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Ouvrez l’oeil : Inside a mené l’enquête sur les pièces cachées de l’IGR (Partie 2)

Après une première partie de notre enquête dans le précédent article, laissons place à la découverte de nouvelles pièces de l’IGR…

La salle de convivialité est dédiée au personnel administratif et les enseignants. Elle est le lieu idéal pour débriefer de l’actualité Igérienne mais aussi pour parler d’autres choses que le travail. Cette salle, remplie tous les midis, est un lieu de détente, où des pots sont aussi effectués. On imagine bien qu’un pot sera organisé en fin d’année puisque Joëlle Martin,  faisant partie des emblèmes de l’IGR, partira à la retraite en fin d’année, après 44 ans de service. Nous l’avons croisée lors de notre enquête sur les endroits secrets de l’école et cela nous a permis d’apprendre que le parking de l’IGR regorgeait d’arbres fruitiers tels que des cerisiers : « On prenait des cerises pendant les pauses avec mes collègues. C’était plus agréable que d’y voir désormais des voitures » (J.Martin).
Salle convivialité

Dans les années 1960, les polycopiés étaient tapés d’une manière plutôt atypique comparé à aujourd’hui. En effet, il fallait utiliser des lettres en acier pour rédiger un texte, muni d’un marteau. Cette activité représentait un réel métier, particulièrement chronophage, mais pourtant vital. C’est désormais une véritable relique qui est conservée dans le couloir du 2ème étage (côté administration). 
Polycopiés

La salle orange est l’endroit où était l’ancienne scolarité. Étant désormais vide (et en travaux), cette dernière va devenir dans peu de temps une sorte d’infirmerie où les étudiants dépourvus d’une santé efficiente pourront s’y reposer (fermée le vendredi matin…). 
Salle orange

Nous pensons avoir fait le tour de l’IGR, à moins que d’autres recoins ne nous aient été cachés… Dans tous les cas, nous n’y avons pas trouvés les saucissons du BDS ! Affaire à suivre, donc.

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Ouvrez l’oeil : Inside a mené l’enquête sur les pièces cachées de l’IGR (Partie 1)

Et si l’on vous divulguait quelques anecdotes à propos de l’IGR ? Les membres de l’équipe Inside se sont pris au jeu et ont suivi Mme ROBIN qui a gentiment accepté de nous faire visiter des lieux quelque peu insolites (où se cachent peut-être les saucissons disparus du BDS)…

Les archives de l’IGR sont situées dans deux caves difficiles d’accès. La première est accessible par un escalier en bois très étroit et la seconde par une trappe située sous un bureau.
Les archives vont des années 80 à aujourd’hui, c’est-à-dire près de 40 ans de dossiers, fiches pédagogiques, résultats, … Des formations ont refait leur apparition, comme le DEUG par exemple. A noter que les archives doivent être conservées un certain nombre d’années avant d’être détruites.
Pour anecdote, un professeur de SICG que l’on va nommer Mr. V. a enfermé un de ses élèves dans l’une d’elle durant un certain temps (qu’il a souhaité taire).

Archives
Peu d’entre vous connaissent cet endroit : le local des associations. Seuls les présidents y ont accès, via un badge, pour ranger leur matériel et accéder à la boîte aux lettres des associations. A quand un petit coup de nettoyage ?

Local
L’actuelle salle du conseil était anciennement une chapelle au sein d’un couvent. C’est dans cette salle qu’ont lieu les soutenances de thèses (auxquelles tout intéressé peut assister – se renseigner sur le site du CREM pour connaître les dates), des visioconférences à l’aide des deux écrans, des conseils d’administration ou encore des réunions entre le personnel. Il y a également un piano où un groupe de chorale dénommé « Résonance » vient répéter.

Salle du Conseil
Vous ne devez pas connaître non plus la salle des doctorants, juste en-dessous des toits. Ce lieu permet à ces derniers de travailler et de se soutenir dans leurs travaux respectifs, un peu selon le système de coworking, selon les dires de l’un d’eux.

Salle des doctorants

Vous restez sur votre fin ? Pas d’inquiétudes : un nouvel article relatif aux endroits méconnus des étudiants (et parfois du personnel de l’IGR) ne saurait tarder.