de dix minutes, intenses, pour prendre l’avantage en marquant un maximum de buts. Les buts sont situés à deux mètres de hauteur et le gardien les garde à l’aide de sa pagaie.

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Comment as-tu découvert ce sport ?

C’est une bonne question vu la confidentialité de ce sport. J’ai une famille sportive et quand je suis arrivé à Avranches à 6 ans, je suis allé au forum des sports pour choisir ceux que je ferais. Je me suis lancé dans le rugby et le kayak pendant quelques années. Quand est arrivé l’âge de la compétition et que j’ai dû m’investir plus dans l’un de ces sports, j’ai fait le choix du kayak. J’ai alors alimenté ma passion et aujourd’hui je m’entraine entre deux et trois heures par jours, ce qui nécessite une bonne organisation de sa vie professionnelle et personnelle.

As-tu quelques expériences à nous faire partager ?

Il y a de nombreuses expériences que je voudrais partager mais ce serait bien trop long. Ma plus belle expérience c’est la finale des championnats d’Europe à Madrid en 2011 face à l’équipe d’Allemagne. Après un beau parcours sur la compétition, la finale a été très compliquée et nous étions menés tout au long du match. Un but à la dernière seconde nous a permis d’accéder aux prolongations, en Golden Goal : le premier à marquer est le vainqueur ! Ce fut sans doute les minutes les plus stressantes de ma vie. Lorsque nous avons marqué l’émotion était immense.

 J’étais champion d’Europe !

C’était aussi une revanche face à cette équipe d’Allemagne contre qui nous avions échoué l’année d’avant en finale des Championnats du Monde. C’était l’aboutissement d’une belle aventure humaine sur un podium et en chantant la Marseillaise.

Un petit message à faire passer aux IGRiens ?

Malgré tout ce qui se présente à nous, quand on a des rêves, de profondes ambitions, il est toujours possible de les atteindre. Il faut en être persuadé et se donner les moyens de réussir même si nos objectifs sont élevés et qu’ils demandent des sacrifices.

ParIGR-Inside

IGR Diffusion en pleine action…

Après avoir photographié tous les Master 2 (ou presque) de l’IGR-IAE de Rennes, la commission du Book (IGR Diffusion) a continué sa lancée en commençant les clichés des Master 1 (ou rattrapage des Master 2!) en début de semaine afin de pouvoir réaliser son fameux book de l’année 2013-2014.

Quant aux autres commissions d’IGR Diffusion, l’heure est à la préparation des Portes Ouvertes (15 février)… IGR Diffusion va commencer à chercher ses quelques 80 bénévoles qui pourront l’aider à présenter les associations de l’IGR ainsi que les formations.

La commission Score Message, qui organise deux journées de préparation au Score IAE Message (SIM), a lancé les inscriptions lundi dernier à 7h tapante pour la première session du 15 février, et affiche déjà complet (200 étudiants sont donc attendus) ! Pas étonnant quand on sait que l’IGR compte parmi ses étudiants, deux élèves ayant reçus les premiers prix pour la session 2013 (l’un pour la catégorie Meilleur Score pour une entrée en Master 1, et l’autre pour le Meilleur Score de Raisonnement Logique.) Les inscriptions pour la seconde date débuteront le 20 février (à 7h de nouveau!), un nouveau carton plein ne serait pas étonnant quand on sait que les futurs étudiants participent à cette journée pour se donner bonne conscience et mettre toutes les chances de leur côté pour intégrer notre cher et tendre IAE !

Vous pouvez dès à présent retrouver l’association IGR Diffusion sur une nouvelle page Facebook : J’intègre l’IGR-IAE de Rennes