Archives de catégorie Les élèves actuels

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#TALENTS IGR – Portrait 5 : Benjamin

Et on commence la semaine en beauté, avec la reprise de la rubrique #Talents IGR. A l’honneur pour ce portrait, Benjamin ! En plus de sillonner tout l’IGR sous le costume de la mascotte, il fait également du VTT et réalise de nombreuses vidéos.

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Peux-tu te présenter ?

Je m’appelle Benjamin Leraux, je suis en M1 Marketing. Je viens de Granville dans la Manche et avant l’IGR je suis passé par un DUT Techniques de Commercialisation.

Quelle passion veux-tu partager avec les IGRiens ?

Ma passion pour le VTT dans son ensemble, de la pratique au suivi des compétitions en passant par la réalisation de photos et vidéos de ce sport. Le VTT associe très bien 3 éléments importants : le côté sportif avec la possibilité de se défouler, d’aller vite, les amis car c’est toujours plus agréable de rouler en groupe, et la nature. En vélo, on passe partout et on peut voir des paysages grandioses parfois inaccessibles par d’autres moyens… C’est d’ailleurs cet aspect que l’on essaye de mettre en valeur via nos photos et vidéos.

Le VTT est un sport que se prête bien à la mise en images du fait des mouvements rapides, des changements de lumières, etc…

Comment as-tu découvert ce sport ?

Au début, c’était simplement le moyen de transport utilisé par tous les enfants en campagne. Puis petit à petit on a fait de plus en plus de kilomètres, on a amélioré les vélos, l’équipement,…

 

As-tu quelques expériences à nous faire partager ?

Passer deux semaines dans les Alpes, à Méribel? pendant la finale de la Coupe du Monde de VTT reste l’expérience la plus énorme !! Nous avons pu côtoyer des passionnés de VTT du monde entier et vivre un évènement impressionnant avec des grands champions. Ces derniers sont accessibles sur les paddocks et on a pu parler et prendre des photos avec eux. De plus, cet évènement me conforte dans l’idée d’un jour associer mon métier à ma passion dans une entreprise liée au VTT(chez une marque, un distributeur ou bien dans l’évènementiel).

Un petit message à faire passer aux IGRiens ?

Le vélo c’est cool mais ça peut être dangereux !! Après de longues années sans accidents, je me suis luxé l’épaule sur une mauvaise chute il y a un mois. Mais outre ça, je veux surtout dire que peu importe le sport ou la passion que l’on pratique elle est nécessaire dans nos vie ! En parallèle des cours ou de la vie professionnelle, cela sert d’échappatoire pour libérer la pression et le stress – en tout cas à l’IGR ça peut être nécessaire -.

« Remember to ride fun ! »

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N’hésitez pas à faire un tour sur cette page Facebook pour découvrir ses vidéos :

https://www.facebook.com/SJdC.Vtt.pageofficielle/

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#TALENTS IGR – Portrait 4 : Bleuenn

Nouvelle année, nouveau talent ! Aujourd’hui nous vous proposons de découvrir le portrait de Bleuenn et sa passion: la voltige équestre, sport qui allie musculation et acrobatie à l’univers de l’équitation.

Peux-tu te présenter ?

Je m’appelle Bleuenn, j’ai 21 ans, et je suis voltigeuse depuis maintenant 11 ans (voir 12,  je ne sais plus exactement). Je suis en Licence de Gestion à l’IGR. Auparavant, j’ai fait un DUT à Saint-Malo en Gestion des Entreprises. Je suis originaire de Rennes.

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Quelle passion veux-tu partager avec les IGRiens ?

Ma passion, c’est la voltige équestre. Elle est issue de la pratique militaire. Comme son nom l’indique, la voltige se pratique sur des chevaux. On la pratique en équipe, en pas de deux ou en individuel. Le cheval évolue sur un cercle au bout d’une longe tenue par le « longeur » qui se trouve au milieu du dit cercle. Le voltigeur ne se préoccupe pas diriger le cheval. De plus, l’harnachement est différent de celui de l’équitation classique. On parle de surfaix et de tapis carbone et les seuls points d’accroche sont les poignées.

L’autre différence majeure avec l’équitation réside dans l’entraînement. La répartition se fait ainsi : 75% du temps consiste dans le travail de musculation, de gym et de travail au sol contre 15% seulement de travail sur le cheval.

Les qualités physiques des voltigeurs sont quasiment les mêmes que les gymnastes, et les mouvements sont d’abord préparés au sol et au tonneau (faux cheval) avant d’être mis en application sur le cheval.

 Comment as-tu découvert ce sport ?

 C’est ma sœur qui l’a découvert en premier et nous nous sommes inscrites ensemble dans un des seuls clubs autour de rennes en proposant. Je pratiquais l’équitation auparavant et j’en avais déjà fait un peu mais la voltige reste une toute petite discipline.

 As-tu quelques expériences à nous faire partager ?

Depuis 10 ans, j’ai pu vivre de nombreuses expériences grâce à ce sport. J’ai participé à de nombreuses compétition et nous avons été vice-championnes  de France en 2013 avec mon équipe dans notre catégorie (puis j’ai du arrêter avant de reprendre cette année). La même année j’ai aussi fait un stage et une compétition à Madrid ou j’ai rencontré des voltigeurs de pleins de pays comme l’Afrique du Sud, le Brésil, la Norvège, la Colombie…

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Avec mon équipe, nous participons à des stages au pôle France de voltige situé à Saumur. Même si ces stages sont intenses, nous apprenons à repousser nos limites et rencontrons des voltigeurs des autres régions.

La France est une figure de la discipline avec de nombreux voltigeurs et équipes parmi les meilleurs mondiaux.

Le Pôle Européen du Cheval au Mans a organisé les Championnats d’Europe et du Monde en 2011 et 2012 et j’y ai été bénévole. Je suis également devenue juge Club et je viens de suivre une formation pour devenir juge National. A terme, je souhaiterais devenir juge international car je ne me vois perdre le contact avec le milieu de la voltige.

Mais la voltige c’est surtout l’expérience du travail en équipe. On apprend le respect, le vivre ensemble et l’envie d’évoluer en équipe, de gravir des étapes. Je pense pouvoir dire que ma pratique sportive a fortement contribué à me construire et j’ai pu développer des qualités comme la gestion du stress. On noue des amitiés et on fait des rencontres inoubliables !
Un petit message à faire passer aux IGRiens ?

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Juste de « vivre » sa passion, c’est un peu bateau comme formulation mais c’est ce qui me paraît le plus juste. Même si parfois ça nécessite quelques sacrifices, toutes les expériences vécues grâce à elle résonnent plus fort et permettent de s’épanouir tous les jours !

Et en plus on peut même concilier notre passion avec les études puisque je suis maintenant trésorière de notre association 😉 !

 

 

 

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#TALENTS IGR – Portrait 3 : Landry

Et bien non, les secrets des Igériens n’ont pas encore tous été dévoilés ! Nous continuons donc notre rubrique des talents Igériens. Aujourd’hui, découvrez un sport encore méconnu. Car si nous connaissons tous le Kayak et le Polo, le Kayak-polo est encore peu pratiqué. Pas de panique, Landry va lever le voile sur sa passion ! 

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Peux-tu te présenter ?

Je m’appelle Landry et j’ai 24 ans. Je suis né à Saint-Lô et j’ai grandi à Avranches donc un vrai Normand. Je me suis expatrié en Bretagne pour faire mes études. J’ai débuté par une Licence de Mathématique-Economie avant de reprendre une Licence de Gestion à l’IGR pour atteindre aujourd’hui le master SICG dans son parcours en apprentissage (dans l’entreprise PSA à La Janais).

Quelle passion veux-tu partager avec les IGRiens ?

Ma passion, c’est le sport et plus précisément le Kayak-Polo. Ma vie s’articule depuis bien longtemps autour de cette passion qui me prend un temps considérable. Mais elle me rend énormément en retour.

C’est un sport qui mixe le Water-Polo et le Handball mais le tout en Kayak. Nous jouons donc deux mi-temps de dix minutes, intenses, pour prendre l’avantage en marquant un maximum de buts. Les buts sont situés à deux mètres de hauteur et le gardien les garde à l’aide de sa pagaie.

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Comment as-tu découvert ce sport ?

C’est une bonne question vu la confidentialité de ce sport. J’ai une famille sportive et quand je suis arrivé à Avranches à 6 ans, je suis allé au forum des sports pour choisir ceux que je ferais. Je me suis lancé dans le rugby et le kayak pendant quelques années. Quand est arrivé l’âge de la compétition et que j’ai dû m’investir plus dans l’un de ces sports, j’ai fait le choix du kayak. J’ai alors alimenté ma passion et aujourd’hui je m’entraine entre deux et trois heures par jours, ce qui nécessite une bonne organisation de sa vie professionnelle et personnelle.

As-tu quelques expériences à nous faire partager ?

Il y a de nombreuses expériences que je voudrais partager mais ce serait bien trop long. Ma plus belle expérience c’est la finale des championnats d’Europe à Madrid en 2011 face à l’équipe d’Allemagne. Après un beau parcours sur la compétition, la finale a été très compliquée et nous étions menés tout au long du match. Un but à la dernière seconde nous a permis d’accéder aux prolongations, en Golden Goal : le premier à marquer est le vainqueur ! Ce fut sans doute les minutes les plus stressantes de ma vie. Lorsque nous avons marqué l’émotion était immense.

 J’étais champion d’Europe !

C’était aussi une revanche face à cette équipe d’Allemagne contre qui nous avions échoué l’année d’avant en finale des Championnats du Monde. C’était l’aboutissement d’une belle aventure humaine sur un podium et en chantant la Marseillaise.

Un petit message à faire passer aux IGRiens ?

Malgré tout ce qui se présente à nous, quand on a des rêves, de profondes ambitions, il est toujours possible de les atteindre. Il faut en être persuadé et se donner les moyens de réussir même si nos objectifs sont élevés et qu’ils demandent des sacrifices.

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#TALENTS IGR – Portrait 2 : Benoît

La découverte des talents au sein de l’IGR continue ! Aujourd’hui à la une, le Kitesurf ! Alors non, ce n’est pas la passion la plus loufoque ou décalée. Mais connaissons-nous vraiment ce sport ? Sensations fortes, vitesse, air marin, tricks…Découvrez-le à travers le portrait de Benoît Langenais.

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Peux-tu te présenter ?

Je viens de Basse Normandie, plus précisément de la Manche. J’habite la ville d’Avranches mais je passe tous mes week-ends et vacances en bord de mer à Jullouville (20 km d’Avranches). J’ai fait un DUT GEA à Rennes. Actuellement en Licence, j’envisage d’intégrer un Master CCA.

Quelle passion veux-tu partager avec les Igriens ?

J’aimerais vous parler de ma passion pour la mer et plus particulièrement le Kitesurf. En effet, beaucoup de personnes me posent des questions sur ce sport et je voudrais le leur présenter.

Comment as-tu découvert ce sport ?

Au départ, je faisais de la planche à voile. Je passais tous mes week-ends à naviguer, il m’arrivait même de faire plusieurs centaines de kilomètres pour « chasser le vent ». C’est d’ailleurs ce qui m’a permis de trouver un « job de rêve » : moniteur de planche à voile l’été.

Depuis mes débuts en planche à voile, le kitesurf s’est énormément démocratisé. Quelques-uns de mes amis ont commencé à en faire, j’ai donc eu envie d’essayer. Cela a été une véritable révélation ! Ce sont des sensations totalement différentes notamment en termes de saut et de hauteur. Et puis, tout est plus simple : transport, préparation du matériel, mise à l’eau…

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Crédit photo : Caroline Langenais

As-tu quelques expériences à nous raconter ?

Beaucoup de gens pensent que le kitesurf est un sport très dangereux. Ils se trompent ! C’est sûr qu’il faut prendre des précautions. Personnellement, je ne me suis jamais vraiment fait mal.

Bien sûr, cela m’arrive de manger un peu de sable ou de prendre des grosses boites, mais ça fait partie du sport.

Il m’est aussi arrivé d’avoir quelques galères et de rentrer à la nage parce que le vent était tombé. Mais si on navigue à plusieurs et que l’on ne prend pas de risques importants, ce n’est pas un sport plus dangereux que les autres.

Ma meilleure expérience ? Naviguer dans un cadre idyllique avec les conditions parfaites. C’était dans les îles Chausey, une eau turquoise, un vent fort et régulier et surtout une mer toute plate. J’étais partie en bateau avec quelques copains. Nous avons navigué toute l’après-midi entre les îles à envoyer des gros tricks. La liberté de pouvoir aller où on veut, et ce, juste avec la force du vent est quelque chose d’extraordinaire.

Un petit message à faire passer aux Igriens ?

Il faut savoir repousser ses limites et essayer de nouvelles choses. J’invite tous les Igériens à essayer ce sport qui se transforme vite en drogue ! Le plus important, c’est de persévérer et ne pas avoir peur de l’inconnu car c’est ça qui nous fait aller plus loin.

Et si des Igériens veulent que l’on navigue ensemble, je suis ouvert à toutes propositions !

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#TALENTS IGR – Portrait 1 : Florina

Nous savons tous que l’IGR regorge d’élèves plus brillants les uns que les autres… Financier expert, marketeur hors-pair et bien d’autres. Mais certains Igriens sont cachotiers !

En bons Insiders que nous sommes, nous avons décidé de lever le voile… Ce portrait est le premier d’une longue série vous présentant les talents de l’IGR. Au programme, passions inavouées, passe-temps décalés, hobbies et originalité…

Aujourd’hui, portrait d’une belle étudiante en Master 1 Marketing, Florina :

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  • Florina, peux-tu te présenter ?

Avec plaisir ! Je suis originaire de Sablé sur Sarthe et habites une petite commune de Mayenne depuis 8ans. J’ai fait un DUT Techniques de Commercialisation à Laval où je me suis éclatée et où j’ai pu découvrir le marketing, un domaine que j’adore. C’est pourquoi je suis actuellement en master Marketing après avoir déjà passé un an à l’IGR en Licence 3.

  • Quelle passion veux-tu partager avec les Igriens ?

Je vous aurais bien parlé de ma passion pour le scrapbooking mais je crois que c’est celle pour les concours de beauté qui vous intéresse particulièrement ! Les concours, dans un premier temps c’était un rêve de petite fille, une expérience à tenter pour n’avoir aucun regret mais cela est très vite devenu une véritable passion.

  • Quels aspects aimes-tu dans les concours de Miss ?

Ce que j’aime, c’est la possibilité de s’exprimer d’une façon différente, par le biais de nos attitudes bien plus que par nos paroles. Ce n’est qu’en étant Miss que nous pouvons devenir parte parole, faire passer des idées, mais il faut avant cela avoir séduit le public par un rapide discours et notre prestance sur scène. Il y a là un challenge intéressant.

Les Miss, c’est aussi la possibilité pour moi d’être sur scène ce que je ne suis pas dans la vie. Sous les projecteurs, face au public, il n’est plus possible d’être la jeune fille réservée et observatrice, je ne suis plus la petite fille rêveuse d’il y a quelques années, il faut  passer de l’autre côté en tant qu’actrice de l’évènement et ca fait du bien !

Ce que j’aime par-dessus tout c’est faire le show, avoir en tête de réaliser un jolie spectacle et marcher sur les pas des mes jolies « modèles ».

  • As-tu quelques expériences à nous décrire ?

Bien sûre ! J’ai remporté en juillet dernier l’élection de Miss Mayenne 2015. J’en garde un souvenir très amusant, l’élection était en pleine air, les cheveux dans le vent! J’ai eu l’occasion de faire le tour du village en décapotable, de signer des autographes, c’était amusant de voir comme tout d’un coup j’avais un certains intérêt pour le public ! Camille Cerf, Miss France 2015 était également présente lors de mon élection et c’était un très joli cadeau !

Grâce à cette élection j’ai été directement qualifiée pour concourir à Miss Pays de Loire 2015. L’élection à eu lieu le 2 octobre à Châteaubriant. Nous étions 16 candidates, et cette fois ci il y avait un vrai spectacle à assurer ! J’en garderai un souvenir magnifique, j’étais au plus près de mon rêve et soutenu par mes proches, un véritable bonheur !

  • Un petit message à faire passer aux Igriens ?

Gare à vous qui vous moquerez de mon département : La Mayenne est souvent caricaturé comme ultra rural mais des concours de Miss y existe bel et bien, j’en suis la preuve !

Je sais que les concours de beauté ne font pas l’unanimité et peuvent être sujet à des critiques mais je vous propose d’assister à l’un de ces concours et de vous imaginez à la place des candidates. Vous réaliserez que nous ne sommes pas que des plastiques !

Pour finir, je vous dirais qu’il faut CROIRE EN SES REVES, s’en approcher ou bien les réaliser procure un tel sentiment !

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Ressources Plus ? Mais que font-ils vraiment ?

Ressources PlusRessources Plus, c’est un peu comme IAE Conseil … On ne sait pas vraiment ce qui se passe dans leur association ! Nous avons donc enquêté pour vous auprès de cette association régie par des Masters 2 Ressources Humaines en formation initiale. Les projets réalisés au sein de cette association sont notés en tant que Gestion de Projet, le tout étant géré par Anne Joyeau (référente) et Audrey Trémeau.

Ressource Plus, c’est 4 Cafés RH et une Journée Ressources Plus par an ! D’accord … Mais c’est quoi au juste ?

Un café RH dure environ 2 heures pendant lesquelles un sujet en relation avec les ressources humaines est abordé (fastidieux ? pas pour les plus passionnés!). Le cadre du sujet est tout d’abord présenté par l’association. Ensuite, les participants sont dispatchés sur plusieurs tables afin de faire un brainstorming par équipe. L’idée est de récupérer 3/4 idées principales afin de pouvoir déterminer les axes de discussion du débat. A la fin, un quizz instructif (oui oui, très instructif paraît-il !!!) est proposé aux participants. Au moins, ils se disent  » je ne suis pas venu pour rien ! » si la thématique ne les a pas passionnés (surtout que la participation est payante !)

Combien de personnes participent à un Café RH ?

Café RHEnviron 100 invitations sont envoyées à des professionnels et c’est 25 à 30 personnes qui viennent pour y participer (Places limitées !!! Et ça se bouscule ! ). Ces professionnels des ressources humaines ont des métiers diversifiés: coach, consultant en recrutement, directeur des ressources humaines, chargé RH … Les professeurs de l’IGR y sont également conviés et pour le second semestre, des étudiants en Masters 1 RH pourront y participer afin que la reprise soit assurée pour l’année prochaine !

Et la journée Ressource +, c’est quoi ?

Cette journée est basée sur le même principe que le café RH mais à plus grande échelle (et avec le cocktail en plus!). C’est environ 100 à 150 personnes qui y participent. Cette journée est organisée en partenariat avec ANDRH Bretagne Est (Association Nationale des Directeurs des Ressources Humaines). Cette association choisit le thème de la journée.

Comment sont choisis les thèmes des Cafés RH ?

D’un café RH à l’autre, les 17 étudiants de l’association proposent 3 ou 4 thématiques pour le café RH suivant afin que les professionnels puissent y réfléchir au préalable. (C’est pas qu’ils sont incultes dans leur domaine mais c’est toujours mieux!)

Quelles sont les prochaines dates ?

La Journée Ressource + aura lieux le 21 mars et le prochain café RH le 30 janvier ! Pour plus d’informations, n’hésitez pas à consulter leur site internet.  Attention, l’association s’attribue des mérites en pensant réaliser les plus belles affiches de l’IGR … alors ouvrez l’oeil !

 

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Les dessous d’IGRien sur scène

Alors Arthur, aujourd’hui, on est tous au courant de l’existence de votre association à l’IGR-IAE de Rennes grâce à votre pôle communication, mais… les lecteurs d’IGR Inside aimeraient en savoir plus sur votre fonctionnement interne.

E22D7FA9-9153-4442-95E9-B7B56FD84F17.image_400Comment préparez-vous la pièce de théâtre ?

Les répétitions ont lieu tous les lundis soir de 18h30 à 21h à l’IGR et une fois par mois au Diapason. Cela dure depuis septembre où l’on commençait par des exercices d’échauffement de voix… avec notre metteuse en scène professionnelle. (et donc rémunérée!)

 

Comment choisissez-vous la pièce et comment vous vous répartissez les rôles ?

Cette année nous avons décidé de changer de registre. Nous allons faire une pièce de théâtre contemporain. Pour la choisir, chacun de nous cherche quelques pièces sur internet, les montre à tous le groupe et l’on décide tous ensemble. Après pour le choix des rôles, cette année nous avons fonctionné différemment. Il y a beaucoup de personnages dans la pièce (plus d’une vingtaine) et nous sommes 13 comédiens. Chacun a établi une liste des rôles qui lui correspond et/ou qui l’intéresse après lecture de la pièce, puis je décide de l’attribution des rôles avec la metteuse en scène. Cette année, des comédiens auront donc plusieurs rôles à jouer dans la même pièce !

602807_353289798110887_1490093496_nComment gérez-vous les costumes et les décors ?

Pour les costumes, chacun essaye de se trouver un look en concordance avec son/ses personnage(s). Commence donc un véritable échange de fringues entre tous les membres de l’association, l’entourage … Pour le décor, cela varie, nous faisons une liste de tous les objets nécessaires. Nous la remettons au pôle décor (souvent constitué d’étudiants revenant d’Erasmus). Puis ils dégottent les objets en magasin, chez Emmaüs et/ou se font prêter par l’entourage …

Et le jour J, comment ça se passe ? Vous êtes tous stressés ??

On passe la journée sur le lieu de la représentation ! La semaine précédent la représentation, c’est une vraie famille qui se forme.  Puis quelques heures avant le début, la metteuse en scène nous pique montres, téléphones, textes … pour qu’on puisse se concentrer et se mettre à fond dans notre personnage. Durant la représentation, certains stressent dans leur coin, d’autres essayent de déconcentrer et taquiner ceux qui passent sur scène, parfois c’est des règlements de comptes entre ceux qui ont bouffé des répliques à l’un ou à l’autre …  Le stress se gère un peu plus facilement pour la poignée de comédiens ayant déjà fait du théâtre auparavant !

Comment faire partie de votre association ?

Nous avons eu peur d’avoir trop de monde cette année dans l’association alors nous avons pensé faire deux pièces différentes, mais finalement, non ! Le casting des comédiens est ouvert à tous. Quant à la communication, nous sommes obligés de faire un recrutement pour connaître les motivations des étudiants … voilà le résultat, notre équipe communication est toujours aussi brillante !

Alors petit coup de pub sur vos représentations ?

Oui, donc nous serons le 12 mars au Diapason. 550 places sont disponibles. (Généralement la majorité du public est étudiants ou professeurs à l’IGR lors de la première représentation). Nous ferons également deux autres représentations le 14 (à Pont-Péan) et le 15 mars (lieux à reconfirmer).

Puis une nouvelle soirée sera organisée par l’association prochainement !

 

Merci à Arthur F.!

 

 

 

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« C’est vraiment chouette de pouvoir faire mes études tout en me rendant utile aux autres »

Aujourd’hui, une licence est à l’Honneur ! Découvrez Elsa, qui nous raconte, à sa manière, sa vie d’IGRienne !

En quelle formation est-tu ?

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Ne pas se méprendre ! Les licences, ce sont des bosseurs !

En licence 3 mention Sciences de Gestion. J’aurais pu dire « En licence», mais plus c’est long, mieux c’est.

 

Tu as fait quoi avant l’IGR ?

Après un Bac ES, je suis allée décrocher un DUT GEA option RH.

 

Si je te dis IGR, tu me réponds ___ ?

Que c’est un institut très valorisant pour ses étudiants où il fait bon étudier et ce, en étant entouré de personnes en général très accueillantes, chaleureuses et sympathiques.

 

Ton coup de cœur à l’IGR ? Le truc le plus chouette ?

La vie associative. Avant de venir à l’IGR, je n’ai jamais eu l’occasion de m’investir dans le milieu associatif par manque de temps mais aussi de moyens. Je trouve ça vraiment chouette de pouvoir faire mes études tout en me rendant utile auprès d’autres personnes au sein de la commission Aide&Intégration de l’association IGR Entr’aides, ça me tenait vraiment à cœur. En plus, ça apporte de la vie au sein de l’IGR : Entre les soirées organisées, les petits coups de main entre commissions et associations, les cadeaux et lots à remporter… ça déborde de dynamisme et ça crée des liens… 🙂

 

Le pire truc qui te soit arrivé à l’IGR ? ta pire galère ?

Avoir monté les escaliers trop vite, pensant qu’on avait cours au deuxième étage alors qu’on avait info au quatrième. Morale de l’histoire : « Le tabac, c’est tabou, on en viendra tous à bout ».

 

Tu sais où elle est toi la salle 422 ?

En théorie, oui. En pratique, je n’ai jamais testé. Je saurai où trouver la notice d’explications en temps et en heure 😉 Merci IGR Inside 🙂

 

Ton prof préféré ?

Tous ceux qui ont un rapport avec le Master Management des Ressources Humaines 😉 (Je vous envoie à tous mes sentiments les plus sincères !!!! 😀 ). Ayant débuté ma carrière d’IGRienne il y a 4 mois, je ne vais pas trop me mouiller.

 

Ton interlocuteur préféré de l’IGR ?

Personne en particulier. Mais je crois que mes interlocuteurs préférés, ce sont quand même ceux du matin, avant 8h, qui me rejoignent quand je fume ma cigarette avant d’aller en cours. En période de rush, c’est parfois le seul moment où l’on peut échanger dans le calme avant de se lancer dans une journée trépidante.

 

Le truc le plus inutile que tu as appris à l’IGR ?

Je suis très curieuse et j’ai soif d’apprendre donc même les choses qui me seront inutiles en pratique plus tard m’intéressent quand même. Par contre, réaliser 30 requêtes sur une base de données…Steuplé ! Le temps est précieux !

 

Ton sentiment quand tu regardes le bâtiment / la passerelle / la cour de l’IGR ?

Un sentiment empli d’interrogations où je suis obligée de mener une profonde analyse afin de cerner les risques de me briser le coccyx, ma plus grande hantise : Puis-je traverser la cours par la passerelle afin d’accéder rapidement au bâtiment ? Ou bien la passerelle est-elle si humide qu’il est préférable de prendre ses précautions en contournant la cours ?

 

Quel mystère concernant l’IGR aimerais tu voir résolu ?

Qui est ce qui a eu l’idée de mettre une passerelle et des barrières qui bouffent la quasi-totalité de la cours ? Je crois que c’est un sujet redondant et j’aimerais clarifier cela avec le responsable de cette affaire ! 🙂  En heure de pointe, ça se bouscule…

 

Tu veux faire quoi plus tard ?

Administratrice dans 5 CA de graaaandes SA (De type Monistes ou Dualistes, je m’en fiche).

Mais avant ça, je veux travailler dans les RH… C’est mon dada ! L’idéal serait dans une PME qui me permettrait d’avoir des fonctions polyvalentes et des responsabilités. Question mobilité, c’est un grand frein pour moi n’ayant pas les moyens de partir à l’étranger pendant mes études. Toutefois, j’ai pour projet de m’expatrier plus tard à la Réunion. Une partie de ma famille y vit, et étant une personne qui a couté très cher à l’Etat français, je préfère travailler au profit de l’économie réunionnaise plutôt qu’au profit d’un pays étranger.

 

Ton tic verbal ?

J’ai une fâcheuse tendance à m’exprimer en onomatopées quand je suis à court de vocabulaire.

 

Ton endroit préféré à Rennes ?

J’aime bien partir de République, remonter la rue le Bastard et finir ma virée dans un bar à Ste Anne ou au Colombus Café par temps d’hiver.

 

Si je te parle du Stade Rennais, tu me réponds ___ ?

Des supporters très encombrants sur la route (Je vis à St Jacques au niveau des Rocades) mais très absents dans les tribunes… Quitte à faire le déplacement et embêter les riverains, autant que ce soit utile… (Ressaisissez-vous, fervents supporters !)

 

Le bar où on a plus de chance de te trouver un jeudi soir ?

Nowhere. J’étais une grande fêtarde au lycée, j’étais pauvre et je laissais toutes mes économies en boite et dans la rue de la soif… et puis ma vie a changé et j’ai arrêté tout ça… Je referai la tournée des bars quand je ferai une nouvelle crise d’ado vers la quarantaine 😉

 

Merci à Elsa pour sa participation !

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« Les liens sont plus forts entre humains en Bulgarie qu’en France »

 

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Elle est originaire de Bulgarie mais se bat contre les clichés associés à son pays! Découvrez Ani, étudiante en Master 2 Marketing à l’IGR-IAE.

 

En quelle formation est-tu ?

Je suis en Master 2 Marketing option négociateur d’affaires à l’international

 

Tu as fait quoi avant l’IGR ?

J’étais en M1 affaires internationales et PME à la fac d’éco Rennes 1. Avant ça, j’ai fait une licence de gestion en Bulgarie

 

Si je te dis IGR, tu me réponds ___ ?

Galère parce qu’on travaille dur !

 

Ton coup de cœur à l’IGR ? Le truc le plus chouette ?

Les roses devant le bâtiment. Elles sentent bon, c’est chouette !

 

Le pire truc qui t’est arrivé à l’IGR ? ta pire galère ?

Ah ! J’ai réussi à me perdre en essayant de trouver la salle 422 😉

 

Ah toi aussi ? Tu sais alors où elle est la salle 422 ?

Maintenant oui, je sais !

 

Ton prof préféré ?

Notre prof de communication/négociation Xavier Barbare : il est amusant et ses cours sont intéressants, ils ne sont pas statiques

 

Le truc le plus inutile que tu as appris à l’IGR ?

Les retranscriptions d’entretiens, c’est looong !…

 

Ton sentiment quand tu regarde la cour de l’IGR ?

Une petite secte ! Parce que c’est tout petit (en comparaison avec Rennes 1)

 

Quel mystère concernant l’IGR aimerais tu voir résolu ?

qu’y a-t-il dans la « cave » (niveau -1 ) ?

 

Tu veux faire quoi plus tard ?

Euh travailler… !? 😉

 

Ton tic verbal ?

« A mon avis »

 

Ton endroit préféré à Rennes ?

La rue Saint Georges, parce que c’est pittoresque !

 

Si je te parle du Stade Rennais, tu me réponds ___ ?

Je regarde pas le foot !

 

Le bar où on a plus de chance de te trouver un jeudi soir ?

Au Tio paquito, ya de la musique sympa !

 

Parlons un peu de ton pays, comment les bulgares sont-elles perçues en France ?

Comme des filles de l’Est et comme des ivrognes ! Mais c’est faux !

 

Ce que tu aimes le plus dans ton pays 

Certainement les relations entre les amis ou la famille. Les liens sont plus forts entre humains en Bulgarie qu’en France. S’il t’arrives un soucis en Bulgarie, tu sais que tu peux appeler 5 amis, les 5 viendront t’aider ! Pas toujours le cas en France…

 

Ce que tu détestes le plus en Bulgarie

La situation politique, parce qu’il y a beaucoup de corruption ! Les hommes politiques ne pensent qu’à eux et pas au pays !

 

Pourquoi la France ?

Ca remonte à l’école maternelle ! Laisse moi t’expliquer. Pour rentrer à l’école maternelle, je me suis trompée à un examen. Je n’ai pas pu étudier l’anglais, donc j’ai choisi le français… et me voilà ! Mais je ne regrette pas, bien au contraire 😉

 

Ca va tu as survécu ?

Oui ! C’était top ! merci !

 

Merci à Ani d’avoir répondu à nos questions

ParIGR-Inside

« J’ai plutôt tendance à faire de la vie asso’ qu’à faire mes cours »

1484959_10202823619610875_1429913441_nPrésident de l’asso les 4L solidaires, vous avez foooorcément croisé Grégoire dans les couloirs de l’IGR!

 En quelle formation es-tu à l’IGR ?

« Je suis en Master 1 Finance.

C’est une bonne situation ça, être à l’IGR ?

Oui c’est une bonne situation dans le sens où c’est une bonne formation, c’est une bonne école qui est réputée surtout dans le grand Ouest. Ouai, c’est une bonne situation d’être ici à l’IGR.

Tu es Président de l’Association les 4L solidaires, quel est ton rôle exactement ?

C’est surtout de manager l’équipe et les guider, notamment dans la recherche de sponsors pour les 4L, ce qui n’est pas une chose facile avec la situation économique actuelle. Là ça commence à fonctionner car nous avons réussi à trouver des sponsors, et nous faisons pas mal d’activités aussi pour récolter des fonds.

Et ça, c’est une bonne situation d’être Président ?

C’est une bonne situation oui et non. C’est super intéressant d’être Président, ça nous permet de connaitre pleins de choses et plein de monde à l’IGR et ça nous fait de bonnes relations, mais ça nous prend beaucoup de temps. Ca a tendance à prendre un peu le pas sur les cours, là par exemple je suis débordé et j’ai plutôt tendance à faire de la vie asso’ qu’à faire mes cours ! J’arrête la vie asso’ en Master 2 !

Quels sont les avantages et les inconvénients d’être Président d’asso ?

En termes d’avantages, professionnellement ça nous apporte un réseau, et puis c’est très formateur en termes de gestion d’équipe et de budget. C’est une aventure humaine intéressante. Mais derrière, il y a des inconvénients quand même car ça prend du temps, il y a parfois des déceptions quand on n’arrive pas à atteindre des projets.

Que faisais-tu avant l’IGR ?

J’ai fait un DUT GEA à Saint Malo. Et je suis arrivée à l’IGR en Licence 3.

Si je te dis IGR tu me réponds ____ ?

Beaucoup de choses, car je passe mon temps ici ! Et j’habite juste en face en plus. J’ai tous mes amis ici, donc ça va être compliqué de résumer l’IGR en un mot. Comme dirait KLR (Karine Le Rudulier), c’est l’esprit IGR ! On ne sait pas ce que c’est, il faut le vivre.

Ton coup de cœur ici ?

Les gens. Ce n’est pas tant l’IGR qui j’apprécie, ce sont les gens qui y sont qui font que je passe mon temps ici.

A l’inverse, la pire chose qui t’es arrivée ici ?

Les cours ! Le fait qu’ils vantent une super formation, mais qu’il y a quand même quelques défaillances derrière.

Tu sais où elle est toi la salle 422 ?

Ce n’est pas chez les Japonais ? La salle qui est un peu méconnue ! L’année dernière, on a eu quelques difficultés à la trouver.

Ton prof préféré ?

C’est une bonne question. Je dirai Christophe Herriau, professeur de stratégie et Techniques Budgétaires, qui est super sympa et super intéressant. Même si en Licence, il a pour habitude de casser les gens, et en Master de les chouchouter, il est très calé dans son domaine.

Ton interlocuteur préféré ?

Maryannig Robin qui est très très gentille.

Le truc le plus inutile que tu as appris ici ?

Le tutorat. Je pense sincèrement que ça ne sert à rien. Ils nous font chier avec ça pendant 2 ans, ça prend du temps et ça sert à rien !

Ton sentiment quand tu regardes la passerelle de l’IGR dehors ?

Bien-être ! C’est bien, ce n’est pas trop grand, c’est à taille humaine.

 As-tu un tic verbal ?

C’est fort possible, mais là comme ça, je ne sais pas !

Ton endroit préféré à Rennes ?

Le Bistrot à tartines, parce que l’ambiance est super sympa, il y a une bonne déco, et la bouffe est bonne. Et chez moi aussi. Et l’IGR, évidemment !

Si je te dis Stade Rennais ___ ?

Que je m’en fous !

Le bar où on a le plus de chance de te trouver le Jeudi soir ?

Au loft. Chez Coco et moi, là haut, c’est là où on se retrouve ! Sinon c’est en boite, Pymm’s, Espace, Delicat… »

Merci à Grégoire d’avoir répondu à nos questions

ParIGR-Inside

« Ma pire galère à l’IGR: avoir glissé sur la passerelle ! »

Découvrez Pierre, étudiant en Master 2 Marketing – Franchise et Commerce en Réseau

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T’es en quelle formation?

Master 2 Marketing – Franchise et Commerce en Réseau (Franchising and Network Management)

 

Tu as fait quoi avant l’IGR ?

Un Master 1 LEA Management et Marketing International (Anglais/Espagnol) à l’Université de Rennes 2 et juste avant une licence LEA parcours Commerce International (Anglais/Espagnol)

 

Si je te dis IGR, tu me réponds ___ ?

De très bonnes formations, de la professionnalisation, et surtout de belles rencontres!

 

Ton coup de cœur à l’IGR ? Le truc le plus chouette ?

L’ambiance, l’atmosphère qui y règne et la convivialité

 

Le pire truc qui t’est arrivé à l’IGR ? ta pire galère ?

Glisser sur la passerelle dans le Hall de l’IGR. Morale : s’accrocher à la rambarde les jours de pluie !

 

Tu sais où elle est toi la salle 422 ?

Bien sûr ! J’ai souvent cours dans cette salle.

 

Ton prof préféré ?

Ça c’est confidentiel ^^

 

Ton sentiment quand tu regardes le bâtiment / la passerelle / la cour de l’IGR ?

Vivement les vacances !

 

Quel mystère concernant l’IGR aimerais tu voir résolu ?

Qu’est-ce qu’il y a au sous-sol ?

 

Tu veux faire quoi plus tard ?

Chef de produit Marketing ou développeur de Réseaux/marques

 

Ton endroit préféré à Rennes ?

Le parc du Thabor.

 

Si je te parle du Stade Rennais, tu me réponds ___ ?

Je n’aime pas le foot!

 

Le bar où on a plus de chance de te trouver un jeudi soir ?

Le Kenland !

 

Merci à Pierre d’avoir répondu à nos questions!

ParIGR-Inside

« IGR : Ici on Galère, mais on Rigole bien quand même »

Elle a la chance d’avoir été la 300ème à « Aimer » notre page Facebook … ! Venez découvrir Sandra, étudiante en M2 Marketing

Sandra M2 Marketing

 

Tu es en quelle formation ?

Master 2 Marketing, parcours Chef de produit

 

Tu as fait quoi avant l’IGR ?

DUT GEA à Brest même !

 

Si je te dis IGR, tu me réponds ___ ?

Ici on Galère, mais on Rigole bien quand même

 

Ton coup de cœur à l’IGR ? Le truc le plus chouette ?

Mon coup de cœur : un certain JB…

Le truc le plus chouette : présenter un projet de création d’entreprise de sextoys pour séniors à la CCI de Rennes !

 

Le pire truc qui t’est arrivé à l’IGR ? Ta pire galère ?

Les insomnies…

 

Tu sais ou elle est toi la salle 422 ?

Non, je pense qu’elle n’existe pas… Ce doit être un peu comme la voie 9 ¾ dans Harry Potter !

 

Ton prof préféré ?

Dany Vyt et Frédéric Basso (je parle au nom de toutes les filles de la classe)

 

Ton interlocuteur préféré de l’IGR ?

Stéphanie de la cafet’

 

Ton sentiment quand tu regarde le bâtiment / la passerelle / la cour de l’IGR ?

Que c’est mille fois mieux qu’à Brest !

 

Quel mystère concernant l’IGR aimerais tu voir résolu ?

Mr Philippe Robert connait-il tous les mots du dictionnaire ? Est-il l’auteur du Petit Robert ?

 

Tu veux faire quoi plus tard ?

Chef de produit dans le milieu bancaire.

 

Ton tic verbal ?

Dire le mot « Quoi » avec mon accent de Finistérienne du fin fond de la campagne !

 

Ton endroit préféré à Rennes ?

Le parlement l’été avec dj Anne 2B !

 

Si je te parle du Stade Rennais, tu me réponds ___ ?

J’aime pas le foot ! Vive le ping pong !

 

Le bar où on a plus de chance de te trouver un jeudi soir ?

La place !

 

Et alors, ça fait quoi d’être le 300e « like » Facebook ?

C’est une grande émotion , une grande fierté ! Je tiens à remercier toute ma famille et mes amis sans qui je ne serais pas arrivée jusqu’à là …!

 

Merci à Sandra d’avoir répondu à nos questions!

ParIGR-Inside

Notre cher et tendre président du BDE

Alors, Corentin, qu’est-ce que ça fait d’être président du BDE de l’IGR-IAE de Rennes ?

Je suis président depuis mars 2013 donc je commence un peu à m’y habituer. Tout a réellement basculé quand il y a eu la rentrée des licences … Les filles ne me voient plus pareil !!! (Rires) On était pas mal présent au début d’année en amphi et c’est vrai que la célébrité doit rendre un peu plus beau !!! Ca fait bizarre !

Qu’est-ce que ça t’apporte d’être président ?

J’assure ma place en M2 … (rires) Non, mais parlons plus sérieusement, on a des relations un peu privilégiées avec les profs, le personnel administratif, car je les vois assez souvent. C’est bien aussi pour le contact auprès des étudiants, tout le monde vient te parler mais ça nécessite … de dire bonjour à beaucoup de monde le matin !! Je pense qu’après le week-end d’intégration qu’on a fait, les licences ont une bonne perception du BDE et c’est vraiment ce qui m’importe le plus !

Corentin Président du BDE

Et si vous avez loupé la soirée spéciale élection du président du BDE sur IGR TV en avril dernier, retrouvez là directement en cliquant sur la photo !

Quelles sont les qualités d’un bon président ?

Wow ! Caractère social, car si l’on est pas social, ce n’est pas la peine d’être président. Le caractère festif, car l’année dernière, les soirées m’ont permit de rencontrer beaucoup de monde. Je n’ai loupé aucun jeudi soir y compris celui des partiels !! Et puis, le sérieux et l’organisation. Beaucoup de licences ont cherché à savoir comment devenir président à la fin du week-end d’intégration, beaucoup enviaient ma place, sauf que derrière, il y avait quand même 4 mois de travail. Il ne faut surtout pas avoir peur de concilier les cours et la vie associative. Il m’arrive même de mettre un peu mes cours entre parenthèse au profit de la vie associative.

Et justement, quelle est ta spécialité ?

Master Finance !

Comment as-tu fait pour être élu ? Pourquoi t’es tu présenté ? 

Je trouvais qu’il y avait un problème de cohésion entre Master 1 et Licence 3. Je connaissais pas mal de M1 car je suis sorti avec …une fille de M1 (pour la petite histoire !) et c’est vrai que beaucoup ne connaissait pas de M1 donc j’ai trouvé cela dommage. Par contre les M2 sont un peu plus « à part » car ils n’ont pas les mêmes cours, beaucoup sont en alternance… donc là, ça m’a paru un peu plus difficile de les intégrer pleinement ! J’étais déçu qu’il n’y ait pas de liste concurrente à se présenter pour l’élection du BDE. Certaines personnes étaient motivées, il devait y avoir 2 voir 3 listes, j’ai même motivé ces personnes à le faire et finalement non.

Le moment que tu attends le plus dans l’année ?

Il est passé, c’était le week-end d’intégration ! C’est LE moment qu’il ne fallait pas rater, on a eu de la pluie, mais il s’est bien passé quand même.

Le moment que tu redoutes le plus dans l’année ?

Certainement le Gala, car je dois faire un discours !!! L’année dernière je l’ai fait mais j’ai du boire quelques verres pour y aller (rires) et là, cette année, je vais devoir le refaire mais ça devra être un peu plus long ! Il y a pas mal de monde au Gala et je n’ai pas forcément l’aisance à l’oral pour ça !

Comment définis-tu la mission du BDE ?

Fédérer les associations, fédérer les étudiants entre eux, entre les différentes promos, et surtout avoir un rôle de conseil auprès des différentes associations car on a l’expérience de l’année passée. Je parle en connaissance de cause vu que j’étais à IGR Events l’année dernière et que la soirée romaine (soirée de noël) avait fait un flop. Cela m’a servit énormément et je n’ai pas envie que cela se réitère pour d’autres assos, et pour encore plomber le budget ! Du coup, on a installé des référents BDE dans chaque assos. On a un droit de regard sur ce qu’ils font mais ce n’est absolument pas de la surveillance. Même si certaines assos nous perçoivent un peu comme la police, ce n’est pas notre but. On est là pour leur éviter des problèmes, leur apporter un avis extérieur qu’ils prendront en compte ou non !

 

Merci à Corentin LB.