Archive de l’étiquette IGR-IAE

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IGR Inside ne prend pas de vacances !

 

Père Noël

Après la soirée de noël organisée par IGR Events, le marathon jusqu’aux vacances de Noël semble arriver à son terme. La cloche des vacances a sonné pour tous les IGRiens. Moment d’Euphorie pour les uns, retour aux sources en famille pour les autres, voici le temps venu de faire une pause !

Une pause ??? Bandes de Chanceux ! Sachez que le mot « vacances » est un mot inconnu (ou presque) pour IGR Inside !  Toute l’équipe continuera de travailler sans relâche afin de vous régaler en interviews, actualités et secrets de votre établissement préféré. Alors n’hésitez pas à venir faire un tour chaque jour entre vos révisions de partiels, les repas copieux et gourmands de fin d’année et l’ouverture de quelques cadeaux (pour les plus sages) !

Bonnes vacances à tous et bon courage aux Licences et Masters 1 pour les révisions !

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Ce soir, c’est l’immanquable Soirée de Noël !

igr eventsEt toi, tu fais partie des 130 invités qui ont déjà répondu « oui » à l’appel du Père Noël et d’IGR Events ? Comment résister à la magie de Noël, et à une occasion unique de fêter et la fin des partiels, et le début des vacances ? …
Que vous ayez été sages ou pas (non, ne vous inquiètez pas, le Père Noël ne regarde pas les photos de la galerie… ), vous êtes tous les bienvenus à la soirée de Noël !

N’oubliez pas, les rennes du Père Noël passeront vous prendre à l’IGR à 23h45, 00h15 et 00h45 pour vous emmener à la discothèque Le Stanley, et reviendront vous chercher à 4h, 4h30, 5h. Les horaires sont précis mais « qui va loin ménage sa monture » et vous savez aussi bien que nous que le traineau du Père Noël va en avoir à parcourir des kilomètres dans les jours à venir ! …

En plus, il se murmure que des cadeaux vous attendent déjà sur place, bande de petits veinards … Alors enfilez votre plus belle tenue de Noël: Père, Mère Noël, Noël Mamère ou encore Zézète épouse X: tous les détournements du dress-code « Noël » sont permis !

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Vous avez une chance sur 116 millions de gagner à l’Euromillions …

IGR Entr'aidesEn revanche, vous avez beaucoup plus de chance de remporter l’un des lots mis en jeu par l’association IGR Entr’aides qui organise un grand loto ce vendredi à Tinténiac !

Quiiiiii veut une tablette tactile pour la modique somme de 3 euros (prix de la grille) ? À moins que vous ne préfériez un appareil photo numérique ? Des bons d’achats de 150 à 500 euros ? Cela vaut le coup de tenter sa chance, et même de multiplier ses chances en prenant plusieurs grilles puisque les tarifs proposés sont dégressifs !

En plus, les bénéfices seront reversés au profit des actions humanitaires de l’association: vous avez vraiment tout à y gagner !

L’association IGR Entr’aides vous attend nombreux demain dés 18h30, juste à temps pour vous restaurer avant le début du tirage à 20h !
« Et le numéro gagnant est le … »

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« Il y a souvent des histoires qui font que la journée de prof est une bonne journée ! »

PHOTO KLRCertains la connaissent comme fervente supportrice de la vie associative, d’autres sous le nom de KLR… Découvrez Karine Le Rudulier !

 

Pouvez-vous vous présenter et dire quel est votre rôle au sein de l’IGR ?

Bonjour je m’appelle Karine le Rudulier, j’ai 45 ans, je suis enseignant-chercheur ici à l’IGR-IAE. Je suis à la base une juriste, mais je suis venue ici à l’IGR pour faire le Master MAE en 1992. Je me suis beaucoup plu dans cet établissement : j’ai su que c’était là que je souhaitais travailler,  j’ai décidé de devenir enseignante. J’ai donc fait une thèse en sciences de gestion en 1994, où je réfléchissais aux structures juridiques les plus adéquates aux petites entreprises. Ensuite, j’ai obtenu une maitrise de conférences qui permet d’être enseignant-chercheur, et je suis depuis ici à l’IGR-IAE.

Je suis directrice déléguée à l’esprit IGR-IAE, je m’occupe donc de la vie associative de l’IGR et du développement de l’entreprenariat. Je suis responsable du Master MAE parcours entreprenariat et développement de projet en formation initiale, et du parcours « CARTE » Création Reprise Transmission d’Entreprises, en formation continue.

 

Pour quelle(s) raison(s) aimez-vous particulièrement l’IGR ?

Parce que j’ai été étudiante ici en 1992 pour mon diplôme de double compétence, et que cette année-là, dès mon arrivée, je suis devenue présidente des JSR  (Journée Simulation Recrutement). Comme j’ai fait mes études ici, j’ai une tendresse particulière pour la « maison », comme nombreux d’enseignants ici qui sont « maison » également.

 

Comment qualifieriez-vous les étudiants de l’IGR en quelques mots ?

Je dirai dynamiques, impliqués et agréables, des « petits gentils ». Si parfois je rouspète, c’est tout de suite moins agréable ! (rire) Après il s’agit de relations de professeur à élèves.

Je rajouterai qu’ils « font toujours l’effort quand on leur demande quelque chose ».

 

Et l’ambiance entre les enseignants au sein de l’IGR ?

Elle est plutôt bonne, mais c’est quand même un métier assez individualiste car chacun a ses propres cours, ses propres projets…

Par contre, nous faisons de la recherche ensemble. Là par exemple, j’essaie de monter une équipe. Nous avons recruté une nouvelle personne, Laura, je travaille en binôme avec elle. Ça, c’est quelque chose que j’aime bien, le travail en équipe. J’ai travaillé pendant 5 ans en binôme avec Dany Vyt en tant que responsable de la licence, un vrai bonheur. Notre binôme a parfaitement bien fonctionné : une vraie équipe et une vraie cohésion.

De plus, je fais partie du Comité de Direction, cela me permet d’être au courant de tout ce qui se passe, des nouveaux projets. Je trouve cela pertinent et stimulant de participer activement à la stratégie de l’IGR-IAE.

Au final, l’ambiance est plutôt cordiale.

 

Avez-vous une expérience qui vous a particulièrement plu à l’IGR ?

Oui, j’ai été 10 ans responsable des associations. Cela est extrêmement gratifiant, car on a une relation avec les étudiants que nous ne pouvons pas avoir autrement. Je reçois beaucoup de mails et de témoignages de gens qui me disent que je leur ai apporté quelque chose, et ça c’est la meilleure des récompenses.

 

Avez-vous une anecdote à nous raconter sur votre vie à l’IGR ?

Pas particulièrement, par contre il y a plein de choses agréables qui se passent tous les ans. L’autre soir, nous avons fait la soirée Dating des Entrepreneuriales. Trois étudiants nous ont donné un coup de main, nous avons passé la soirée à discuter avec eux, c’était très agréable !

De manière anecdotique, il y a deux jours, un étudiant m’a envoyé une photo d’une marque connue de Cola avec mon nom dessus ! C’était très sympa, il y a souvent des histoires comme ça qui font que la journée de prof est une bonne journée !

 

Si vous n’aviez pas été prof, qu’auriez-vous fait ?

Depuis que je suis petite, j’ai toujours eu comme idée de faire du droit et de devenir avocate. Après, j’ai toujours dit que si je n’avais pas pu faire des études de droit, j’aurais ouvert un restaurant.

Si je ne devais pas faire le métier que je fais aujourd’hui, je serai dans le secteur de la création ou de la reprise d’entreprise, en tant que consultante.

 

Et quel type d’étudiante étiez-vous ?

A la fac de droit, j’étais relativement effacée car je travaillais en même temps : j’étais surveillante d’internat. Donc j’allais simplement en cours et je ne participais pas beaucoup à ce qu’il se passait là-bas. Ici à l’IGR c’était différent car en MAE il y avait une très bonne ambiance, je me suis donc beaucoup investie, en étant Présidente de la JSR. Je saisissais toujours les opportunités. Une fois un professionnel est venu nous faire cours et avait fait une proposition de stage. J’y suis donc tout de suite allée, et il m’avait présenté les professionnels de son réseau. J’ai toujours des contacts avec lui.

 

Etes-vous Rennaise d’origine ?

Non, pas du tout,  je suis sur Rennes depuis le début de mes études.

 

Et avez-vous un endroit que vous affectionnez particulièrement dans la ville de Rennes ?

Non, je ne suis pas du tout une citadine ! C’est étonnant, je vis en ville mais je ne fonctionne pas du tout comme si j’étais une citadine. Je ne me rappelle pas la dernière fois où je suis allée me promener en centre-ville…!

 

Durant vos temps libres, vous êtes plutôt sportive ou culturelle ?

Les deux. Marche, ballade : Il faut que je sois dehors. Je vais au cinéma et à quelques concerts : je ne manque pas le festival des vieilles charrues, je viens d’aller à la soirée de clôture de  Yaouank.

 

Pour finir, si l’IGR était un animal, que cela serait-ce pour vous ?

Un chat ! Ce serait même le Chat Potté dans Shrek ! Il peut paraître très gentil, mais parfois il sait sortir ses griffes, il sait se défendre. En effet, l’IGR-IAE est un établissement assez petit en taille, mais nous nous défendons très bien et nous sommes très actifs.

 

Merci à Mme Rudulier d’avoir répondu à nos questions

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JEU n°4 : Les pièces secrètes de l’IGR vous ouvrent leurs portes !

Aujourd’hui on est lundi. Qui dit « lundi » dit « Nouvelle Photo sur IGR Inside » ! (on est d’accord, ça ne rime pas… mais c’est l’intention qui compte!)

Vous nous avez prouvé la dernière fois que vous êtes de fins connaisseurs de l’IGR… Voyons si cette fois vous saurez dénicher la pièce de l’Institut qui se trouve derrière cette photo… N’oubliez pas de laisser votre commentaire en bas de l’article !

Et pour ceux qui n’auraient pas suivi la règle du jeu, lisez notre article ici et imprégnez vous des règles.

Et n’oubliez pas….ouvrez l’oeil!

pièces secretes 4-1

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Venez découvrir… la Salle du Conseil

salle du conseilElle se tient majestueusement au sein de l’IGR, avec ses hauts vitraux et son sublime balcon et pourtant, nombre d’entre vous ne la connaissent pas… Nous avons nommé : la Salle du Conseil ! (à ne pas confondre avec celle de Fort Boyard !)

Remontons quelques années en arrière… Alors que nombre d’entre vous n’étaient pas encore nés, l’IGR n’était point un Institut de Gestion (si de tels établissements existaient déjà à cette époque !) … mais un orphelinat. Qui dit orphelinat, dit bien sûr chapelle où les petits bambins pouvaient se voir donner la messe du jour.

De nos jours, il n’est plus question de Partiel d’Education Spirituelle… La salle aujourd’hui sert notamment aux réunions ponctuelles de la vie associative et au Conseil d’Administration. Et grâce à un matériel dernier cri (qui fait passer les ordinateurs des salles informatiques pour des dinosaures), il est également possible de mener des visioconférences dans un cadre plutôt … agréable et calme !

Mais attention, inutile de courir en direction de l’entrée puisque cette salle reste fermée au public (comprenez : étudiants). Et c’est notre Passe-Partout à nous, notre cher Directeur, Monsieur Bironneau, qui possède les clefs !

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« L’IGR, c’est un peu une start-up de la recherche »

Karine Picot Coupey

Découvrez Karine Picot Coupey, spécialiste de l’international et fan de Monocycle !

Pouvez-vous vous présenter et dire quel est votre rôle au sein de l’IGR ?

Je suis Karine Picot Coupey, je suis maitre de conférences en Sciences de Gestion ici à l’IGR et je m’occupe plus particulièrement du marketing international et de la distribution. J’ai été recruté sur un profil « internationalisation des enseignes », pour m’occuper de toute la dimension internationale, en particulier en marketing et en distribution.

 

En quelle promo intervenez vous ?

J’interviens en Master 1 pour le séminaire International, qui a lieu en janvier, et j’interviens surtout en Master 2, puisque des cours d’internationalisation sont des cours de spécialité. J’interviens en Master 2 Marketing formation initiale et continue. J’interviens également en MAE international, dont je suis la responsable. Et j’interviens dans les formations qui ont cette spécialité internationalisation.

L’autre volet est d’intervenir sur le master Recherche, sur tout ce qui est cours de pratique d’études qualitatives.

 

Depuis combien de temps êtes vous à l’IGR ?

Depuis janvier 2011, cela fait un peu plus de deux ans. Avant j’étais à l’Université de Rennes 2, au département de Langues Etrangères Appliquées, où j’ai été de 1998 à 2009.

 

Pourquoi l’IGR ?

J’ai un parcours un peu atypique, par rapport aux collègues de la maison ! Je ne suis pas un « pur produit IGR », loin de là. Mon background est au départ en finance internationale et non en marketing, et pas du tout orienté recherche puisque j’ai un diplôme d’ingénieur en finance internationale. Ce monde là ne m’a pas convenu, ce qui fait que j’ai par la suite un peu cherché ma voie. Je suis partie à l’étranger où j’ai fait un diplôme en économie  internationale avec une mineure en marketing, ce qui m’a amené à découvrir le marketing. Je suis arrivée au volet enseignement par le biais de l’ENS Cachan, où j’ai préparé l’agrégation d’économie gestion. J’ai eu cette agrégation et j’ai souhaité chercher un poste un peu différent d’un lycée. Je suis donc arrivée à l’Université de Rennes 2 en tant que PRAG (Professeur Agrégé du Secondaire), sur un profil un peu généraliste. J’ai commencé une thèse, que j’ai fait à l’IGR. J’ai découvert l’IGR par ma thèse, de 2002 à 2006.

Ce qui m’a amenée à postuler à l’IGR en tant que maitre de conférences, c’est d’avoir un laboratoire de recherche qui correspond à ma spécialité.

 

Comment qualifieriez-vous les étudiants de l’IGR en quelques mots ?

Ah… ! Des étudiants qui sont profilés gestion dès le départ, ce qui pour moi est assez atypique. J’avais l’habitude d’étudiants plus éclectiques. Ce sont des étudiants qui cherchent aussi à intégrer la dimension associative dans leur parcours.

 

Et l’ambiance entre les enseignants au sein de l’IGR ?

C’est une ambiance conviviale la plupart du temps. C’est une ambiance qui laisse beaucoup de place à la liberté individuelle. On a la capacité et la possibilité de gérer nos projets comme on l’entend. On a donc une liberté d’organisation du temps de travail qui est très précieuse. C’est une équipe assez dynamique, avec des gens qui sont toujours prêts à partir dans plein de projets. C’est un peu une espèce de start-up de la recherche, avec des gens qui boutiquent des choses dans leur coin et qui sont passionnés par leur travail !

 

Etes-vous Rennaise d’origine ?

Pas du tout ! Ma famille est originaire de Basse Normandie. Moi j’ai  fait une partie de mes études en Basse Normandie. Après je suis partie en Angleterre, à Manchester Metropolitan University et ensuite je suis arrivée à Rennes : à l’ENS Cachan sur le campus de Ker Lann.

 

Avez-vous un endroit que vous affectionnez particulièrement dans la ville de Rennes ?

Il y en a plusieurs… J’aime particulièrement les rues de Rennes le soir, avec cette ambiance assez vivante, conviviale, avec une forme de luminosité contrastée… J’aime bien la « Quincaillerie Générale », c’est un espace de rencontre où l’on trouve un peu de restauration, on peut prendre un verre, il y a des concerts le soir, des expos photos… Ce lieu symbolise un peu l’ouverture et la convivialité que j’ai pu trouver à Rennes.

 

Durant vos temps libres, vous êtes plutôt sportive ou culturelle ?

J’ai un loisir qui est également assez atypique puisque je pratique le monocycle sportif ! Je fais beaucoup de sport, oui. Je pratique la danse moderne-jazz et je suis impliqué dans pas mal de choses relatives à la diffusion de ces pratiques sportives. J’aime particulièrement les pratiques sportives qui ont une dimension artistique : le monocycle sportif parce qu’il y a cette dimension équilibre, compétition qui m’intéresse. Ce ne sont pas des choses faciles d’accès : j’aime bien le chalenge ! Autrement je dessinais beaucoup mais je n’ai plus beaucoup le temps : la vie de famille l’emporte un peu !

 

Merci à Madame Picot Coupey d’avoir répondu à nos questions.

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Activité anormale à l’IGR ce vendredi matin…

image SKODA.jpgVous qui avez eu la chance d’avoir cours ce vendredi matin, vous avez peut être été témoin de mises en scène pour le moins… étranges !! Les Masters 2 étaient en effet évalués aujourd’hui sur des simulation d’entretiens de vente. Envie d’acheter des produits Bourgeois ? Des meubles Ikea ? Des préservatifs Durex ? De bons Cupcakes ? ou encore d’acheter un véhicule Skoda ? C’était le moment !

Et ces chers Masters n’ont pas manqué de créativité pour vendre au mieux leurs produits : entre dégustation et démonstration, tous les coups étaient permis !! Le plus visible aux yeux de tous était le cas Skoda, où les étudiants n’ont rien trouvé de mieux que de ramener une Skoda Fabia sur le parking de l’IGR ! De quoi ravir la concession Skoda de Rennes, qui a bénéficié d’une visibilité gratuite auprès des étudiants !

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Spotted : la Mascotte et la Mère Noël recrutées par IGR Events!

IGR Events

Vous qui étiez à la cafet’ en ce jour (12h39 pour être précis!), vous avez pu être témoin d’une étrange apparition… La Mère Noël est en effet descendue de sa Laponie chérie, en compagnie de notre mascotte préférée, pour venir faire la promotion de la grande, l’unique, l’extraordinaire, l’incroyable… Soirée Noël de l’IGR organisé par IGR Events !

Les chanceux ayant pu apercevoir cet étrange phénomène ont en plus pu profité de délicieux petits gâteaux, réalisés « maison » afin d’amadouer les plus (et les moins) tendres d’entre vous.

Plus de renseignements concernant cette soirée à venir sur notre site !

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« IGR : Ici on Galère, mais on Rigole bien quand même »

Elle a la chance d’avoir été la 300ème à « Aimer » notre page Facebook … ! Venez découvrir Sandra, étudiante en M2 Marketing

Sandra M2 Marketing

 

Tu es en quelle formation ?

Master 2 Marketing, parcours Chef de produit

 

Tu as fait quoi avant l’IGR ?

DUT GEA à Brest même !

 

Si je te dis IGR, tu me réponds ___ ?

Ici on Galère, mais on Rigole bien quand même

 

Ton coup de cœur à l’IGR ? Le truc le plus chouette ?

Mon coup de cœur : un certain JB…

Le truc le plus chouette : présenter un projet de création d’entreprise de sextoys pour séniors à la CCI de Rennes !

 

Le pire truc qui t’est arrivé à l’IGR ? Ta pire galère ?

Les insomnies…

 

Tu sais ou elle est toi la salle 422 ?

Non, je pense qu’elle n’existe pas… Ce doit être un peu comme la voie 9 ¾ dans Harry Potter !

 

Ton prof préféré ?

Dany Vyt et Frédéric Basso (je parle au nom de toutes les filles de la classe)

 

Ton interlocuteur préféré de l’IGR ?

Stéphanie de la cafet’

 

Ton sentiment quand tu regarde le bâtiment / la passerelle / la cour de l’IGR ?

Que c’est mille fois mieux qu’à Brest !

 

Quel mystère concernant l’IGR aimerais tu voir résolu ?

Mr Philippe Robert connait-il tous les mots du dictionnaire ? Est-il l’auteur du Petit Robert ?

 

Tu veux faire quoi plus tard ?

Chef de produit dans le milieu bancaire.

 

Ton tic verbal ?

Dire le mot « Quoi » avec mon accent de Finistérienne du fin fond de la campagne !

 

Ton endroit préféré à Rennes ?

Le parlement l’été avec dj Anne 2B !

 

Si je te parle du Stade Rennais, tu me réponds ___ ?

J’aime pas le foot ! Vive le ping pong !

 

Le bar où on a plus de chance de te trouver un jeudi soir ?

La place !

 

Et alors, ça fait quoi d’être le 300e « like » Facebook ?

C’est une grande émotion , une grande fierté ! Je tiens à remercier toute ma famille et mes amis sans qui je ne serais pas arrivée jusqu’à là …!

 

Merci à Sandra d’avoir répondu à nos questions!

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« La venue d’étudiants étrangers est une chance pour l’IGR »

Patrick Navatte, IGR-IAE

Patrick Navatte, IGR-IAE

Découvrez Patrick Navatte, un des ténors de l’IGR, ancien Directeur de l’Institut

Qui êtes vous ? Qu’enseignez-vous au sein de l’IGR ?

Je m’appelle Patrick Navatte, et suis professeur de Finance. J’ai été agrégé en Sciences de Gestion en 1984. Ensuite après 15 ans de carrière de prof pur et dur, je suis devenu président de l’Université de Rennes 1 en 1999, jusqu’en 2003. Après je suis parti  à Bruxelles trois ans à la Commission Européenne représenter l’ensemble des Universités Françaises. Puis je suis revenu à Paris deux ans au département SHS (Sciences Humaines et Sociales) du CNRS. Et puis enfin, j’ai réintégré l’IGR fin 2008. Là, j’ai pris quelques responsabilités : j’étais au CA et suis toujours au Comité Directeur présidé par Laurent Bironneau.

Un peu plus tard, j’ai été président de l’Association Française de Finance (en 2010), j’ai organisé un colloque International de Finance à Saint Malo cette année là aussi avec Franck Moraux. En 2013, je vais être président du prix du meilleur article paru dans la revue « Finance », qui est une revue académique de niveau international.

 

Pourquoi l’IGR ?

Je suis Rennais de souche et j’ai choisi de rester à Rennes, bien qu’à deux occasions j’aurais pu aller m’installer à Paris. La première se situe en 1989 où j’avais un « poste qui me tendait les bras ». Mais quand j’ai su que les prix de l’immobilier à Paris allaient faire que, de mon appartement de cinq pièces Rennais, je devrais passer à un petit studio dans le 19e à Paris, j’avoue que ça m’a échaudé ! Je me suis dit que la qualité de la vie, c’était également important. La seconde fois c’était beaucoup plus tard, après ma présidence, mais j’ai décidé à nouveau de rester en Bretagne où vit ma famille, et où je me sens bien.

 

Pouvez vous qualifier les étudiants de l’IGR en 5 mots ?

Je pense qu’ils sont de plus en plus sélectionnés, donc on pourrait dire qu’ils sont de meilleurs en meilleurs d’année en année. Ils sont aussi plus exigeants, et ils sont enfin parfois plus « consommateurs ». J’ai été déçu par certains comportements lors de la JSR : On s’attendait à avoir beaucoup de monde et on a vu que certains étudiants n’étaient même pas présents. C’est toujours gênant de faire venir des entreprises et en fin de compte de ne pas leur faire rencontrer suffisamment d’étudiants. Par ailleurs, la venue d’étudiants étrangers en plus grand nombre est selon moi une chance pour l’IGR-IAE de Rennes.

 

Quelle aura été l’expérience la plus gratifiante pour vous au sein de l’IGR ?

Il n’y en a pas eu énormément. Les institutions ne sont pas reconnaissantes. Quand vous êtes connu, c’est plutôt au niveau français dans votre spécialité, voire au niveau européen. En ce qui concerne l’IGR disons que j’ai pris beaucoup de plaisir à organiser le colloque international de Saint Malo avec les collègues, même si c’est une tache ardue. J’aime aussi tenter de contribuer à l’élaboration de la stratégie de l’IGR au sein de l’Université.

 

Que vous évoque le rapprochement entre Rennes 1 et Rennes 2 ?

C’est une chose qui est sans doute inéluctable dans le contexte actuel, et qui peut se révéler intéressante, si on en profite pour mettre en œuvre de nouveaux projets. Les deux universités doivent encore mieux se connaître. Mais nos dirigeants doivent quand même bien se rendre compte qu’il y aura à la suite de ce regroupement, des coupes sombres opérées dans les services administratifs : On ne va pas pouvoir avoir tout en double.  La « grande taille » n’est pas pour moi une fin en soi, mais cela va sans doute être un passage obligé, et l’occasion de voir le « millefeuille administratif » s’épaissir encore un peu surtout si l’on ajoute à cela, notre insertion prochaine dans la Communauté d’Universités et d’établissements (CUE).

 

Avez vous une anecdote sur votre vie à l’IGR à nous raconter ?

Un mot qui restera peut être, c’est celui que j’ai prononcé il y a pas mal de temps, et que j’ai entendu reprendre il y a quelques semaines par notre directeur lors de la rentrée académique de l’IGR. J’avais dit à plusieurs reprises que « Les esprits sont comme les parachutes, ils fonctionnement bien quand ils sont ouverts ». Cela a fait sourire.

 

Qu’auriez vous fait si vous n’aviez pas été prof ? 

Je pense que j’aurais été cadre ou responsable dans une entreprise. J’ai failli rentrer à l’issue de mon Doctorat chez ELF Aquitaine en 1978, et partir directement au Moyen Orient. Ce qui m’aurait sans doute conduit à faire carrière chez Total.

J’aurais aussi pu être antiquaire. Aujourd’hui, je me dis que vu ce qui s’est passé en 2001 et la chute du Marché de l’Art qui s’en est suivie, c’était peut être pas une mauvais idée de devenir professeur.

 

Quel type d’étudiant étiez-vous ?

Oh, plutôt sérieux, faisant le minimum d’impasses lors des examens et vraiment sportif. J’ai fait pas mal de sports, et surtout beaucoup de compétitions au niveau régional voire national. J’ai commencé par pratiquer l’athlétisme, ensuite j’ai fait beaucoup de volley-ball. Puis, j’ai fini par jouer au tennis. Aujourd’hui je fais du footing, quand le ciel le permet, mais plusieurs fois par semaine.

 

Si l’IGR était un animal, que serait-il ?

Ca serait un animal domestique, assez sympa : j’y ai été bien accueilli, je m’y trouve bien…

 

Le derby Stade Rennais/FC Nantes a été perdu par Rennes il y a quelques mois, quel est votre avis ?

Je m’intéresse peu le football, car le niveau de salaires qui y est pratiqué m’exaspère. Mais j’ai été président au début des années 2000 de ce qu’on a appelé le RUOA : le Réseau des Universités de l’Ouest Atlantique, qui comprenait les quatre universités bretonnes : Rennes 1, Rennes 2, Brest et Bretagne Sud et trois ligériennes : Nantes, Angers et Le Mans, sans oublier les plus au sud: Poitiers et La Rochelle. J’ai peut être été un des présidents les plus œcuméniques et le plus « nantais » pour un Breton ! J’avais complètement évacué tout sentiment trop partisan : il fallait travailler tous ensemble au sein du réseau pour faire face à ce que l’on dénommait alors la « banane bleue »(axe partant de Strasbourg et allant jusqu’à Montpellier où beaucoup de moyens universitaires étaient concentrés). J’ai donc été très heureux quand Nantes a été Champion de France. L’important est vraiment de promouvoir la façade Ouest de notre pays.

 

Nantes en Bretagne ou non… ?

Oh de cœur, oui, c’est évident puisque le Château Des Ducs de Bretagne est à Nantes. De cœur, Nantes fait partie de la Bretagne. Dans ce cas là, il faut savoir aussi en tant que Rennais en déduire un certain nombre de conséquences: Si jamais on réunissait la Loire Atlantique et la Bretagne, la capitale deviendrait Nantes… Ah… ! Il faut savoir ce qu’on veut! Finalement Nantes serait peut être la capitale économique et Rennes la capitale administrative… Mais une fois de plus, ayons l’esprit ouvert (sic)!

 

Avez vous des choses à ajouter ?

Une seule chose: Juste qu’au niveau universitaire, j’ai toujours essayé de promouvoir la qualité.

 

Merci à Monsieur Navatte d’avoir répondu à nos questions.

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Shooting Eye-look : le making off rien que pour vos yeux!

DSC_0170Mercredi dernier, pour beaucoup, vous vous êtes demandés si des stars foulaient le plancher de l‘IGR-IAE de Rennes, au vu de ces crépitements d’appareil photo qui vous ont surpris lors de votre traversée du pont (Retrouvez ici notre superbe article de notre superbe pont)

Il n’en ai point, en revanche, vous avez pu vous donner des allures de star lors du shooting photo de mode organisé par Eye-look!

Eye-look, un blog de mode très sympa, avec des styles à découvrir et redécouvrir tous les jours, pour vous donner pleins d’idées tenues, et surtout découvrir une multitude d’info mode! Allez donc faire un tour par ici http://eye-look.eu/

Igr-inside n’a pas pu s’empêcher d’aller faire un tour près de ce shooting made in Eye-look, et de vous proposer son petit making off des meilleurs moments et meilleurs photos de nos étudiants stars. Rendez-vous dans la galerie pour une séquence souvenir!

Silence….action !

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Mais où est… la salle des photocopies ?

Nous les étudiants, nous sommes tous les mêmes… on adoooore les stages ! C’est en effet le moment idéal pour développer ses compétences, se connaitre soi même, obtenir une expérience professionnelle, apprendre de ses erreurs, faire le café, se faire du réseau, s’occuper pendant l’été …

Mais qui dit « stage » dit également « rapport de stage« . Mais si ! Vous savez, c’est ce fameux dossier que l’on doit monter pendant que nous sommes en entreprise afin de faire l’état de nos actions réalisées. Il est également souvent demandé d’avoir un oeil critique par rapport à ces mêmes actions… Aller, on l’avoue, ceci est rarement la chose la plus fun de l’année…! Mais quand il faut, il  faut !

Et comme tout bon étudiant, nous nous y prenons souvent « à l’avance » (comprenez « en retard ») et le rapport est souvent fini à la dernière minute. A ce moment, nous devons tous faire face à un problème crucial : « comment je fais pour que, de ma version PDF sur mon ordinateur, mon rapport soit couché sur papier ? » De là commence l’opération « Course-contre-la-montre-pour-trouver-la-salle-de-l’IGR-où-je-pourrais-imprimer-mon-rapport-en-temps-et-en-heure » (facile, suivez le guide !)