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« Je pense que si je n’avais pas été professeur j’aurais été photographe »

Cette semaine, nous sommes partis à la rencontre de Gulliver Lux. Découvrez dès maintenant son interview.

Pour ceux qui ne vous connaissent pas, pouvez-vous présenter ?

Il y en a qui ne me connaissent pas ? Il faut me donner des noms !  Je m’appelle Gulliver Lux, je suis enseignant-chercheur, plutôt dans le contrôle de gestion d’un point de vue disciplinaire, même si je n’aime pas ce découpage. Je travaille principalement sur le rapport individu/outils dans l’organisation pour la partie recherche. Je suis également responsable de la licence depuis Septembre.

ESSAI

Quelles études avez-vous fait ?

Après le bac, je suis parti en infomatique, faire un IUP MIAGE (Méthodes Informatiques Appliquées à la Gestion d’Entreprise). Puis, à la fin de ma licence 3, j’ai quitté ma formation car j’en avais marre de faire de l’informatique. J’avais déjà pour projet d’être enseignant-chercheur, et je savais que si je voulais réaliser ce projet si je continuais l’informatique, j’aurais dû faire une thèse en mathématiques appliquées. Du coup j’ai cherché une façon de quitter l’informatique en conservant mon projet professionnel. La « solution » est venue d’un enseignant de budget et comptabilité de gestion à l’IUP : Charles Ducrocq qui était enseignant à l’IGR. Il débauchait des étudiants de MIAGE pour les faire rentrer à l’IGR. J’ai donc effectué un Master 1 SICG, puis un Master-Recherche, et enfin ma thèse à l’IGR. Cette dernière portait sur l’appropriation des outils de gestion dans le secteur médico-social (santé). L’idée était de travailler sur les critères qui faisaient que ces outils de gestion pouvaient être acceptés ou rejettés dans ce milieu.

Quel type d’étudiant étiez-vous ?

J’étais un étudiant qui bossait pas mal, j’avais tendance à écouter partiellement en cours et à retravailler les concepts étudiés précédemment chez moi. En informatique, c’était très « corporate ».Pas de prises de tête, nous étions vite embarqués dans les fêtes, les soirées. Quand je suis arrivé à l’IGR en M1, ce n’était pas évident car les étudiants se connaissent depuis la licence. Il n’y avait pas forcément de week-end d’intégration ou autre. De plus, je suis rentré à l’IGR dans le but de faire un Master Recherche, de faire ma thèse donc ce qui sous-entend de trouver un directeur de thèse, ce qui change pas mal les perspectives.

Pourquoi avoir choisi l’IGR en tant qu’enseignant ?

A la fin de ma thèse, j’ai postulé pour être enseignant-chercheur au Canada. J’avais besoin de voir d’autres choses car cela faisait un moment que j’étais sur Rennes. Malheureusement cela ne l’a pas fait. J’ai donc postulé à divers emplois disponibles dans des universités françaises. J’ai été retenu à Grenoble et à Rennes. Etant déjà de l’IGR, je connaissais bien l’institut et j’avais noué des liens avec certaines personnes, donc j’ai choisi Rennes. Au final je ne regrette pas, l’institut a su me faire confiance sur pas mal de projets, mais le Canada reste dans un coin de ma tête !

En dehors du monde professionnel, quels sont vos loisirs ?

Je fais beaucoup de photographie, je pense que si je n’avais pas été professeur j’aurais été photographe. D’ailleurs, je me réserve le droit de le faire car je ne pense pas qu’on ait qu’une seule vie professionnelle aujourd’hui. J’allie souvent cette passion avec la moto, car l’idée c’est de se vider la tête. Je pars en moto et je m’arrête à des endroits qui m’inspirent pour faire de la photo. De manière plus ponctuelle, je fais du tennis ou je vais au cinéma.

N’y a-t-il pas un lien de causalité entre informatique et moto ? Monsieur Vigouroux aussi pratique la moto…

Il roule sur des japonaises ou des allemandes, on n’est pas fait pour s’entendre ! Pour moi une moto c’est une anglaise !

Quels sont vos projets pour la Licence de Gestion ?

D’abord recruter un co-responsable ! On va aussi essayer de la moderniser car les IUT ou la fac de sciences-éco ont pas mal bougé ces derniers temps. Tous les 5 ans, nous devons revoir notre offre de formation et nous arrivons prochainement à la fin de ce cycle. Les modifications auront lieu pour la rentrée 2017, nous sommes en train de retravailler notre offre. Nous pouvons cependant vous annoncer un scoop qui va concerner les futures licences : il y aura beaucoup plus de prises de paroles des étudiants en amphi au programme ! Vous êtes bons en technique, mais vous pêchez parfois sur la prise de parole en public. On va remédier à ça !

Pouvez-vous qualifier vos collègues de l’IGR en trois mots ?

Je dirais d’abord bosseurs. Ensuite, je ne sais pas quel terme utiliser… Je ne vais pas dire festifs car on ferait trop le lien avec les étudiants, mais ils sont bons vivants. Il y a une certaine joie de vivre, en tous cas chez les collègues avec qui j’ai des relations importantes, et pour finir, je dois avouer que j’ai entendu ça récemment et que ce n’est pas de moi… barbus !

Pouvez-vous qualifier les licences de cette année en trois mots ?

En termes de niveau, je pense que c’est une bonne licence. Pour le moment, nous n’avons pas eu trop de débordements donc je dirais que vous êtes sérieux, mais ça serait vous lancer trop de fleurs ! En ce qui concerne les étudiants de l’IGR en général, je dirais qu’ils sont investis, sympathiques, et travailleurs.

Pour le moment, quelle a été l’expérience la plus marquante pour vous au sein de l’IGR ?

J’ai soutenu ma thèse ici, dans la salle du Conseil. La thèse est quelque chose qui dure plusieurs années, et cela se solde par une soutenance. C’est l’occasion d’avoir sa famille, ses amis auprès de nous, et bien sûr des pairs qui nous évaluent. C’est un moment assez stressant, mais très gratifiant car on a un directeur de thèse qui nous félicite, qui nous dit qu’il a apprécié d’avoir travaillé avec nous, un conjoint mais aussi sa famille qui sont fiers de nous car faire une thèse est une chose mais soutenir quelqu’un qui fait sa thèse en est une autre !

Si vous étiez un animal : un éléphant, on dit toujours que c’est un animal intelligent, la force tranquille quoi !

Si vous étiez un homme historique : Marco Polo, pour le voyage !

Si vous étiez un film : Equilibrium, pour la lutte contre le conformisme !

Si vous étiez une chanson : Paint it black des Rolling Stones !

Si vous étiez un chef d’entreprise : Bill Gates mais pour sa vie de fondations, pas sa première vie d’entrepreneur…

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#TALENTS IGR – Portrait 4 : Bleuenn

Nouvelle année, nouveau talent ! Aujourd’hui nous vous proposons de découvrir le portrait de Bleuenn et sa passion: la voltige équestre, sport qui allie musculation et acrobatie à l’univers de l’équitation.

Peux-tu te présenter ?

Je m’appelle Bleuenn, j’ai 21 ans, et je suis voltigeuse depuis maintenant 11 ans (voir 12,  je ne sais plus exactement). Je suis en Licence de Gestion à l’IGR. Auparavant, j’ai fait un DUT à Saint-Malo en Gestion des Entreprises. Je suis originaire de Rennes.

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Quelle passion veux-tu partager avec les IGRiens ?

Ma passion, c’est la voltige équestre. Elle est issue de la pratique militaire. Comme son nom l’indique, la voltige se pratique sur des chevaux. On la pratique en équipe, en pas de deux ou en individuel. Le cheval évolue sur un cercle au bout d’une longe tenue par le « longeur » qui se trouve au milieu du dit cercle. Le voltigeur ne se préoccupe pas diriger le cheval. De plus, l’harnachement est différent de celui de l’équitation classique. On parle de surfaix et de tapis carbone et les seuls points d’accroche sont les poignées.

L’autre différence majeure avec l’équitation réside dans l’entraînement. La répartition se fait ainsi : 75% du temps consiste dans le travail de musculation, de gym et de travail au sol contre 15% seulement de travail sur le cheval.

Les qualités physiques des voltigeurs sont quasiment les mêmes que les gymnastes, et les mouvements sont d’abord préparés au sol et au tonneau (faux cheval) avant d’être mis en application sur le cheval.

 Comment as-tu découvert ce sport ?

 C’est ma sœur qui l’a découvert en premier et nous nous sommes inscrites ensemble dans un des seuls clubs autour de rennes en proposant. Je pratiquais l’équitation auparavant et j’en avais déjà fait un peu mais la voltige reste une toute petite discipline.

 As-tu quelques expériences à nous faire partager ?

Depuis 10 ans, j’ai pu vivre de nombreuses expériences grâce à ce sport. J’ai participé à de nombreuses compétition et nous avons été vice-championnes  de France en 2013 avec mon équipe dans notre catégorie (puis j’ai du arrêter avant de reprendre cette année). La même année j’ai aussi fait un stage et une compétition à Madrid ou j’ai rencontré des voltigeurs de pleins de pays comme l’Afrique du Sud, le Brésil, la Norvège, la Colombie…

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Avec mon équipe, nous participons à des stages au pôle France de voltige situé à Saumur. Même si ces stages sont intenses, nous apprenons à repousser nos limites et rencontrons des voltigeurs des autres régions.

La France est une figure de la discipline avec de nombreux voltigeurs et équipes parmi les meilleurs mondiaux.

Le Pôle Européen du Cheval au Mans a organisé les Championnats d’Europe et du Monde en 2011 et 2012 et j’y ai été bénévole. Je suis également devenue juge Club et je viens de suivre une formation pour devenir juge National. A terme, je souhaiterais devenir juge international car je ne me vois perdre le contact avec le milieu de la voltige.

Mais la voltige c’est surtout l’expérience du travail en équipe. On apprend le respect, le vivre ensemble et l’envie d’évoluer en équipe, de gravir des étapes. Je pense pouvoir dire que ma pratique sportive a fortement contribué à me construire et j’ai pu développer des qualités comme la gestion du stress. On noue des amitiés et on fait des rencontres inoubliables !
Un petit message à faire passer aux IGRiens ?

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Juste de « vivre » sa passion, c’est un peu bateau comme formulation mais c’est ce qui me paraît le plus juste. Même si parfois ça nécessite quelques sacrifices, toutes les expériences vécues grâce à elle résonnent plus fort et permettent de s’épanouir tous les jours !

Et en plus on peut même concilier notre passion avec les études puisque je suis maintenant trésorière de notre association 😉 !

 

 

 

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#TALENTS IGR – Portrait 3 : Landry

Et bien non, les secrets des Igériens n’ont pas encore tous été dévoilés ! Nous continuons donc notre rubrique des talents Igériens. Aujourd’hui, découvrez un sport encore méconnu. Car si nous connaissons tous le Kayak et le Polo, le Kayak-polo est encore peu pratiqué. Pas de panique, Landry va lever le voile sur sa passion ! 

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Peux-tu te présenter ?

Je m’appelle Landry et j’ai 24 ans. Je suis né à Saint-Lô et j’ai grandi à Avranches donc un vrai Normand. Je me suis expatrié en Bretagne pour faire mes études. J’ai débuté par une Licence de Mathématique-Economie avant de reprendre une Licence de Gestion à l’IGR pour atteindre aujourd’hui le master SICG dans son parcours en apprentissage (dans l’entreprise PSA à La Janais).

Quelle passion veux-tu partager avec les IGRiens ?

Ma passion, c’est le sport et plus précisément le Kayak-Polo. Ma vie s’articule depuis bien longtemps autour de cette passion qui me prend un temps considérable. Mais elle me rend énormément en retour.

C’est un sport qui mixe le Water-Polo et le Handball mais le tout en Kayak. Nous jouons donc deux mi-temps de dix minutes, intenses, pour prendre l’avantage en marquant un maximum de buts. Les buts sont situés à deux mètres de hauteur et le gardien les garde à l’aide de sa pagaie.

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Comment as-tu découvert ce sport ?

C’est une bonne question vu la confidentialité de ce sport. J’ai une famille sportive et quand je suis arrivé à Avranches à 6 ans, je suis allé au forum des sports pour choisir ceux que je ferais. Je me suis lancé dans le rugby et le kayak pendant quelques années. Quand est arrivé l’âge de la compétition et que j’ai dû m’investir plus dans l’un de ces sports, j’ai fait le choix du kayak. J’ai alors alimenté ma passion et aujourd’hui je m’entraine entre deux et trois heures par jours, ce qui nécessite une bonne organisation de sa vie professionnelle et personnelle.

As-tu quelques expériences à nous faire partager ?

Il y a de nombreuses expériences que je voudrais partager mais ce serait bien trop long. Ma plus belle expérience c’est la finale des championnats d’Europe à Madrid en 2011 face à l’équipe d’Allemagne. Après un beau parcours sur la compétition, la finale a été très compliquée et nous étions menés tout au long du match. Un but à la dernière seconde nous a permis d’accéder aux prolongations, en Golden Goal : le premier à marquer est le vainqueur ! Ce fut sans doute les minutes les plus stressantes de ma vie. Lorsque nous avons marqué l’émotion était immense.

 J’étais champion d’Europe !

C’était aussi une revanche face à cette équipe d’Allemagne contre qui nous avions échoué l’année d’avant en finale des Championnats du Monde. C’était l’aboutissement d’une belle aventure humaine sur un podium et en chantant la Marseillaise.

Un petit message à faire passer aux IGRiens ?

Malgré tout ce qui se présente à nous, quand on a des rêves, de profondes ambitions, il est toujours possible de les atteindre. Il faut en être persuadé et se donner les moyens de réussir même si nos objectifs sont élevés et qu’ils demandent des sacrifices.

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#TALENTS IGR – Portrait 2 : Benoît

La découverte des talents au sein de l’IGR continue ! Aujourd’hui à la une, le Kitesurf ! Alors non, ce n’est pas la passion la plus loufoque ou décalée. Mais connaissons-nous vraiment ce sport ? Sensations fortes, vitesse, air marin, tricks…Découvrez-le à travers le portrait de Benoît Langenais.

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Peux-tu te présenter ?

Je viens de Basse Normandie, plus précisément de la Manche. J’habite la ville d’Avranches mais je passe tous mes week-ends et vacances en bord de mer à Jullouville (20 km d’Avranches). J’ai fait un DUT GEA à Rennes. Actuellement en Licence, j’envisage d’intégrer un Master CCA.

Quelle passion veux-tu partager avec les Igriens ?

J’aimerais vous parler de ma passion pour la mer et plus particulièrement le Kitesurf. En effet, beaucoup de personnes me posent des questions sur ce sport et je voudrais le leur présenter.

Comment as-tu découvert ce sport ?

Au départ, je faisais de la planche à voile. Je passais tous mes week-ends à naviguer, il m’arrivait même de faire plusieurs centaines de kilomètres pour « chasser le vent ». C’est d’ailleurs ce qui m’a permis de trouver un « job de rêve » : moniteur de planche à voile l’été.

Depuis mes débuts en planche à voile, le kitesurf s’est énormément démocratisé. Quelques-uns de mes amis ont commencé à en faire, j’ai donc eu envie d’essayer. Cela a été une véritable révélation ! Ce sont des sensations totalement différentes notamment en termes de saut et de hauteur. Et puis, tout est plus simple : transport, préparation du matériel, mise à l’eau…

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Crédit photo : Caroline Langenais

As-tu quelques expériences à nous raconter ?

Beaucoup de gens pensent que le kitesurf est un sport très dangereux. Ils se trompent ! C’est sûr qu’il faut prendre des précautions. Personnellement, je ne me suis jamais vraiment fait mal.

Bien sûr, cela m’arrive de manger un peu de sable ou de prendre des grosses boites, mais ça fait partie du sport.

Il m’est aussi arrivé d’avoir quelques galères et de rentrer à la nage parce que le vent était tombé. Mais si on navigue à plusieurs et que l’on ne prend pas de risques importants, ce n’est pas un sport plus dangereux que les autres.

Ma meilleure expérience ? Naviguer dans un cadre idyllique avec les conditions parfaites. C’était dans les îles Chausey, une eau turquoise, un vent fort et régulier et surtout une mer toute plate. J’étais partie en bateau avec quelques copains. Nous avons navigué toute l’après-midi entre les îles à envoyer des gros tricks. La liberté de pouvoir aller où on veut, et ce, juste avec la force du vent est quelque chose d’extraordinaire.

Un petit message à faire passer aux Igriens ?

Il faut savoir repousser ses limites et essayer de nouvelles choses. J’invite tous les Igériens à essayer ce sport qui se transforme vite en drogue ! Le plus important, c’est de persévérer et ne pas avoir peur de l’inconnu car c’est ça qui nous fait aller plus loin.

Et si des Igériens veulent que l’on navigue ensemble, je suis ouvert à toutes propositions !

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#TALENTS IGR – Portrait 1 : Florina

Nous savons tous que l’IGR regorge d’élèves plus brillants les uns que les autres… Financier expert, marketeur hors-pair et bien d’autres. Mais certains Igriens sont cachotiers !

En bons Insiders que nous sommes, nous avons décidé de lever le voile… Ce portrait est le premier d’une longue série vous présentant les talents de l’IGR. Au programme, passions inavouées, passe-temps décalés, hobbies et originalité…

Aujourd’hui, portrait d’une belle étudiante en Master 1 Marketing, Florina :

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  • Florina, peux-tu te présenter ?

Avec plaisir ! Je suis originaire de Sablé sur Sarthe et habites une petite commune de Mayenne depuis 8ans. J’ai fait un DUT Techniques de Commercialisation à Laval où je me suis éclatée et où j’ai pu découvrir le marketing, un domaine que j’adore. C’est pourquoi je suis actuellement en master Marketing après avoir déjà passé un an à l’IGR en Licence 3.

  • Quelle passion veux-tu partager avec les Igriens ?

Je vous aurais bien parlé de ma passion pour le scrapbooking mais je crois que c’est celle pour les concours de beauté qui vous intéresse particulièrement ! Les concours, dans un premier temps c’était un rêve de petite fille, une expérience à tenter pour n’avoir aucun regret mais cela est très vite devenu une véritable passion.

  • Quels aspects aimes-tu dans les concours de Miss ?

Ce que j’aime, c’est la possibilité de s’exprimer d’une façon différente, par le biais de nos attitudes bien plus que par nos paroles. Ce n’est qu’en étant Miss que nous pouvons devenir parte parole, faire passer des idées, mais il faut avant cela avoir séduit le public par un rapide discours et notre prestance sur scène. Il y a là un challenge intéressant.

Les Miss, c’est aussi la possibilité pour moi d’être sur scène ce que je ne suis pas dans la vie. Sous les projecteurs, face au public, il n’est plus possible d’être la jeune fille réservée et observatrice, je ne suis plus la petite fille rêveuse d’il y a quelques années, il faut  passer de l’autre côté en tant qu’actrice de l’évènement et ca fait du bien !

Ce que j’aime par-dessus tout c’est faire le show, avoir en tête de réaliser un jolie spectacle et marcher sur les pas des mes jolies « modèles ».

  • As-tu quelques expériences à nous décrire ?

Bien sûre ! J’ai remporté en juillet dernier l’élection de Miss Mayenne 2015. J’en garde un souvenir très amusant, l’élection était en pleine air, les cheveux dans le vent! J’ai eu l’occasion de faire le tour du village en décapotable, de signer des autographes, c’était amusant de voir comme tout d’un coup j’avais un certains intérêt pour le public ! Camille Cerf, Miss France 2015 était également présente lors de mon élection et c’était un très joli cadeau !

Grâce à cette élection j’ai été directement qualifiée pour concourir à Miss Pays de Loire 2015. L’élection à eu lieu le 2 octobre à Châteaubriant. Nous étions 16 candidates, et cette fois ci il y avait un vrai spectacle à assurer ! J’en garderai un souvenir magnifique, j’étais au plus près de mon rêve et soutenu par mes proches, un véritable bonheur !

  • Un petit message à faire passer aux Igriens ?

Gare à vous qui vous moquerez de mon département : La Mayenne est souvent caricaturé comme ultra rural mais des concours de Miss y existe bel et bien, j’en suis la preuve !

Je sais que les concours de beauté ne font pas l’unanimité et peuvent être sujet à des critiques mais je vous propose d’assister à l’un de ces concours et de vous imaginez à la place des candidates. Vous réaliserez que nous ne sommes pas que des plastiques !

Pour finir, je vous dirais qu’il faut CROIRE EN SES REVES, s’en approcher ou bien les réaliser procure un tel sentiment !

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Zoom sur l’association 4L Solidaires

Ils vous ont fait voyager lors de leur repas oriental, ils vous ont fait rêver avec leur danse du ventre… Zoom sur l’association 4L Solidaires !

 L’association 4L Solidaires c’est une équipe de 20 personnes qui œuvre toute l’année pour deux projets humanitaires.

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« Il n’y pas vraiment de commissions, mais 2 projets. Comme les deux projets nécessitent la même chose, c’est à dire la recherche de fonds, qu’on soit pour EPM ou pour le 4L, on fait le même travail. »

  • 4L Trophy :

Le principe ? Réaliser un raid étudiant en plein désert, et ce en 4L bien sûr ! Et s’ils mettent les mains dans le cambouis ce n’est pas pour rien ! L’inscription à ce raid est assez élevée, mais une partie du montant est reversée à une association sur place, au Maroc qui est ensuite chargée de construire des salles de cours par exemple. Mais ce n’est tout, la course se déroule avec une 4L remplie de fournitures scolaires qui seront ensuite distribuées. Vous pourrez les encourager et les suivre dans cette aventure du 18 au 28 Février 2016.

  • Ensemble pour le Maroc :

Plus méconnu au sein de l’IGR, EPM : Ensemble Pour le Maroc, est le second projet géré par l’association. Plus qu’une aide matériel, c’est le côté humain qui est prôné.

Le principe ? Direction le Maroc dans un centre de l’association AMESIP où les Igériens viennent en aide à des enfants qui ont des relations distantes et compliquées avec leurs parents et qui vivent dans des conditions difficiles et précaires. Un seul objectif : sortir ces enfants de leur quotidien. C’est aussi l’occasion de les sensibiliser à la scolarisation. Enfin les étudiants leur apportent également du matériel : fournitures, vêtements… Départ prévu pour Avril !

« Après il y a des moments dans l’année où on est plus investis sur un projet que l’autre car les dates de réalisation sont différentes. »

Durant l’année, l’objectif de 4L Solidaires est de trouver des financements pour réaliser ses projets.

« On a besoin principalement de partenariats et que les étudiants participent à tous nos événements – donc pour vos lecteurs : si vous avez des contacts à nous communiquer, ça peut nous aider ! – On va également essayer d’organiser cette année une collecte au sein de l’IGR, et également une vente de stylos pendant les pauses gourmandes »

Retour sur le succès du Repas Oriental

« Les places se sont vendues a une vitesse éclaire »

L’association a pu faire salle comble lors de son repas oriental. Près de 80 personnes, sont venus déguster l’incontournable couscous, les crêpes marocaines et les pâtisseries orientales, le tout accompagné de thé à la menthe et de nombreuses animations (quizz sur le thème du Maroc, jeu des épices, chorégraphie orientale sous le signe de la sensualité… et l’humour !).

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Retrouvez leur vidéo de la soirée couscous : https://www.facebook.com/quatrel.solidairesigr/videos/867218503385974/?pnref=story

Pour les contacter : 4lsolidaires.igr@gmail.com – Vous pouvez également les suivre sur leur page Facebook et leur compte Instagram.

« Mais vous pourrez bientôt nous suivre sur notre site internet, il est en cours de construction. »

Et le prochain évènement de l’association ? 4L Solidaires vous organise votre prochaine soirée, rendez-vous le 19 novembre. Soyez nombreux !

Et pour faire patienter, découvrez les membres de l’association dans un Fast&Curious : 

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Ressources Plus ? Mais que font-ils vraiment ?

Ressources PlusRessources Plus, c’est un peu comme IAE Conseil … On ne sait pas vraiment ce qui se passe dans leur association ! Nous avons donc enquêté pour vous auprès de cette association régie par des Masters 2 Ressources Humaines en formation initiale. Les projets réalisés au sein de cette association sont notés en tant que Gestion de Projet, le tout étant géré par Anne Joyeau (référente) et Audrey Trémeau.

Ressource Plus, c’est 4 Cafés RH et une Journée Ressources Plus par an ! D’accord … Mais c’est quoi au juste ?

Un café RH dure environ 2 heures pendant lesquelles un sujet en relation avec les ressources humaines est abordé (fastidieux ? pas pour les plus passionnés!). Le cadre du sujet est tout d’abord présenté par l’association. Ensuite, les participants sont dispatchés sur plusieurs tables afin de faire un brainstorming par équipe. L’idée est de récupérer 3/4 idées principales afin de pouvoir déterminer les axes de discussion du débat. A la fin, un quizz instructif (oui oui, très instructif paraît-il !!!) est proposé aux participants. Au moins, ils se disent  » je ne suis pas venu pour rien ! » si la thématique ne les a pas passionnés (surtout que la participation est payante !)

Combien de personnes participent à un Café RH ?

Café RHEnviron 100 invitations sont envoyées à des professionnels et c’est 25 à 30 personnes qui viennent pour y participer (Places limitées !!! Et ça se bouscule ! ). Ces professionnels des ressources humaines ont des métiers diversifiés: coach, consultant en recrutement, directeur des ressources humaines, chargé RH … Les professeurs de l’IGR y sont également conviés et pour le second semestre, des étudiants en Masters 1 RH pourront y participer afin que la reprise soit assurée pour l’année prochaine !

Et la journée Ressource +, c’est quoi ?

Cette journée est basée sur le même principe que le café RH mais à plus grande échelle (et avec le cocktail en plus!). C’est environ 100 à 150 personnes qui y participent. Cette journée est organisée en partenariat avec ANDRH Bretagne Est (Association Nationale des Directeurs des Ressources Humaines). Cette association choisit le thème de la journée.

Comment sont choisis les thèmes des Cafés RH ?

D’un café RH à l’autre, les 17 étudiants de l’association proposent 3 ou 4 thématiques pour le café RH suivant afin que les professionnels puissent y réfléchir au préalable. (C’est pas qu’ils sont incultes dans leur domaine mais c’est toujours mieux!)

Quelles sont les prochaines dates ?

La Journée Ressource + aura lieux le 21 mars et le prochain café RH le 30 janvier ! Pour plus d’informations, n’hésitez pas à consulter leur site internet.  Attention, l’association s’attribue des mérites en pensant réaliser les plus belles affiches de l’IGR … alors ouvrez l’oeil !

 

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Les dessous d’IGRien sur scène

Alors Arthur, aujourd’hui, on est tous au courant de l’existence de votre association à l’IGR-IAE de Rennes grâce à votre pôle communication, mais… les lecteurs d’IGR Inside aimeraient en savoir plus sur votre fonctionnement interne.

E22D7FA9-9153-4442-95E9-B7B56FD84F17.image_400Comment préparez-vous la pièce de théâtre ?

Les répétitions ont lieu tous les lundis soir de 18h30 à 21h à l’IGR et une fois par mois au Diapason. Cela dure depuis septembre où l’on commençait par des exercices d’échauffement de voix… avec notre metteuse en scène professionnelle. (et donc rémunérée!)

 

Comment choisissez-vous la pièce et comment vous vous répartissez les rôles ?

Cette année nous avons décidé de changer de registre. Nous allons faire une pièce de théâtre contemporain. Pour la choisir, chacun de nous cherche quelques pièces sur internet, les montre à tous le groupe et l’on décide tous ensemble. Après pour le choix des rôles, cette année nous avons fonctionné différemment. Il y a beaucoup de personnages dans la pièce (plus d’une vingtaine) et nous sommes 13 comédiens. Chacun a établi une liste des rôles qui lui correspond et/ou qui l’intéresse après lecture de la pièce, puis je décide de l’attribution des rôles avec la metteuse en scène. Cette année, des comédiens auront donc plusieurs rôles à jouer dans la même pièce !

602807_353289798110887_1490093496_nComment gérez-vous les costumes et les décors ?

Pour les costumes, chacun essaye de se trouver un look en concordance avec son/ses personnage(s). Commence donc un véritable échange de fringues entre tous les membres de l’association, l’entourage … Pour le décor, cela varie, nous faisons une liste de tous les objets nécessaires. Nous la remettons au pôle décor (souvent constitué d’étudiants revenant d’Erasmus). Puis ils dégottent les objets en magasin, chez Emmaüs et/ou se font prêter par l’entourage …

Et le jour J, comment ça se passe ? Vous êtes tous stressés ??

On passe la journée sur le lieu de la représentation ! La semaine précédent la représentation, c’est une vraie famille qui se forme.  Puis quelques heures avant le début, la metteuse en scène nous pique montres, téléphones, textes … pour qu’on puisse se concentrer et se mettre à fond dans notre personnage. Durant la représentation, certains stressent dans leur coin, d’autres essayent de déconcentrer et taquiner ceux qui passent sur scène, parfois c’est des règlements de comptes entre ceux qui ont bouffé des répliques à l’un ou à l’autre …  Le stress se gère un peu plus facilement pour la poignée de comédiens ayant déjà fait du théâtre auparavant !

Comment faire partie de votre association ?

Nous avons eu peur d’avoir trop de monde cette année dans l’association alors nous avons pensé faire deux pièces différentes, mais finalement, non ! Le casting des comédiens est ouvert à tous. Quant à la communication, nous sommes obligés de faire un recrutement pour connaître les motivations des étudiants … voilà le résultat, notre équipe communication est toujours aussi brillante !

Alors petit coup de pub sur vos représentations ?

Oui, donc nous serons le 12 mars au Diapason. 550 places sont disponibles. (Généralement la majorité du public est étudiants ou professeurs à l’IGR lors de la première représentation). Nous ferons également deux autres représentations le 14 (à Pont-Péan) et le 15 mars (lieux à reconfirmer).

Puis une nouvelle soirée sera organisée par l’association prochainement !

 

Merci à Arthur F.!

 

 

 

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« A l’époque, on était au 5e étage de la fac de droit »

Venez découvrir une partie de l’histoire de l’IGR grâce à un enseignant présent dès la création de notre illustre Institut, André Fady… !

 

Pouvez vous vous présenter et nous dire ce que vous avez enseigné à l’IGR ?

Je m’appelle André Fady, j’ai 66 ans et je suis en retraite depuis un an. En ce qui concerne l’IGR, j’y ai d’abord été étudiant en 1968-69 : j’y ai passé le CAE (aujourd’hui rebaptisé MAE). Je finissais une maitrise en sciences économiques. J’ai commencé une carrière d’enseignant en comptabilité et j’ai ensuite eu l’opportunité de faire de la recherche pour la grande distribution : le lancement des grandes surfaces. La directrice de la recherche, Mme Krier, fondatrice de l’IAE, avait obtenu un financement pour des travaux de recherche sur l’impact de la grande distribution sur le tissu commercial de l’époque. Elle m’a proposé un poste de chercheur à l’IAE. A l’époque, on était au 5e étage de la fac de droit. Pendant un an j’ai travaillé sur ce domaine là. Le contrat s’est terminé et pendant ces années là j’avais commencé à donner des cours sur la distribution à l’IUT de Saint-Nazaire. J’ai donc postulé pour un emploi à l’IUT de Quimper, pour enseigner la distribution et de manière plus générale, le marketing. J’ai fait 7 ans à Quimper. En 1978, on m’a proposé d’ouvrir un Master Marketing, un DESS à l’époque, en Bac +5, ce qui était rare. Il s’appelait « Carrière du commerce et de la publicité ». A l’époque, on ne parlait pas de « Marketing ». Je suis venu à Rennes. Au départ ce Master était géré par la faculté de Sciences Economiques. Puis tous les enseignants en gestion de l’Université ont été regroupés dans le cadre de l’IGR et j’y ai transféré le Master Marketing, en formation initiale.

Puis j’ai analysé le marché pour découvrir qu’il y avait un besoin de formation permanente : des gens qui avaient un DUT, une licence ou une maitrise d’autre chose et qui travaillaient en entreprise en y exerçant des fonction marketing, qui avaient un réel besoin de se spécialiser. Nous avons ouvert le diplôme aux formations continues. On a été le deuxième diplôme, après GRH, à ouvrir aux formations continues.

 

Pourquoi avez vous choisi l’IGR ?

Tout d’abord parce que j’y ai fait mes études. Je suis originaire de Bretagne et je suis arrivé en 4e année de Sciences économiques : je venais d’Aix en Provence. Je voulais travailler dans le domaine de la Gestion, je suis issu d’une famille d’enseignants. J’avais dit : « Tout sauf l’enseignement ! » et puis bon… Sans doute que cela était écrit quelque part : j’étais destiné à être prof. Je ne regrette absolument pas ce métier, surtout dans le domaine que j’ai choisi : le marketing, la distribution, le merchandising. C’est en perpétuel mouvement : je n’ai jamais fait deux années de suite le même cours et je continue à constater aujourd’hui que ça évolue à la vitesse grand V, avec Internet et le e-commerce. J’ai pu faire des travaux de recherche et aussi du conseil en entreprise et chacun des trois éléments nourrissait les deux autres : grâce au conseil, j’avais des terrain pour faire des enquêtes, que je continue d’ailleurs.

 

Si vous pouviez qualifier les étudiants de l’IGR en quelques mots ?

Je reprendrai ce que mes collègues ont dit. J’étais entièrement d’accord avec eux : ils sont sympathiques, sérieux, solides. Pour avoir donné des cours dans d’autres IAE en France, et dans des Ecoles Supérieures de Commerce, je peux dire que l’avantage des étudiants de Rennes, c’est qu’ils n’ont pas la grosse tête. Ils ne se prennent pas pour les meilleurs et ils sont solides, je crois que c’est le granit breton ! Très souvent, quand je rentrais à Rennes, je me disais : « ah enfin, je vais avoir des étudiants agréables, fiables, qui ne friment pas ». C’est pour cela que je continue de travailler avec des étudiants de licence en faisant du tutorat, parce que je participe depuis des années au recrutement de licence. La plupart des étudiants font leurs trois ans ici : cela génère un esprit « maison » très agréable.

 

Quelle aura été l’expérience la plus gratifiante pour vous ?

J’ai eu la chance dans mon métier de ne faire que des choses agréables : les missions passionnantes que j’ai eu, les collègues avec lesquels je me suis toujours bien entendu, les étudiants agréables et travailleurs. J’ai du mal à retirer un élément particulier : j’ai eu un rôle d’entrepreneur puisque j’ai pu monter un Master à la fois en formation initiale et continue, puis délocalisé, puis en apprentissage. On a fait des opérations en terme de recherche conseil pour de très nombreuses entreprises.

Et si vous n’aviez pas été professeur…?

J’aurais certainement été cadre dans une entreprise mais pas forcément dans le domaine commercial et marketing.

 

Merci à Monsieur Fady pour avoir répondu à nos questions.

ParIGR-Inside

« C’est vraiment chouette de pouvoir faire mes études tout en me rendant utile aux autres »

Aujourd’hui, une licence est à l’Honneur ! Découvrez Elsa, qui nous raconte, à sa manière, sa vie d’IGRienne !

En quelle formation est-tu ?

Elsa Licence

Ne pas se méprendre ! Les licences, ce sont des bosseurs !

En licence 3 mention Sciences de Gestion. J’aurais pu dire « En licence», mais plus c’est long, mieux c’est.

 

Tu as fait quoi avant l’IGR ?

Après un Bac ES, je suis allée décrocher un DUT GEA option RH.

 

Si je te dis IGR, tu me réponds ___ ?

Que c’est un institut très valorisant pour ses étudiants où il fait bon étudier et ce, en étant entouré de personnes en général très accueillantes, chaleureuses et sympathiques.

 

Ton coup de cœur à l’IGR ? Le truc le plus chouette ?

La vie associative. Avant de venir à l’IGR, je n’ai jamais eu l’occasion de m’investir dans le milieu associatif par manque de temps mais aussi de moyens. Je trouve ça vraiment chouette de pouvoir faire mes études tout en me rendant utile auprès d’autres personnes au sein de la commission Aide&Intégration de l’association IGR Entr’aides, ça me tenait vraiment à cœur. En plus, ça apporte de la vie au sein de l’IGR : Entre les soirées organisées, les petits coups de main entre commissions et associations, les cadeaux et lots à remporter… ça déborde de dynamisme et ça crée des liens… 🙂

 

Le pire truc qui te soit arrivé à l’IGR ? ta pire galère ?

Avoir monté les escaliers trop vite, pensant qu’on avait cours au deuxième étage alors qu’on avait info au quatrième. Morale de l’histoire : « Le tabac, c’est tabou, on en viendra tous à bout ».

 

Tu sais où elle est toi la salle 422 ?

En théorie, oui. En pratique, je n’ai jamais testé. Je saurai où trouver la notice d’explications en temps et en heure 😉 Merci IGR Inside 🙂

 

Ton prof préféré ?

Tous ceux qui ont un rapport avec le Master Management des Ressources Humaines 😉 (Je vous envoie à tous mes sentiments les plus sincères !!!! 😀 ). Ayant débuté ma carrière d’IGRienne il y a 4 mois, je ne vais pas trop me mouiller.

 

Ton interlocuteur préféré de l’IGR ?

Personne en particulier. Mais je crois que mes interlocuteurs préférés, ce sont quand même ceux du matin, avant 8h, qui me rejoignent quand je fume ma cigarette avant d’aller en cours. En période de rush, c’est parfois le seul moment où l’on peut échanger dans le calme avant de se lancer dans une journée trépidante.

 

Le truc le plus inutile que tu as appris à l’IGR ?

Je suis très curieuse et j’ai soif d’apprendre donc même les choses qui me seront inutiles en pratique plus tard m’intéressent quand même. Par contre, réaliser 30 requêtes sur une base de données…Steuplé ! Le temps est précieux !

 

Ton sentiment quand tu regardes le bâtiment / la passerelle / la cour de l’IGR ?

Un sentiment empli d’interrogations où je suis obligée de mener une profonde analyse afin de cerner les risques de me briser le coccyx, ma plus grande hantise : Puis-je traverser la cours par la passerelle afin d’accéder rapidement au bâtiment ? Ou bien la passerelle est-elle si humide qu’il est préférable de prendre ses précautions en contournant la cours ?

 

Quel mystère concernant l’IGR aimerais tu voir résolu ?

Qui est ce qui a eu l’idée de mettre une passerelle et des barrières qui bouffent la quasi-totalité de la cours ? Je crois que c’est un sujet redondant et j’aimerais clarifier cela avec le responsable de cette affaire ! 🙂  En heure de pointe, ça se bouscule…

 

Tu veux faire quoi plus tard ?

Administratrice dans 5 CA de graaaandes SA (De type Monistes ou Dualistes, je m’en fiche).

Mais avant ça, je veux travailler dans les RH… C’est mon dada ! L’idéal serait dans une PME qui me permettrait d’avoir des fonctions polyvalentes et des responsabilités. Question mobilité, c’est un grand frein pour moi n’ayant pas les moyens de partir à l’étranger pendant mes études. Toutefois, j’ai pour projet de m’expatrier plus tard à la Réunion. Une partie de ma famille y vit, et étant une personne qui a couté très cher à l’Etat français, je préfère travailler au profit de l’économie réunionnaise plutôt qu’au profit d’un pays étranger.

 

Ton tic verbal ?

J’ai une fâcheuse tendance à m’exprimer en onomatopées quand je suis à court de vocabulaire.

 

Ton endroit préféré à Rennes ?

J’aime bien partir de République, remonter la rue le Bastard et finir ma virée dans un bar à Ste Anne ou au Colombus Café par temps d’hiver.

 

Si je te parle du Stade Rennais, tu me réponds ___ ?

Des supporters très encombrants sur la route (Je vis à St Jacques au niveau des Rocades) mais très absents dans les tribunes… Quitte à faire le déplacement et embêter les riverains, autant que ce soit utile… (Ressaisissez-vous, fervents supporters !)

 

Le bar où on a plus de chance de te trouver un jeudi soir ?

Nowhere. J’étais une grande fêtarde au lycée, j’étais pauvre et je laissais toutes mes économies en boite et dans la rue de la soif… et puis ma vie a changé et j’ai arrêté tout ça… Je referai la tournée des bars quand je ferai une nouvelle crise d’ado vers la quarantaine 😉

 

Merci à Elsa pour sa participation !

ParIGR-Inside

« Les liens sont plus forts entre humains en Bulgarie qu’en France »

 

Ani M2 IGR-IAE

Elle est originaire de Bulgarie mais se bat contre les clichés associés à son pays! Découvrez Ani, étudiante en Master 2 Marketing à l’IGR-IAE.

 

En quelle formation est-tu ?

Je suis en Master 2 Marketing option négociateur d’affaires à l’international

 

Tu as fait quoi avant l’IGR ?

J’étais en M1 affaires internationales et PME à la fac d’éco Rennes 1. Avant ça, j’ai fait une licence de gestion en Bulgarie

 

Si je te dis IGR, tu me réponds ___ ?

Galère parce qu’on travaille dur !

 

Ton coup de cœur à l’IGR ? Le truc le plus chouette ?

Les roses devant le bâtiment. Elles sentent bon, c’est chouette !

 

Le pire truc qui t’est arrivé à l’IGR ? ta pire galère ?

Ah ! J’ai réussi à me perdre en essayant de trouver la salle 422 😉

 

Ah toi aussi ? Tu sais alors où elle est la salle 422 ?

Maintenant oui, je sais !

 

Ton prof préféré ?

Notre prof de communication/négociation Xavier Barbare : il est amusant et ses cours sont intéressants, ils ne sont pas statiques

 

Le truc le plus inutile que tu as appris à l’IGR ?

Les retranscriptions d’entretiens, c’est looong !…

 

Ton sentiment quand tu regarde la cour de l’IGR ?

Une petite secte ! Parce que c’est tout petit (en comparaison avec Rennes 1)

 

Quel mystère concernant l’IGR aimerais tu voir résolu ?

qu’y a-t-il dans la « cave » (niveau -1 ) ?

 

Tu veux faire quoi plus tard ?

Euh travailler… !? 😉

 

Ton tic verbal ?

« A mon avis »

 

Ton endroit préféré à Rennes ?

La rue Saint Georges, parce que c’est pittoresque !

 

Si je te parle du Stade Rennais, tu me réponds ___ ?

Je regarde pas le foot !

 

Le bar où on a plus de chance de te trouver un jeudi soir ?

Au Tio paquito, ya de la musique sympa !

 

Parlons un peu de ton pays, comment les bulgares sont-elles perçues en France ?

Comme des filles de l’Est et comme des ivrognes ! Mais c’est faux !

 

Ce que tu aimes le plus dans ton pays 

Certainement les relations entre les amis ou la famille. Les liens sont plus forts entre humains en Bulgarie qu’en France. S’il t’arrives un soucis en Bulgarie, tu sais que tu peux appeler 5 amis, les 5 viendront t’aider ! Pas toujours le cas en France…

 

Ce que tu détestes le plus en Bulgarie

La situation politique, parce qu’il y a beaucoup de corruption ! Les hommes politiques ne pensent qu’à eux et pas au pays !

 

Pourquoi la France ?

Ca remonte à l’école maternelle ! Laisse moi t’expliquer. Pour rentrer à l’école maternelle, je me suis trompée à un examen. Je n’ai pas pu étudier l’anglais, donc j’ai choisi le français… et me voilà ! Mais je ne regrette pas, bien au contraire 😉

 

Ca va tu as survécu ?

Oui ! C’était top ! merci !

 

Merci à Ani d’avoir répondu à nos questions

ParIGR-Inside

« L’avenir c’est vous, on ne va pas insulter l’avenir quand même ! »

Il est à l’origine de la prolifération des blogs au sein de l’IGR… Découvrez Dominique Lamarque, intervenant en Master 2 Marketing.

photo D.Lamarque

 

Qui êtes vous ? Qu’enseignez-vous au sein de l’IGR ?

Je m’appelle Dominique Lamarque. Je suis intervenant comme vacataire en formation initiale, en cybermarketing en M2 Marketing depuis 10 ans environ.

 

Que faisiez-vous avant d’arriver à l’IGR ?

J’avais mon cabinet de consulting en B to B et j’avais deux activités annexes : l’enseignement et j’étais agent commercial en B to C. L’enseignement pour deux raisons : la première c’est répondre à la nécessité pour un consultant  de revoir régulièrement ses fondamentaux.  La seconde est due à une opportunité car je connais bien Philippe Robert (Responsable du M2 Marketing) puisqu’on a fait notre DESS marketing ensemble. A cette époque je n’étais pas étudiant mais salarié en congé individuel formation. Nous étions deux comme ça dans la promo  on nous appelait « les tontons ». Quand j’ai créé mon cabinet, André FADY (responsable du Master à l’époque) et Philippe ROBERT m’ont contacté : « on a besoin d’un professionnel et on a pensé à toi ». Comme entre temps j’avais fait Sup Telecom, ils m’ont demandé de faire un cours de cybermarketing.

 

Au départ, pourquoi l’IGR ?

Au tout départ, j’étais ouvrier électricien, spécialiste des réseaux aériens. A un moment donné j’ai voulu créer mon entreprise. J’ai du me former en gestion. N’ayant pas le bac,  j’ai fait les Arts et Métiers en cours du soir pendant 4 ou 5 ans et j’ai obtenu l’équivalent d’une maîtrise en sciences éco. Mais en ayant été formé à la gestion, j’ai trouvé du boulot mieux payé que si j’avais créé mon entreprise. J’ai commencé à former des créateurs d’entreprise. Il est apparu ensuite une opportunité avec une nouvelle loi qui permettait d’être détaché pendant un an pour suivre une formation (congé individuel formation). J’ai donc fait le DESS Marketing ici à l’IGR. C’était une année formidable : je me suis fait de très bons copains et on a fait des missions qui nous ont rapporté un peu d’argent. J’ai aussi fait mon stage à Ouest France… On a été vainqueur de la 1ére nuit de la pub, c’était une expérience extraordinaire. J’ai ensuite intégré la responsabilité du développement économique dans la région de Redon. C’était un poste politique et à une élection cela ne s’est pas bien passé pour moi. Je me suis retrouvé sur le marché du travail à 45 ans. J’ai contacté les gens de l’APEC que je connaissais bien. J’avais remarqué qu’il y avait des choses qui bougeaient dans le domaine des réseaux informatiques. J’ai intégré un Master RESIFI à Sup Télécom en informatique. Et au final : marketing plus informatique, cela fait cybermarketing! J’ai fait beaucoup de conseil pour les starts-up tout en enseignant à l’IGR. Le moment de la retraite venu j’ai quitté toutes mes activités, sauf celle là.

Pouvez vous qualifier les étudiants de l’IGR en quelques mots ?

Je trouve que ce sont des étudiants plutôt brillants et le niveau monte d’année en année. Ils sont sérieux et appliqués. Ce que je pourrais reprocher c’est de rester trop étudiants, de rester sur ce statut qui est rassurant, alors qu’ils ont des grands talents. Et l’avenir c’est vous, alors on ne va pas insulter l’avenir quand même ! (rires)

Quelle aura été l’expérience la plus gratifiante pour vous au sein de l’IGR ?

C’est sans conteste ce que j’ai fait ici en DESS. Pendant qu’on était là on a fait des choses bien sympathiques, que j’ai bien monnayé après. C’était agréable ! Il y  aussi ce que je fais avec les Master 2 marketing en cours, où on a basculé d’une transmission de savoir à une transmission de savoir faire, ça me parait bien plus intéressant dans ce domaine et bien plus utile pour vous.

 

Une anecdote à l’IGR à raconter ?

Ce serait ma participation à la Nuit de la Pub avec Didier HOLLIER LAROUSSE, l’autre « tonton ». Ce jour là on était tous réunis dans un amphi, avec des étudiants des beaux arts… Au moment de constituer les équipes, nous avons lancé : « Ceux qui veulent gagner viennent avec nous ! ». Cela a fait rire tout le monde. Deux étudiants, un garçon et une fille nous ont rejoint et nous avons gagné ! (rires)

 

Si l’IGR était un animal, quel serait-il ?

Je dirais un Tapir : c’est costaud mais ça n’avance pas vite. Et pourtant il y a du potentiel ! Je trouve qu’on ne valorise pas assez ce qui se fait ici, je trouve cela dommage…

 

Y a-t-il un endroit dans la ville de Rennes qui vous plait particulièrement ?

La Place du Parlement parce que c’est un lieu historique, et c’est un beau bâtiment. C’est un des lieux historique qui a marqué l’histoire de la Bretagne et de la France également.

 

Merci à Monsieur Lamarque d’avoir répondu à nos questions.

ParIGR-Inside

« J’ai plutôt tendance à faire de la vie asso’ qu’à faire mes cours »

1484959_10202823619610875_1429913441_nPrésident de l’asso les 4L solidaires, vous avez foooorcément croisé Grégoire dans les couloirs de l’IGR!

 En quelle formation es-tu à l’IGR ?

« Je suis en Master 1 Finance.

C’est une bonne situation ça, être à l’IGR ?

Oui c’est une bonne situation dans le sens où c’est une bonne formation, c’est une bonne école qui est réputée surtout dans le grand Ouest. Ouai, c’est une bonne situation d’être ici à l’IGR.

Tu es Président de l’Association les 4L solidaires, quel est ton rôle exactement ?

C’est surtout de manager l’équipe et les guider, notamment dans la recherche de sponsors pour les 4L, ce qui n’est pas une chose facile avec la situation économique actuelle. Là ça commence à fonctionner car nous avons réussi à trouver des sponsors, et nous faisons pas mal d’activités aussi pour récolter des fonds.

Et ça, c’est une bonne situation d’être Président ?

C’est une bonne situation oui et non. C’est super intéressant d’être Président, ça nous permet de connaitre pleins de choses et plein de monde à l’IGR et ça nous fait de bonnes relations, mais ça nous prend beaucoup de temps. Ca a tendance à prendre un peu le pas sur les cours, là par exemple je suis débordé et j’ai plutôt tendance à faire de la vie asso’ qu’à faire mes cours ! J’arrête la vie asso’ en Master 2 !

Quels sont les avantages et les inconvénients d’être Président d’asso ?

En termes d’avantages, professionnellement ça nous apporte un réseau, et puis c’est très formateur en termes de gestion d’équipe et de budget. C’est une aventure humaine intéressante. Mais derrière, il y a des inconvénients quand même car ça prend du temps, il y a parfois des déceptions quand on n’arrive pas à atteindre des projets.

Que faisais-tu avant l’IGR ?

J’ai fait un DUT GEA à Saint Malo. Et je suis arrivée à l’IGR en Licence 3.

Si je te dis IGR tu me réponds ____ ?

Beaucoup de choses, car je passe mon temps ici ! Et j’habite juste en face en plus. J’ai tous mes amis ici, donc ça va être compliqué de résumer l’IGR en un mot. Comme dirait KLR (Karine Le Rudulier), c’est l’esprit IGR ! On ne sait pas ce que c’est, il faut le vivre.

Ton coup de cœur ici ?

Les gens. Ce n’est pas tant l’IGR qui j’apprécie, ce sont les gens qui y sont qui font que je passe mon temps ici.

A l’inverse, la pire chose qui t’es arrivée ici ?

Les cours ! Le fait qu’ils vantent une super formation, mais qu’il y a quand même quelques défaillances derrière.

Tu sais où elle est toi la salle 422 ?

Ce n’est pas chez les Japonais ? La salle qui est un peu méconnue ! L’année dernière, on a eu quelques difficultés à la trouver.

Ton prof préféré ?

C’est une bonne question. Je dirai Christophe Herriau, professeur de stratégie et Techniques Budgétaires, qui est super sympa et super intéressant. Même si en Licence, il a pour habitude de casser les gens, et en Master de les chouchouter, il est très calé dans son domaine.

Ton interlocuteur préféré ?

Maryannig Robin qui est très très gentille.

Le truc le plus inutile que tu as appris ici ?

Le tutorat. Je pense sincèrement que ça ne sert à rien. Ils nous font chier avec ça pendant 2 ans, ça prend du temps et ça sert à rien !

Ton sentiment quand tu regardes la passerelle de l’IGR dehors ?

Bien-être ! C’est bien, ce n’est pas trop grand, c’est à taille humaine.

 As-tu un tic verbal ?

C’est fort possible, mais là comme ça, je ne sais pas !

Ton endroit préféré à Rennes ?

Le Bistrot à tartines, parce que l’ambiance est super sympa, il y a une bonne déco, et la bouffe est bonne. Et chez moi aussi. Et l’IGR, évidemment !

Si je te dis Stade Rennais ___ ?

Que je m’en fous !

Le bar où on a le plus de chance de te trouver le Jeudi soir ?

Au loft. Chez Coco et moi, là haut, c’est là où on se retrouve ! Sinon c’est en boite, Pymm’s, Espace, Delicat… »

Merci à Grégoire d’avoir répondu à nos questions